Nous situons-nous tous là, entre "extase et douleur", au final ?
Cette artiste très narcissiquement tourmentée n'aima pas les Surréalistes,
en particulier "André Breton", que son mari-mentor-soutien rencontra...
Sujet d'un roman inabouti de deux existences raboutées en une, aux poussées radiculaires.
Roman du moins jeté aux flammes d'un rebut :
Cette attitude me fait penser à une personne qui devrait impérativement retrouver la paix du coeur et de l'esprit, afin de ne pas subir le même sort, la rumination des pensées tristes alourdissant le corps qui s'autoflagelle, ce qui n'apporte aucune amélioration. Cette personne garde en elle la possibilité de trouver une valorisation personnelle, dès lors qu'elle aura accompli un travail sur soi suffisant, retrouvant ainsi un travail sur le plan de la matière, le travail spirituel effectué comme un nettoyage de printemps donne à un espace où l'on vit qu'il se soit soudainement agrandi alors qu'il est toujours le même. Garder trop de rancune et d'amertume empêche une avancée sérieuse. Se libérer par un "exorcisme" personnel pour ensuite se réconcilier avec soi-même, et, par conséquent avec la vie. Cette personne doit ne plus vivre avec un passé qui bloque la sérénité, ni plus se propulser dans un avenir proche ou lointain, mais être consciente que "son" présent est la clé de la réussite (plus qu'un fusil intérieur posé sous le menton, prêt pour le grand saut dans l'inconnu), un travail de réconciliation permettant ainsi de construire un avenir meilleur, sur tous les plans humain, spirituel et matériel, divin. Il est vrai que dans une autre vie, sous le règne de Charles VI (le bien-aimé devenu le Fou - 16 Septembre 1380 - 21 Octobre 1422), cette personne a été un soldat enrôlé de force, contre son gré de devenir moine, ou dans les ordres religieux pour servir et pour aider son prochain -, subissant alors sa vie, se battre jusqu'à supporter les brimades et les moqueries de ses faux et fourbes compagnons, car il était du genre passif, il ne disait rien, accusait tous les plus mauvais coups, on le considérait ainsi comme un léger débile mental au service d'un autre fou, le Roi lui-même. Ce piètre soldat du roi encaissait tout, tant ce n'était sa conception de la vraie vie, qu'il vit dans la spiritualité monacale des Mystiques Flamands, lui qui servit sous la couleur rouge des miliciens flamands commandés par un certain Philippe Van Artevelde, battu lors de la célèbre Bataille de Roosebeke (27.XI.1382) où notre minable engagé se laissa tuer, ne supportant plus les humiliations de cette vie de soldat du Roi. Cent ans plus tard, il se réincarne de nouveau, mais en voulant être craint du plus grand nombre. Il tenait à ce qu'on ait peur de lui, sitôt quiconque approchait de cette personne métamorphosée en bourreau, masqué - métier ingrat, qu'il s'était alors volontairement choisi (on venait le chercher pour accomplir les pires besognes). Ce n'était pas le fait de tuer les gens qui lui plaisait, mais surtout qu'il put se délecter de voir trembler ceux qui, maintenant, avaient peur de lui. Il était ainsi fort de ce qu'il représentait, mais au fur et à mesure qu'il vieillissait, il se remémorait toutes les personnes qu'il avait fait passer de vie d'effroi au pire trépas, sous ses mains, et cela le rendait malade mentalement, de revoir les visages apeurés, qui revisitaient son esprit, en ses pires cauchemars, la nuit, ces visages déconfits, défaits, meurtris, qui venaient le supplier d'arrêter ses atrocités gratuites. Et, il s'en voulait vraiment beaucoup, à chacun de ses réveils. Il s'est donc jugé lui-même, critiqué amèrement, condamné à vie, en se faisant justice, par pendaison, tel Judas, dit-on, à un arbre sur qui venaient pisser les enfants du village, en riant. Dans cette vie-ci, on me raconte que cette personne a été victime, parce qu'elle avait cette dette karmique à régler avec ses parents qui ont été victimes de ses actes de "bourreau" dans l'autre vie, deuxièmement racontée ci-dessus. Voilà pourquoi nous lui demandons de faire un travail personnel sur la réconciliation, tant ce qu'il y a dedans un être produit des fruits dehors le même, fruits blets ou mûrs, pourris ou juteux. A vous de savoir qui vous fûtes, par confession, faites silence... Écoutez-vous, une voix dira... L'inconscient a ses émotions qui nous font remonter à la source. A coeur purifié, esprit délivré.