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Prologue allégorique à la gloire des flammes / Fl'âmes. (Prélude)
Nul ne méprise le plaisir, nos yeux emplis d'amour, de rêve et de rayonnement pour Vous tous-tes.... Vous verrez, bienvenue, revenez, ô vous qui n'avez beauté emplie de charme, revenez, amour qui n'avez jusqu'alors existé !
QUELLES LARMES NOUS SUIVENT JUSQUE Là-bas si haut depuis ci-bas ?
Tu dois mourir pour renaître ainsi qu'une saison passe à l'année. Spectre de toi-même.
Longtemps, sous d'autres aspects, dans le décompte des heures;
Rédemption de chacun pour qui connaît le Golem° de l'Amour--à-mort (°masse informe, embryon - psaume 139, 16)
Songe levé, carnet du Voyageur, né - nu, phare de l'étrange et du secret de la demande divinatoire, sur l'écritoire numérique, nénuphar sans encrier, sans en crier : tu es ce que tu hais, tu hais ce que tuer fait ce que tu es, là, lequel murmure à l'opacité, l'opale cité au trans-lucide, lequel écrit : et, crie : je m'appelle Muss Manus-Christus de chair inachevé : l'homme est une femme inachevée quand, la femme, un homme inabouti ; songe levé, où vas-tu donc dans le soupir éteint ?
Silence plus cieux, silencieux, silence scié, au mieux : - qui joue là, cette ritournelle au gré du jeu pianistique de chaque goutte de pluie sur l'archet des feuillages qui se dénudent, à l'arbre de toute prairie, jardin secret, private close ?
Trace de Passion. Nous sommes "néant" (le néant nous habite), l'entre-deux : vide et plein.
Rêvai-je, depuis l'Obscur, l'Ouvert Rilkéen où rien ne se mesure sans la mesure de l'Amour afin d'aimer au mieux, du vrai amour, le vrai ! On ne cherche figure à ce qu'on ne trouve pas en soi. Déjà.
A la vie salutaire, applaudir à la douceur et à la lumière.
Point de farandole. Point de Karnaval. Aucune école ni grand canal.
Dans le soir. Dans le jour. Accomplissement de la vraie vie. L'art. Orphée suffit. Rien de banal.
Eurydice en lui, qu'il ramena de ses propres Enfers.
En faire le secret universel. La féminitude des masculinités. Muse de Mousse. Muss.
Qui sur le bord d'une jetée riveraine regarde doucement passer les eaux paisibles du fleuve calmé Eros.
Signe du ciel, capté, en les cygnes y flottant. Légèreté de notes, en passant gracieux...
Grâce aux cieux !
Sphinge, me voici !
I / L'acrobate (triste ?) de Suzanne Valadon (et , v'là donc...que , jaloux, Toulouse-Lautrec la prénomme ...Suzanne, au su et au regard du passage biblique : Suzanne et les vieillards, vu qu'elle ne se prénomme que Marie-Clémentine, née 23 septembre 1865 à Bessines-sur-Gartempe et morte le 7 avril 1938 à Paris : de plus, Satie très amoureux d'elle, elle.... : pas du tout ! Il lui fit la moue, Elle : La Roue).../ Actuellement, musée d'Arts, à Nantes, L ' expo
III / QUIMPERISATIONS (ici en mien blog, plusieurs - à rechercher en Rubrique Textes de ce Journal blogué)
Reflux,
chasseur de Joie ;
Flux,
cueilleur de Foi -
Dans ces matinaux
mille points d'étoiles
depuis l'aube
au mélange du Vivant
Qui entraîne la roue du Temps ?
- Pas une mort ; qu'est-ce qu'une mort ?
Qui entérine ces accords
sinon vide et silence à chaque port ?
Vague discrète (clapotis),
à moins que tempête à l'infini ;
qu'est-ce qu'une mort, que déferlante,
forcée, ou lente,
marques au lit de rivière, d'abord...
secrets du ciel qui s'y affalent
psaumes de rafales
ou voix discrète (mentionnée : vagues),
qu'est-ce à l'accord, un roulis ?
PÄLE ROULIS....
LA FLECHE, et le rond, ensemble au sursis
qui ricochent, font des bonds, d'appels surpris.
Par les grands fonds :
.... L'homme est une femme inachevée , quand la femme , un homme abouti, donc c'est l'homme, le nid-à-vices, isn't ?
Nous sommes arrivés au niveau "zéro" du non-esprit de l'humanité ; ça a commencé par un carnage, ca devient du grand n'importe quoi dans une guerre qui n'en est pas une, mais bel et bien un abject massacre, et plus, une aberrante boucherie, et plus, une abominable surenchère de chairs - à - canon, qui débouche sur une suspecte tuerie, laquelle tourne en horreur, sans oublier le "viol" pour arme-de-guerre (à faire des otages féminins, c'est pas pour jouer "à la dinette" !) Tout est infect, jusqu'à puer d'hypocrisie, les grands manitous occidentaux s'y rendant pour "discuter" avec les chefs d'état concernés : pas le temps de la parlote parlementaire (qui parle, ment, taire l'infamie plutôt, qu'il faut immédiatement engager, non pas du blabla à l'infini quand les corps démembrés d'adultes et bébés décapités s'amoncuèlent, dit-on, à votre avis, quel air ils prennent à la rencontre, sinon celui de la ... folie, démence pseudo-militaire !?..) Pffft, guerre ! L'une, nouvellement abominable, efface du coup, l'autre, fratricide slave...Ben voyons... Ajoutons à l'absurdité, cette "une" du Télégramme du Jour : "40 alertes à la bombe, hier, à Brest" ! Ehben ! Batifolons, restons calme, la folie est là, c'est à cause des fous-de-guerre (plus que des foudres)... qu'il ne faut pas trop s'étendre ni s'attarder sur le sujet...
Entre la voix et le chagrin,
c'est la mélancolie
toute en-corps ensorcelée
d' Ultima Temporis
d'en saisir l'agonie
des souffles et des supplices
de l'infécondité des cris
fugitifs !
Le mieux oscille entre le mal-être (le mal-à-dire, à s'exprimer) et un bien-être fou qui frôle la jouissance électrique ; un dysbarisme, donc, lié à une apsychognosie sans doute dysphonique.
A NOCTE TEMPORIS -
L'énigmatique Lumière
abasourdit
les bienheureux