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MALAISE DANS LA COMPOSITION :
Tout écart relatif des légions sépulcrales
détache de la page imprimée
La paresse poétique du ChatGPT
en ces pionnières expériences de tout demander
au "cerveau-machine" sans point de vue
de nous "chier" un tout fait sans vertu
ni valeur humaine
L'usage de l'espace du Minitel se croyait déjà domaine de l'écriture
au point qu'il eut un meurtrier nommé : le tueur du minitel (rose)
L'holographie et la vidéo ont emboîté ce suivi sans émotion
que de s'inventer des "nouveaux langages" plus ou moins peau-et-tics, toutes astuces poëtiques qui tiquent l'audience du Web-monde pâteux
Chimères de créatures transgéniques
que dont le nouveau débiteur à la seconde de tout sujet rend "tragique" (au sens philosophe du réel et de la réalité du mot, c'est là, bon, on ne peut s'en soustraire qu'en lisant un livre-papier réellement conçu, pondu, créé par un être pensant, roseau Pascalien s'il en est... Dira-t-on que le ChatGPT est un "roseau pensant", et qu'il s'enivre de tout, façon l'instance baudelairienne : de vertu, de vin, de poésie qu'importe, mais de l'art poêtique aux illusions qui bougent, l'ivresse blanche nous déblaie bien des maux. Nous sommes des "par"-L'être, lieux de rêves purs et de langages précis, non "produits" préfabriqués d'un gloubi-boulga pour "dinosaure" de mécaniques robotiques, issus évidemment des Amériques.
Donc, après l'abrutissement Minitel and Co, nous voici à patauger dans La Boue-tissement ChatGPT, d'autant qu'ici ils saluent de remercier l'Amérique d'où nous provient tout ce chambardement (Internet, uniquement prévu pour les militaires, il a déversé sa boue dans les services publics, qui de fait intéressants, qui d'autres foncièrement dévastateurs), et les multiples drones servent déjà pour le conflit slave des plus meurtriers ; ils n'ont plus d'yeux que vides. De "la boue" dans les yeux, donc... Bon s'âme-dit néanmoins à bien consolider vos "mur"...de soutènement... poético-littéraire et spirituel...
le "priez pour nous, pauvres pêcheurs", comme invocation à descendre dans nos eaux (os ?) sombres (et non : de qui aurait/a commis force bêtises), et, de descendre dans nos abîmes pour en extraire l'or (de notre Lux aeterna, Lumière de l'esprit = eternal light)
En deçà de l'au-delà, le monde semble une vaste cellule, chacun-e (s) en son enclos familial ou solitaire, enfermés comme de juste ou d'injuste manière (la nature a horreur du vide, donc une vie solitaire n'est pas plus la panacée qu'en famille (je vous hais), toujours en bisbille-bataille de polochon), chacun.e voulant respirer l'air de "sa" génération, nul ne peut répudier tel ou tel conflit de génération, chacune d'entre elles toutes (de génération) s'opposant à la précédente ou suivante en se posant.., pour qu'on se confie à son camp perso. Alors, solo ou en multiples "camps" sociaux et anti-sociaux via les applis logarithmiques ? On cherche alors à son existence le sens d'une "réponse inattendue", jusqu'à mourir, jamais contents d'une vie passée à se tromper sur soi, tout le temps ! Bonjour, le vent... Fais mon nid comme il convient à ton souffle divin.
L'Homme face à sa vérité, une certaine vérité : L'essentielle.
Crédit photographique : Magritte la réponse inattendue
Lui qui affichait en son logis l'Ange de l'Histoire (offert par kLEE lui-même), il pouvait donc écrire : - Nous sommes emmurés dans l'Histoire autant que l'Histoire est emmurée en nous dans "La Culpabilité de l'homme blanc " (d'elle découlent-ils les Wokes, d'ailleurs ?)...
Mon dieu, dit-elle, et dire que je dois tenir ainsi toute l'heure de ma représentation yogique, ouhlala, vais-je bien m'équilibrer ?
Mon dieu, je ne puis me tenir au mieux sur la Ligne d'Horizon !
(photo@Joubert)
Le blog de Saint-Songe 123456789102030405060708090100200300400500600700>>>
Dieu ne vole pas avec les ailes de l'âme pour se poser sur les signes et icônes...
Je ne t'ai pas vu tel que tu te montras à moi, ce matin, en pleur, mais bel et bien, le petit enfant en conflit intérieur avec son drame papa/maman, base de toute psyché humaine qui oscille entre peur immense d'un abandon, de ne pas être aimé, de ne pas être regardé, observé, choyé à l'instant où il faut, et son immense désir/plaisir de jalouser ce qui lui manque à l'instant "t" de cette crise uniquement subjective puisque, de mon côté, ben tout allait zen, car comment en fut-il autrement après une méditation ? Il te suffisait uniquement de lever les bras au ciel (comme je t'ai montré) et d'invoquer l'aide de l'univers afin que ta souffrance ne fut plus là, en toi, en manque de dose spirituelle (comme d'autre se sniffe à toute drogue illicite)... EN FAIT , ta souffrance, c'est tout l'univers en sa perfection qui entrait en toi comme on répond à l'ouvrier qui a mal de commencer un travail inconnu, : c'est pas si grave, ce bobo - là, c'est le métier qui rentre, c q f d. ! Il manque ainsi à l'humanité le goût de la solitude/plénitude qui enrichit tout ermite, ce trésor humain dont la société a besoin, vu que d'ici une décennie, on verra s'effondrer le libéralisme à outrance qui prône le tout-argent comme seule valeur absolue ! Idiotie, si l'Egypte a vécu près de 3 millénaires, c'est qu'elle avait une solide base spirituelle, ce qu'en 3 petits siècles, il aura manqué à notre "civilisation", cette source originelle, à disparaître telle une feuille morte tombée de son arbre, et qui se décompose à petit feu, jusqu'à n'être plus que nuage de cendre, et, d'un souffle de vent (Dieu ?), adieu Berthe !
CE JOUR-LÀ était tout autre Saint Valentin !