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24 octobre 2023 2 24 /10 /octobre /2023 21:33
BD BOUDDHA DU SOIR

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24 octobre 2023 2 24 /10 /octobre /2023 13:37
A flamme douce, Festin des Off...

Prologue allégorique à la gloire des flammes / Fl'âmes.  (Prélude) 

La lumière secrète se crée de nous en nous
sécrète des actes artistiques L'ombre au bout
 
 
Peut être une illustration
 
 
Chaque instant qui nous vient sans calcul  (Prélude) 
est vrai miroir de l'autre à soi reconnu
cerveau éclairé
de pensées solaires sur de purs sentiments
Tout cela
Esprit renouvelé
vers quoi
tendre La vigilance
(Sérénité d'une maison, réalité de saison)
L'homme adore se vêtir de la femme
Acte qui le personnalise
en agilité vibratoire
Ecouter Le corps Savoir écouter
au creux de l'épaule :
- Tu me remplis, toute...
(ou, parfois)
- Suis-je trop étroite pour toi ?
(Tout cela en une nuit)
Après l'amour
La page est sans fin le désert d'un poème
Au grand retour
de la suivante purifiée
La page est souvent puits central
où s'abreuver -
Pages de vie en profondeur
encore entièrement secrètes
Si oubliés qu'ils aient pu être
si solitaires
si loin de tout
L'âme au repos dessus le lac tranquille
Leurs yeux mélancoliques se re-gardaient déjà
se sont éclos
en tout cela de leurs baisers
Pages de Bible Imprimatur de ce qui dure -
La pause fait de la musique
La vie, succession de fortune ironique,
ne point la presser,
Tagore : "si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors"...
Point d'avidité, cela qui nous revivifie,
allez, construisons les ponts, détruisons les murs !
Ne perdez jamais vos plus grands rêves !
Gardant d'Epicure : - "Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien"...
Crédit Photographique@Berthe Morisot - La Fable
Peut être de l’art
 
 
 
o
 
 
 
1 / Chaque instant qui nous vient sans calcul
est vrai miroir de l'autre à soi reconnu
cerveau éclairé
de pensées solaires sur de purs sentiments
Tout cela
Esprit renouvelé
vers quoi
tendre La vigilance
(Sérénité d'une maison, réalité de saison)
L'homme adore se vêtir de la femme
Acte qui le personnalise
en agilité vibratoire
Ecouter Le corps Savoir écouter
au creux de l'épaule :
- Tu me remplis, toute...
(ou, parfois)
- Suis-je trop étroite pour toi ?
(Tout cela en une nuit)
Après l'amour
La page est sans fin le désert d'un poème
Au grand retour
de la suivante purifiée
La page est souvent puits central
où s'abreuver -
Pages de vie en profondeur
encore entièrement secrètes
Si oubliés qu'ils aient pu être
si solitaires
si loin de tout
L'âme au repos dessus le lac tranquille
Leurs yeux mélancoliques se re-gardaient déjà
se sont éclos
en tout cela de leurs baisers
Pages de Bible Imprimatur de ce qui dure -
La pause fait de la musique
La vie, succession de fortune ironique,
ne point la presser,
Tagore : "si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors"...
Point d'avidité, cela qui nous revivifie,
allez, construisons les ponts, détruisons les murs !
Ne perdez jamais vos plus grands rêves !
Gardant d'Epicure : - "Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien"...
Crédit Photographique@Berthe Morisot - La Fable
Peut être de l’art
 
 
 

Toutes les réactions :
Claudia Camarena de Obeso
 
 
 

 

2 . Sans fin, flux et migrations ; eh donc quoi ?...Plus de quinze ans maintenant aussi que les flux migratoires sévissent depuis la fermeture de Sangatte par Sarko (une fois de plus, son ombre plane sur les incidents majeurs actuels, ici et là, enfin, sa/ses... décisions ombrageuses)... Or, le problème sera récurrent si aucune part franchement nette est tranchée politiquement sur ce sujet dont on n'aperçoit que le pic de l'iceberg..., une fois partis, les migrants, ils auront toujours un démêlé avec là où ils seront "accueillis" (à bras ouverts ?)... Quid des flux espagnols, italiens et d'aucuns, autres ?
Chaque fois que je passe rue Elie Fréron
à Quimper
Je pense à l'ennemi juré de Voltaire
lequel railla le journal du premier : - l'Année Littéraire
en l'âne littéraire
par ses vers
sur le rival du polémiste du Nom
"L'autre jour au fond d'un vallon,
Un serpent piqua Jean Fréron ;
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Ce fut le serpent qui creva..."
(Elie Catherine Fréron ; 1718-1776)
Où va ton Conatus ?
- Dans l'atome insécable...
Kekçaa, Crepitus ?
- Monade du pet, noumène incorporelle qui échappe à toute perception...
Kekçaa, Crepitus ?
- Je vous l'ai dit, et ce vent dans l'azur, venu de phénomène si peu Kantien du ventre de Rotas Opéra
Kekçaa, Crepitus ?
-... Paster Noster à l'envers, L'O dans l'A, oméga de l'alpha, fin de tout commencement...
Kekçaa, Crepitus, ô Râ du pet, dieu Romain qui préside à toutes séances des flatulences, Kekçaa ?
- Au ventre distandu, tous les ballonnements de l'Univers des astres, grand désastre du vent ! Toute acrasie des vies !
Kekçaa, ô si grand Crepitus ?
- Un manque de volonté, un tout relâchement...
Apathie d’Épictète ?
- Un peu de ça, un doux trouble évident...
Kekçaa du passionnel, ô vaillant Crepitus ?
- Un rendez-vous manqué, à priori, assertorique...
Peut-être est-il remis ?
- Tout bloc de marbre n'est jamais rien qu'une statue en attente d'être sculptée, il est vrai, or je ne suis Rodin, et n'ai guère de carrare que ce minerai du cas, rare !
Est-ce pour ça tout ce vent de Virtù, ô divin ventre, Crepitus ?
- Je crois bien... Et la mouche s'est perdue... dans le vent !
Kekçaa, quelle mouche, ô vaillant Crepitus ?
- La recéleuse de l'anus...
Ah je vois, et je sens, ô bouton de Crepitus ! Tel au XVIIIème, lorsque belle faisait ressortir leur bon et beau teint, sous quelque taffetas noir unetelle dissimulait "son" bouton ?...
- Oui da, la "mouche"...du pet, cela qui est mienne !
Oh l'effrontée, sieur Crepitus, divin maître !
- Non point, l'ami, non point, ce n'est point sur le nez !
Aujourd'hui donc : me sens un peu Truphémus
en mon fauteuil crapaud, sans plus...
Lecture...Colette, L' Herne.
Peut être de l’art
 
 
o
 
 

Nul ne méprise le plaisir, nos yeux emplis d'amour, de rêve et de rayonnement pour Vous tous-tes.... Vous verrez, bienvenue, revenez, ô vous qui n'avez beauté emplie de charme, revenez, amour qui n'avez jusqu'alors existé !

Tant gentil est ce lever d'aurore
que nouveau jour sourit soleil pâle
dans ces yeux l'âme porte à l'aube
par quoi tout ce qu'elle touche s'enflamme
et s'ennoblit
où qu'elle pose l'aile tous les oiseaux s'égaient
où qu'elle file tous les humains s'étonnent
et de cette fleur qui la regarde à en baisser pétales
ainsi que des yeux mêmes
fleur trésaille si fort qu'elle s'en émeut
faute soupire quelque peu
devant l'âme s'enfuit l'orgueil dès l'aiguail
du matin qui pointe
ainsi qu'un sein frais et pur
devant elle s'épanouit le sourire de Dieu
et dans ses yeux l'âme emporte à l'aube
toute colère et tous les poisons de l' Homme
Aidez-nous d'âme à honorer votre robe
si légère au dénudé de nos plaies premières !
Toute douce heure et toute humble princière
Pensée née du cœur ajustée à votre grandeur d'âme
D'en saisir le doux tressaillement
Bienheureux qui d'une fois sait la contempler
et l'a vue toute nue ainsi qu'en tout léger sourire
elle semble ainsi n'allant d'aile d'aurore que par La Nue
et ce dès l'aurore !
Ô D'âme aidez-nous à vous aimer encore...
Cela ne peut se dire qui se garde en mémoire...
Cela ne peut se taire car cela peut se voir...
Tant gentil est le lever du merveilleux
tant !
Tant la mondialisation-globalisation
nous en déshumaniserait un Dieu !
Peut être une image de 1 personne
 
 
 
 
 
Hugo parking Domicile
Flèche de Saint-Corentin
la Cathédrale, au loin...
Peut être une image de sortie de secours et crépuscule
 
 
Tel chemin file en ville
tel autre grimpe jusqu'en campagne
L'humain pense à la guerre
oubliant le sens de la Bienséance
Les berges de la vie sont bi-millénaires
mais la pensée humaine si peu farcie d'azur
qu'elle en détruit son bien : - La Nature !
Visa pour l'au-delà
(au fait, qui l'a ?...)
Tel chemin file en ville
Au langage flouté
le monde a perdu sens
Quel est ce présent
de papier
qui se déchire ?
L'immortalité
signe la vie du Jour...
Lorsque l' Éternité
subsiste dans l'Amour !
(au fait, qui l'a ?...)
Lorsque l' Éternité
subsiste dans l'Amour !
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
 
MISS ROSE A L'ICÔNE DOREE : 
Le sot se ballade
S.O.
S
La ville est dans le brouillard
S.O.S
Laisse haut
Le SO-
leil
Qui tisse sa balade
en rayons de poèmes
plus loin sur la contrée
Ville à l'agonie ?
Vie
en bi-polarité
(par "sauts et gambades" ?)
Le garçon rentre dans l'univers d'une fille légendaire
et alors le garçon rentre dans l'histoire des mythes
entre ici et là dans le monde des garçons et des filles
face aux murs des forces contraires de l'érotisme et de l'amour
qui constituent l'Histoire Humaine en la fournaise des cours
(hélas) .... d'argent sans l'art et les gens... Suite à satisfaire !

QUELLES LARMES NOUS SUIVENT JUSQUE Là-bas si haut depuis ci-bas ?

Mieux qu'hier et bien moins que demain
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
INDISCRETION DU REGARD SLAVE  (celui qui a l'âme mélancolique des russes d'avant)
A flamme douce, Festin des Off...
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24 octobre 2023 2 24 /10 /octobre /2023 07:39

Tu dois mourir pour renaître ainsi qu'une saison passe à l'année. Spectre de toi-même.

Longtemps, sous d'autres aspects, dans le décompte des heures;

Rédemption de chacun pour qui connaît le Golem° de l'Amour--à-mort (°masse informe, embryon - psaume 139, 16)

Ne bombardez pas tous les clochers à votre guise, triples buses, qui a le chagrin du berger en aurait perdu son "dieu"... Respectez la foi des autres si vous n'en avez plus, ayant le culte de l'argent de Mammon à coup (s) de milliards de dollars pour une roquette, un fusil, un missile, une mine-anti personnelle, chiens-de-guerres à répétition - pour d'exemples les peuples anciens aussi représentèrent à leur façon territoire et monde sur une seule boule planétaire à coups .... de dessins et d'inscriptions retrouvés sur des fragments d'argile ou de...papyrus, gardez donc vos papiers russes ou autres cartographies, trente ans avant Jésus-Christ il en fut mille et uns morceaux sur tablettes, contours et itinéraires, éléments parcellaires ! Vous n'avez plus l'esprit d'un "art de la guerre" mais bel et bien l'aveuglement de vos boucheries ! Qui flotte sur l'océan des abominations sanguinaires ne voit plus la voûte étoilée ni céleste fixe et solide quotidienne ; Psalter : Jérusalem au centre (carte minima extrêmement détaillée datant de...1250) ou Al-Idrissi, Bagdad au centre de cette autre mappemonde conçue par l'éponyme en ..1154 !) : vous, vous n'avez plus de "centre" que détritus, bordel de pierres bazardées, mosquées détruites...
Peut être une image de château
 
 
 
 
 
 

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22 octobre 2023 7 22 /10 /octobre /2023 08:44
Suite à ALINE (la tempête d'hier), le soleil se montre moins farouche au bord de l'horizon, à peine frimas de vent, frissonne et frémit, hennit tel un pur-sang calmé, il se répand (à la grasse matinée), l'étonnant, le surprenant, l'inimaginable éclat solaire de partout, tel un bisou sur bouche à la coupe des lèvres réunies : terre-ciel-eau-feu, tu m'aimes donc, demande l'Humanité à Dieu ?
Aucune description de photo disponible.
 
 
Rose de vie, rose pâlie, autre sonnet qu'une chanson de poésie ânonnée dans la maison où rien ne chantent que les échos d'enfance, lorsque nos regards intérieurs se posent sur de très lointains souvenirs, et moi visage collé à la vitre du Temps immobile sur les lilas-bleu blanc de "maman"...
Un néant gris-bleu au-dessus des verdures sauvegardées
Puis le sang des jours s'emmêla au rose des nuits qui forma l'aube suivante dessus l'éternité d'un horizon flambant neuf
flambant neuf
Peut être une image de nuage, crépuscule, horizon et arbre
 
 
 
 
Venice - dans une flaque (souvenir)
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
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21 octobre 2023 6 21 /10 /octobre /2023 08:01

Songe levé, carnet du Voyageur, né - nu, phare de l'étrange et du secret de la demande divinatoire, sur l'écritoire numérique, nénuphar sans encrier, sans en crier : tu es ce que tu hais, tu hais ce que tuer fait ce que tu es, là, lequel murmure à l'opacité, l'opale cité au trans-lucide, lequel écrit : et, crie : je m'appelle Muss Manus-Christus de chair inachevé : l'homme est une femme inachevée quand, la femme, un homme inabouti ; songe levé, où vas-tu donc dans le soupir éteint ?

Silence plus cieux, silencieux, silence scié, au mieux : - qui joue là, cette ritournelle au gré du jeu pianistique de chaque goutte de pluie sur l'archet des feuillages qui se dénudent, à l'arbre de toute prairie, jardin secret, private close ?

Trace de Passion. Nous sommes "néant" (le néant nous habite), l'entre-deux : vide et plein.

Rêvai-je, depuis l'Obscur, l'Ouvert Rilkéen où rien ne se mesure sans la mesure de l'Amour afin d'aimer au mieux, du vrai amour, le vrai ! On ne cherche figure à ce qu'on ne trouve pas en soi. Déjà.

A la vie salutaire, applaudir à la douceur et à la lumière.

Point de farandole. Point de Karnaval. Aucune école ni grand canal. 

Dans le soir. Dans le jour. Accomplissement de la vraie vie. L'art. Orphée suffit. Rien de banal.

Eurydice en lui, qu'il ramena de ses propres Enfers.

En faire le secret universel. La féminitude des masculinités. Muse de Mousse. Muss.

Qui sur le bord d'une jetée riveraine regarde doucement passer les eaux paisibles du fleuve calmé Eros.

Signe du ciel, capté, en les cygnes y flottant. Légèreté de notes, en passant gracieux...

Grâce aux cieux !

Sphinge, me voici ! 

Planer pour l’euphonie (l’harmonie dans les sons)
Peut être une image de 1 personne, natation, saut en parachute et texte qui dit ’CF’
 
 
 
 
 
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21 octobre 2023 6 21 /10 /octobre /2023 06:33
Zut ! La page que vous recherchez n'existe pas... Elle s'est perdue sur les ondes. Mêmes sources. Mêmes ciels. Mais, de paysanne, courir le bruit de l'eau entre ciel et terre, suivre l'écho musical et principiel du "trou" de nocturne d'où nous venons. Mêmes borborygmes agaçants sur rythmiques agacées. Mêmes cliquetis du sang matriciel. Pour les revivre, on se retire en soi. On écrit, dès lors, la page "manquante", chaque fois... Nocturno mi-bémol.
 
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Ainsi par le film (admiré, hier), apprend-on qu' Anselm (Kieffer) aime Vincent au point d'annoncer pareille à une nuit déployée en lumière de "sa" vérité :: - "nous sommes tous seuls" ; langage par un autre, on se pense alors de suite témoins suspendus dans le même salon du jour puisque déjà on sut que "nous sommes embarqués", par les "ailes du désir" de ce même Wenders, cinéaste des deux longs métrages, et "seuls" -et- "embarqués" : tel un oiseau qui bientôt se taira dans une aube affaiblie, vous et moi, tou-s-tes. - par le développement de ces assertions cinématographiques - privés et publics - , ce qui nous assure (d') une certaine éternité, pour ceux - celles - qui adoptent ces poursuivis d'idées, et pas n'importe lesquel(le)s, à dimension audacieuse et libre.
Peut être de l’art
 
 
 
 
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Nocturno mi-bémol... fussé-je (à titre personnel) TREBOULISTE d'avant, en maison de bord de mer
Peut être un selfie de 1 personne, peignoir, couverture et châle
 
 
 
 
 
 
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20 octobre 2023 5 20 /10 /octobre /2023 09:22

I / L'acrobate (triste ?) de Suzanne Valadon (et , v'là donc...que , jaloux, Toulouse-Lautrec la prénomme ...Suzanne, au su et au regard du passage biblique : Suzanne et les vieillards, vu qu'elle ne se prénomme que Marie-Clémentine, née 23 septembre 1865 à Bessines-sur-Gartempe et morte le 7 avril 1938 à Paris : de plus, Satie très amoureux d'elle, elle.... : pas du tout ! Il lui fit la moue, Elle : La Roue).../ Actuellement, musée d'Arts, à Nantes, L ' expo

L ' expo
Peut être une illustration de danse
 
 
 
 
 
II / En voyant Paul Klee c'est à la clé des champs que je pense
Lorsqu'à l'instant le sable du tableau sombre en silence...
pour qu'une autre plage à la mer recommence -...
Et l'amour n'est-il que "songe" ou vit-il "vraiment" (en silence) ?
Aucune description de photo disponible.
 
 

 

III / QUIMPERISATIONS  (ici en mien blog, plusieurs - à rechercher en Rubrique Textes de ce Journal blogué)

BOUDDHA INSIDE from my rental : Bibliothèque du Voyageur (titre d'un de mes opus)
Peut être une image de 1 personne et train
 
 
 
 
, , 
Comment restituer le caractère changeant du paysage qui, à partir du XIXème, devient un genre pictural à part entière ; et voilà qu'on médite à ce ciel qui bouge au "rêve évanoui", véritable défi pour les peintres modernes eux-mêmes entonnant la "complainte de la butte", à leur nature changeante aussi ! Les artistes se déplacent dans les milieux naturels qu'ils veulent peindre et rendre au possible plus près d'un Barbizon, par exemple, village en lisière de la forêt de Fontainebleau, là où, précisément, un groupe de peintres cherche à peindre la nature avec vie et précision.... Et, pour l'écrivain, quoi et comment donc privilégier en intérieur tout l'extérieur pour montrer "l'impression" - masquée de mots/maux - qui fait re-naître sur papier le spectacle mouvant de la ...Nature (de soi, humeurs changeantes itou à l'item ?)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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19 octobre 2023 4 19 /10 /octobre /2023 05:26

Reflux,
chasseur de Joie ;
Flux,
cueilleur de Foi -

Dans ces matinaux
mille points d'étoiles
depuis l'aube
au mélange du Vivant

Qui entraîne la roue du Temps ?
- Pas une mort ; qu'est-ce qu'une mort ?
Qui entérine ces accords
sinon vide et silence à chaque port ?
Vague discrète (clapotis),
à moins que tempête à l'infini ;
qu'est-ce qu'une mort, que déferlante,
forcée, ou lente,
marques au lit de rivière, d'abord...
secrets du ciel qui s'y affalent
psaumes de rafales
ou voix discrète (mentionnée : vagues),
qu'est-ce à l'accord, un roulis ?

PÄLE ROULIS....

LA FLECHE, et le rond, ensemble au sursis

qui ricochent, font des bonds, d'appels surpris.

Par les grands fonds :

.... L'homme est une femme inachevée , quand la femme , un homme abouti, donc c'est l'homme, le nid-à-vices, isn't ?

7, rue Treiz an Douric - TREBOUL, in house Douarnenez - à cent mètres d'une crique

7, rue Treiz an Douric - TREBOUL, in house Douarnenez - à cent mètres d'une crique

Alpha King
Monos-
in
Solitudines -

Nous sommes arrivés au niveau "zéro" du non-esprit de l'humanité ; ça a commencé par un carnage, ca devient du grand n'importe quoi dans une guerre qui n'en est pas une, mais bel et bien un abject massacre, et plus, une aberrante boucherie, et plus, une abominable surenchère de chairs - à - canon, qui débouche sur une suspecte tuerie, laquelle tourne en horreur, sans oublier le "viol" pour arme-de-guerre (à faire des otages féminins, c'est pas pour jouer "à la dinette" !) Tout est infect, jusqu'à puer d'hypocrisie, les grands manitous occidentaux s'y rendant pour "discuter" avec les chefs d'état concernés : pas le temps de la parlote parlementaire (qui parle, ment, taire l'infamie plutôt, qu'il faut immédiatement engager, non pas du blabla à l'infini quand les corps démembrés d'adultes et bébés décapités s'amoncuèlent, dit-on, à votre avis, quel air ils prennent à la rencontre, sinon celui de la ... folie, démence pseudo-militaire !?..) Pffft, guerre ! L'une, nouvellement abominable, efface du coup, l'autre, fratricide slave...Ben voyons... Ajoutons à l'absurdité, cette "une" du Télégramme du Jour : "40 alertes à la bombe, hier, à Brest" ! Ehben ! Batifolons, restons calme, la folie est là, c'est à cause des fous-de-guerre (plus que des foudres)... qu'il ne faut pas trop s'étendre ni s'attarder sur le sujet...

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18 octobre 2023 3 18 /10 /octobre /2023 07:25

Entre la voix et le chagrin,
c'est la mélancolie
toute en-corps ensorcelée
d' Ultima Temporis
d'en saisir l'agonie
des souffles et des supplices
de l'infécondité des cris
fugitifs !

Le mieux oscille entre le mal-être (le mal-à-dire, à s'exprimer) et un bien-être fou qui frôle la jouissance électrique ; un dysbarisme, donc, lié à une apsychognosie sans doute dysphonique.

A NOCTE TEMPORIS -

Tout cleptomane est attiré par les objets dont il.... n'a pas besoin ; cela peut relever
- de rester "dans les brumes" de l'esprit sombre (ou dans les embruns29 de Brest)
- d'une boulimie
- d'un trouble de comportement
- d'une urgence de thérapie cognitive/psychologique (trouble de la personnalité)
- d'une absorption constante d'anti-dépresseurs pour contrer les hormones à faire descendre la température du chapardage inutile
 
Quel plan, artisan ! Quel temps, Al Milan !
Au léger de nos vies, joyeux souci, brave pluie !
Que veux-tu, bel amour, goutte à goutte au si doux,
vent,
d'un orageux oranger, l'orage, aux secousses
tendres et douces,
le vent de l'esprit de l'au-delà descend
dans les brèves heures de tous temps plus récents,
que veux-tu ?
Il pleut, si bien, du jeu de la grisaille-ci...
Il est de doux cœur un tendre chagrin-ci...
Des vagues de cris qui émergent des flots
qui se voient depuis tout-à-l 'heure,
si nous étions faibles, la vie toute ardeur,
surgit de la vigueur
de cette pluie insistante, ah, bel Al Milan, oiseau rare
dans le vent, dans cette halte,
il y a, il y a des soucis qui s'expriment, là,
.... Dis m'en doux leurre, dis-m'en chaque heure,
du jour et de la nuit, je ne sais plus me les décrire,
il faut de s'en attendre
il en est de mon cœur, un brave,
long, doux, il m'en souvient, : ah je t'aime, non !
Pitié moi-même baptisé dans ce poème...
Ah je t'aime, non !...
On dirait un chant entendu dans le vent blackboulé par la pluie...
Ah je t'aime, ,non, courage ! Al Milan, vole haut, je te vois
dans ce mirage qui me fait des ravages, adieu ma philosophie,
adieu Poésie, voici mon dit : la voix elle est à seaux, la pluie,
Dieu pleure sur sa triste humanité qui ne l'écoute jamais...
mais le prie, mais le date jour et nuit comme un dernier quart d'heure
délivré...
 

 

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17 octobre 2023 2 17 /10 /octobre /2023 14:14

L'énigmatique Lumière
abasourdit
les bienheureux

Si, de Shakespeare, annoncé :
l'horrible est beau, le beau est horrible,
en ce cas :
Le poltron combat quand il ne peut fuir
qu'est l'exode
de l'homme sans l'être
Zone blanche
en soupirs étrangers
Pain mangé est vite oublié
Scandant le chant
Les astres
s'enflamment de leurs langages
garde-fous dans la nuit
sans bagages ni instrument
de vent
immémorial
 
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- Migrer vers les défunts ne creuse de puits !
H.-F. Amiel dit : Un paysage quelconque est un état de l'âme Il faut répondre au diable dans la langue du diable
Où est-ce la lune
sans le chemin du rêve
Corde subtile
scellée d'imageries
sortie de la sépulture orpheline
déshumanisée
de cris
ou de mal-du-pays
d'autant que selon Chilon :

"Il est mauvais de souhaiter la mort, mais encore plus mauvais de la craindre "

 

Coquillage de vie
n'est pas pierre de lune
quoiqu'une
est secret
l'autre fortune
Ô Cervantès :
"Je vis de mon désir de vivre"
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