Vivez à fond votre expérience intérieure
ainsi que de voir l'infini par un trou noir d'où est venu déjà quelqu'un qui passe en nos vies sans le voir vraiment -
On vient de l'azilien ancien (pré-paléolithique si lointain que le premier homme n'a laissé de gravure qu'un portrait unique ainsi qu'un Livre d'artistes - poème précédant le dessin - ou qu'une toile sérielle) ; à se demander qui de l'étranger en soi ou de soi-même est le plus sympathique, voire intelligent - à se mirer dans une flaque d'eau - est-on ridicule dans sa peau quand on ne s'aime pas ? Et, si la charlotte à la mangue ou le bavarois à l'abricot à drôle d'aspect, est-ce mieux de le manger, les yeux fermés ?./ Il a chapeau de Juge, votre gâteau-là... A vouloir changer de vie, quelqu'un voudrait-il de la nôtre (en échange, même gratuit, tiens, je te laisse ma peau, tu me prêtes ton vêtement nu, à la place, dis ?...Et, pourquoi laisses-tu voir une bretelle de ton soutif à l'épaule gauche, la droite "voilée" de ton chemisier, tricot de corps ?../..)
Quelque détresse nôtre nous fait ainsi divaguer... D'autres fois, on s'en fiche un peu... L'ère est à la "post-vérité", plus qu'au mensonge, et quiconque se la joue moralisateur, perd d'avance sa quiétude dont tout le monde s'en foutrait...On vit sa petite existence à la manière qu'on veut.. Va-t-on sonner chez le voisin, dès le matin : oui, euh pardon de vous demander ça, mais, si je vis de cette façon, aujourd'hui, ça nuirait à votre bon vouloir être vous-même ?..Fait et cause entendus, on s'emplit d'une lumière joyeuse, échappé du mascaret des larmes anciennes, quasi préhistoriques, donc, aziliennes...
Cherche-t-on à savoir si notre patronyme se coulera dans les pages d'un dictionnaire ?..On imagine ça-voir faire ce que le voisin ne sait entreprendre, et, un bavarois à la mangue, par exemple..., ou une charlotte à la fraise...ou traverser l'atlantique en paddle...On crève de jalousie si on ne se rencontre pas en chemin d'un succès quand un idiot s'en va faire montre de ses faux talents jusqu'à Ottawa, ou ailleurs...Dans la salle des pas perdus d'une gare, cherche-t-on à retrouver son chemin intérieur ?..Profite de lister tes malheurs pour mieux en déceler ta part de bonheur dont tu ignorais jusqu'alors l'existence...cachée comme dans un trou de mémoire d'où voir ton ciel infini de pensées douces..
Le destin, c'est où, et il ressemble à quoi, le hasard, à qui ? Qui imprimerait nos idées qui trottent dans la tête, et, déjà - sortir de soi, de là, pour retrouver la page... Regardez, quand vous voyez cette chose, vous tapez :ignorez... Ouais... Et ?... C'est celle-là ?... Oui... Alors. Dès qu'on vous demande de faire un beau dessin, regardez dedans vous-même... Tapez deux fois, copiez, traitement de texte, vous élargissez ce que vous voulez... Et l'histoire d'un être qui vivait entièrement en votre ombre apparaît dans votre imagination à dessein, capito ?... Allez-y... Oui, mais moi, en ai-je suffisamment, de l'imagination ? J'aimerais créer un monde qui n'existe pas en-corps... Dans le sens qui tourne que veulent mes personnages... Ca, dont on ne sait rien... Où est-on dans le trou d'un rêve ? Un astre d'images où chacun se retrouverait dès le rêve, fichier tapé, imprimé, lancé, collé là-dessus, ignoré, à retourner sur copier/coller le Songe... Des rêves d'une vraie réalité...
- Maman, j'ai peur !
- Ben quoi ?
- Je me sens séparé du monde intérieur...
- Reviens à ton orage, personne n'est seul...devant ce que la vie lui a réservé de vivre..., et qu'il se crée, en secret, la nuit d'orages intérieurs...
- Est-ce que je le saurai quand il sera temps de me réveiller ailleurs ?
- Cache toi au plus profond de toi, ainsi la Mort ne saura te trouver...
- Maman, où va l'étoile, après la Nuit ?
- Elle rejoint le rêve que tu fais toute la journée... L'enfer existe-t-il ?
- Ben c'est ... une vie sans amour (s)...
- La mort ne vient que pour effacer de notre mémoire les mauvais pas qui nous ont empêché de vivre ailleurs nouvel horizon. BD YIN YANG DANSE !