Saint - Sébastien ( Rubens ; 1614)
Saint - Sébastien ( Elsheimer ; 1599)
Ô Saint Saint
Fais couler du ciel
Le sommeil dans nos yeux
Pour saluer
Ce grand jour d'abord
Où la nuit la vie s'y confondent
Tu sais regarder toujours vers le meilleur but à atteindre ; le véritable échange est contraire au "sens unique" ;
Les fleurs s'ouvrent. Votives joies.
Poussières astrales.
L'eau file vite au vent qui passe autant que beaux pétales.
Tous les rugissements des odeurs colorées
- De quel monde s'agit-il à mortelle passée ? O Saint, saint meurtri, de quel monde s'agit-il, juste après ?
Être avec l'instance entière de l'espace-temps donné, le Poète a l'oeil qui s'ouvre aux labyrinthiques meurtrissures, miroirs profonds sur l'infini d'où il n'y peut mais mourir à ce monde qui perle et ruisselle de sitôt votre mort, ô Saint, Saint des Eaux Baptisées !!!