Non plus l'amer
breton
Le phare
Tristesse et mélancolie
au regard
visant l' océan dans la nuit
Lointaine
au couchant d'une lueur incertaine
Mais de l'ombre des êtres en conflit
toute cette universelle et une lueur sans peine :
Namasté !
"Le Divin en moi reconnaît le Divin en toi, et quand nous sommes ensemble, nous sommes un."
D'ailleurs - Qui cherche l'amour partout ne l'a pas trouvé en lui-même, il ne s'aime déjà que peu ou prou, voire pas du tout... La haine lui a taillé une peau de bête féroce (même envers lui-même). A vivre tel l'oiseau dans le ciel, la liberté grande s'inscrit dans votre esprit lui-même ; quiconque hait son prochain se dénigre lui-même, jusqu'à se dégoûter sans doute (une part inconsciente qu'il n'aurait su gérer, déceler, couper à la racine de la hideur/aigreur monstre) ; le ciel, l'amour, la vie sont en nous, déjà - jusqu'à même la "programmation" de notre mort, un jour dont on ignore la venue (comme du Messie, il arrive, oui mais il ne préviendra pas sa date d'arrivée, personne n'ira l'attendre chez soi, dans un hall d'aéroport ou dans la salle des pas perdus d'une gare Ultima...), nos rythmes de vie nous consument différemment, mais nous font diminuer la flamme de notre bougie d'existence ; partager nos soucis les allège d'autant - toute souffrance est consubstan-ciel à toute Vie. Si toutes les choses n'étaient que simplistes & simples, un être humain deviendrait aussi mou qu'un Chamallow...(hors moins moelleux et doux que les cousins américains mashmallows ), guy mauve qui n'aurait à goûter aucun firmament qui se déploie en découvertes Zen (qui ne veut jamais dire "mou") & recherches marginales où donner meilleur sens à ce qui n'en a jamais...qu'un seul : Dieu, mélodie sans fioritures extérieures, donc du divin inside...all.. Al/El, tout et tous : All... Toujours : always... La Voie de la Coupe divine : Way-Cup ! Calice du devenir simple... Sans peur, se détacher des choses et des foules...après y avoir plongé, après en avoir consommé à outrance, voire collectionné que trop... On repart d'où l'on vient sans rien, et nu... "L'homme qui se recueille en lui-même ne mesure pas le temps, nous rappelle Etty Hillesum, L'épanouissement ne se mesure pas en terme de temps"... Voyez, constatez où en est le vôtre, devenu... Namasté !