Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 23:11
Partager cet article
Repost0
13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 23:01


http://img141.imageshack.us/img141/323/christlivre.jpg



De relier l'individu à Tout l'Univers,
D'unir le multiple à l' Unité,
Chaque quotidien renoué d'avec l'intemporel,
Chaque instant présent au Grand Ailleurs,
et ce dernier à l'Au-delà où le vide est Tout,
La vastitude du genre humain centré sur le Divin
sans pays d'origine autre que la vaste Terre
préférant le Cosmos à cette vaste Terre ,
Tu te recentres ainsi
ayant été longtemps mis sur le bas-côté du monde,
dans les ornières et les clapoteux culs-de-basse-fosse !

L'année du Tigre commence aujourd'hui...

Confiance et Détermination dans la Lumière des Anges
de laquelle ils sont tous nés sauf un
- Apaisement :
Aie vision plus claire dans la conscience de ta destinée
(cette harmonisation avec ton propre vécu sans te révolter
contre ce curieux chemin de vie non voulu)
Apaisement, Soleil intérieur :
Ouvre les fenêtres de ta maison corporelle
en amont de toute méditation :
dans la transparence de soi s'inscrit et se voit
La réalité de tout autre que toi -

Éclat Po-éthique :
Beauté, Liberté, Vérité d' âme douce...
(Le poids de l'argile ramène vers le bas-astral
qui désobéit à "La" Lumière de l'esprit
qu'Adam lui-même reçut
devant qui les Anges s'inclinèrent et se prosternèrent
sauf un, feu souterrain, Prince porte-lumière,
 le souffle du mal dans toute âme perdue !)

Religio :
- Garde vertu contemplative dans la satisfaction divine,
prie, médite, garde foi
(ce "sentiment accompagné d'une connaissance sacrée")

"Vivre, c'est agir, c'est lutter, c'est vibrer et faire vibrer les autres...
C' est vraincre ! " (Cardinal Mercier)

Partager cet article
Repost0
7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 10:22

 

http://img707.imageshack.us/img707/5242/durer.jpg

 


Dürer s'est vu en "Christ", l'Eternité demeure ;
Le visage apaisé, les yeux en profondeur
d ' humanité ;
Le Christ semble apparu dans l'âme de Dürer
afin que nous y puissions chaque jour replonger
de Bonheur ...

Partager cet article
Repost0
6 février 2010 6 06 /02 /février /2010 00:05

Tu marches dans le "désert", mais Dieu te "divinise".
Tu erres, mais Dieu t'accompagne.
Tu cherches le sens de l'existence, or Dieu te guide.
Tu ignores où tout cela te mène, or ton pas vient de Lui.
Même à te tromper de chemin
(si tu ne marchais que pendant les beaux jours, tu n'irais pas loin !)
Calme et stabilité sont le Nom qu'il emprunte pour soigner ton inquiétude,
ton épuisement comme ton excitation devant les pulsions positives/négatives.
Son Énergie fait ta sérénité.
Sa Force infinie, ta constance.
A la guise du Désert, Il n'a ni lieu ni temps.
Ton bonheur est le Grand Ailleurs (contrairement à l'inévitable "ici et maintenant") !

Granum sinapis "grain de sénévé", poème de chaque instant.

Le pas de l'esprit est le plus important.

E T E R N I T E

Partager cet article
Repost0
4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 23:27

Souffle parfait en pleine harmonie avec la vacuité cosmique pleine de sens, spirale d'un rien pur, la spiration de l'Inspiration.
Ciel d'aucune pensée, à l'écoute seule qui garantit la foi quand aucune oeuvre n'est visible, le visage effacé par aucune présence physique, chez moi, je goûte à ce mystère du "grand désert", où je laisse entrer le "Ego sum qui sum", unique "visiteur" d'essence lumineuse et Parole éternelle au coeur de mon profond silence, empli de ce "Je suis celui qui suis..."

Il n'a aucune image ni aucun nom, il les confond tous en l'unique et semblable potentialité de son Humanité aux multiples visages et noms. C'est la spiration.

http://img534.imageshack.us/img534/4999/saintsonge.jpg(2000 ; crédit photographique Doaré ; Douarnenez)

Partager cet article
Repost0
4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 06:30


"Et le feu de l'esprit ; qu'en fait l'homme ?" A-M
(on peut dire qu'il s'agit ici de l'aura du Sagittaire quand il marche dans la mouvance de cet homme-en-feu !)

Proverbe Arabe : "Les rois dirigent les hommes, les savants dirigent les rois..."

A moins que ce ne soit, pour atteindre "l'état de béatitude infinie - Ananda", réserver en soi
l'essence de la médecine de l' Aigle :
après l'épreuve du cheminement terrestre - haut et bas -
Faire totalement confiance à notre lien au Grand Esprit (droit acquis)
Etre aussi libre que Zénon dans un Monde qui ne l'est pas
Etre aussi en retrait du mauvais monde social qu'un personnage Leclézien
pour entrer dans la mort prochaine "les yeux ouverts"
puisqu'il n'y a ni Eternel féminin ni Homme parfait
La société refusant quiconque n'est pas "identifiable"...

Le temps ne s'attrape pas, il coule comme la rivière....
Le Sage ne s'intéresse qu'au ciel ; le vil n'arrête pas de critiquer les hommes !
 Pour savourer le "feu" du bonheur : connaître ses trois faux amis :
- Le flatteur hypocrite
- Le fourbe insincère
- Le beau parleur
(qui ne croit pas ce qu'il dit)

Alors, pour goûter le feu de l'esprit calme, j'ai posé mes pensées les plus noires
ainsi qu'un Zhwangzi, moine bouddhiste ayant traversé la rivière,
pose le sac qu'il portait sur ses épaules, s'en allant, l'esprit nu :
"Qui commence à obéir, n'en finira jamais...."

N'attiser que les trois sens spirituels "pour son seul désir ; Dame à la Licorne pour fée" :
- Le goût
- La vue
- L'ouïe

Ainsi de ne savourer que le Bonheur d'être là.
Partager cet article
Repost0
28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 23:05

A l'aise dedans.

Silence, à la muse Écho. 
Écho-Logie ?..

Bio-Sphère, vie de l'Univers.
La diversité dans la Maison du Monde.

Que ne savons-nous pas ?
La nécessité d'être là.

Quelles sont nos obligations ;
Notre corps est-il le nid de nos émotions ?

La Poésie des "petites choses"
est "fiction vive" de la Rose.

Ange qui souffle
une "brise mouillée"
"Pluie et rosée"

Rosée et bruine
gelée froidure
glace neige
éclairs nuages
Vent
montagnes
collines
plantes
fontaines
Puits
mers
océans
fleuves
poissons
oiseaux
bêtes
enfants
Anges
"bénissez le Seigneur" (Daniel)

Gloire à l' Ici
Puissances et Vertus
Pluie

Grandes et Petites
choses proches
et sensibles
Cibles
de l'émerveillement
Gloire à l'Instant

Placiers de l'Aube
Glaciers de l'onde
Beautés du Monde
Blessent Laudes

Au-dessus des jours
sous les voûtes nocturnes
au coeur des "Présences"

A l'eau quêtée
- Parler !
Le chant est seul.

Ici
Le poème protège le lecteur
"Louez le Seigneur"
L'ange me l'a "donné"... !
L' ange de l'enthousiasme °

° enthousiasme : "Dieu en soi ; transport divin"









Partager cet article
Repost0
28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 04:20
L'ombre de la vie n'a pas éteint la lumière en moi.
J'ai cherché d'autres pays, ne me plut qu'un seul endroit.
La flamme d'une bougie qui apaise.
A la chaleur d'une idée princière, rien n'égale la lueur singulière.
Elle a plus de langage en ces milliers de silences accouplés
qu'une encyclopédie entière sur des milliards de sujets ;
Elle contient Le Verbe de l'existence inouïe,
Le coeur des Marthe et Marie
A l'entour de l' Éternité
où vont les coeurs humains se réchauffer.

L'unique nécessaire
De l'endroit est l'envers
Du "Deux" c'est l'  Un
Des yeux c'est l' âme
Du "Toi" c' est moi
Du "moi" c 'est nous
et aussi de la Flamme
qui n'a ni extérieur ni intérieur
C'est  Dieu -

Il est en haut à droite au coin de ce Lieu.

Suso : " L'intériorité jusque dans l'extériorité est plus intériorité
que la seule intériorité..."

La prière ne contient pas de "travail".

Marie a rejoint Marthe, en cet unique nécessaire.
Le coeur et l'esprit "libres" des mille et un soucis
que comporte chacune des vies.

Nous accompagnons nos "soucis" sans y être "dedans".
L'unique nécessaire est le Présent.
Intravit Deo.

Peu importe la tâche à accomplir ou l'idée qui nous vient
Peu importe qu'un soleil dans la nuit soit l'espoir de demain
Peu importe qu'une ombre vous embrume la pensée
Peu importe qu'une marche vous implique en mille pas
Le premier nécessaire joint à l'utile est de laisser entrer
Le lumignon de la lueur première en vous qui êtes éteint
- Dieu.

Auprès des choses, on fait de grandes choses.
Dans les choses à faire, on s'aveugle de toutes choses.
Le "détachement" couve notre disponibilité.
J'ai cherché mille endroits, en passant à côté
de ce qui était "en moi"... !
Je me suis guéris d'un grand esclaffement !
Passé-futur ne sont que présents (cadeaux et instants).

L'unique nécessaire.






Partager cet article
Repost0
26 janvier 2010 2 26 /01 /janvier /2010 23:04
Sois l'unité avec le coeur des fleurs, toute vie cosmique.

Les relations spirituelles commencent de l'infiniment grand à l'infiniment petit.
La Voie des fleurs y mène ; hymen et rien, voile de Mû-shin gardé sur votre coeur afin de recevoir le Tout.
L'esprit calme et pur, sans penser, vous trouverez tout.
Craintes et peurs chassées comme autant la colère et l'indignation, l'attache inutile avec tout un passé.
"Aimez et honorez" toute l'Humanité.
Là où vous vous trouvez, c'est le bon lieu qu'il vous faut occuper.
S'il vous faut "arranger" les fleurs, par un esprit religieux (religare), faites votre bouquet.
Et, à vous-même : - Renoncer !

J'ai écrit sur un pan de mon mur de chambre-océan le poème zen que voici :
"Que ne puis-je, avec cette branche de prunier en fleurs,
vous offrir le chant qui ce matin la faisait frémir.

J'ai su que le maître de Fleurs répondait au nom de Kawahara Ikkô Kaishun.

J'ai vu, inscrit sur une calligraphie, ce qui suit dans le cours du temps :
"Il suffit d'une fleur pour que ce soit le printemps dans l'univers tout entier"...

http://img682.imageshack.us/img682/6861/jardinzen.jpg
Partager cet article
Repost0
25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 23:19

Un an durant, en un dojo Zen de Quimper, ai pratiqué "la contemplation du mur", Zazen devant la blancheur, Zazen devant le bonheur d'être là, Zazen devant les pensées qui s'en allaient d'elles-mêmes, nuages de l'esprit filant, par l'effet Zazen du non-attachement, un non-corps, qui est le bon corps, sans être "le corps" ; l'acquis de cette année-là m'apporte encore la Paix de l'ici et maintenant, dès qu'à observer les obstacles, il me faille convenir de m'en séparer.

Le bonheur d'être là, devant la contemplation du "mur virtuel", cette fois, quand ce n'est pas celle de la blancheur d'une page.

La pacification du mental, elle se nomme "pi-Kouan".

Le Christ avait lui-même dit : "Je vous donne ma Paix, je vous laisse la Paix"...
Paix, c'est pi-Kouan, "la contemplation du mur"...intérieur !

Pi-Kouen, en-corps :
- Peinture et musique chantent un Bonheur du monde souffrant, que vaut la Poésie, la Sagesse "Sophia-Maät" semble ailleurs, une jeune fille de Manet... ?
  Un réel retranscrit dans une toile imaginaire, réelle elle-même.
  Un poème s'étend sur les rivages des émotions.
  Ici, le mur est d'eau, que je contemple ; à quimper, il était comme couvert de lait, blanc.
  Un miroir inverse et change le temps en ce qu'il réfléchit du mouvement miré perpétuel.
  Le mur du fond du monde est courbe.
  L'esquisse d'un horizon "autre" fait reflet autonome.
  Immédiateté mobile.. peu profond.
  L'inexpliqué qui s'ajoute au présent naturel et compris dans l'évidence de nos jours....
  Profil "perdu" de Proust.
  Fumée, vapeur volatile d'un Temps absent.
  Les grands boutons du ciel de nuit, les étoiles, remplacent nos lumières artificielles.
  Projection de nos fantaisies et de nos folles espérances.
  Voeu fait à la filante : - une autre existence, une vie toute intérieure !
  Voix ronde de l'optique lunaire dans le bleu onirique de la nuit.
  Tréboul est alors autre chose, Tréboulchose, pour mon oeil...
  Le ciel répond à mon désir attentif, d'une émotion esthétique.
  Gros dodo au dojo de l'Univers, d'au-delà "d'une présence-absence"...
  Mélancolie.
  Voir le lieu finistérien bien autrement qu'il n'est à l'ordinaire.
  Nouveau regard sur l'esquisse qui reflète notre monde menaçant de manière d'un moment
qui dure, fraîcheur qui colore notre colère modèle.
  L'homme est l'homme qui occupe un lieu dont les atours deviennent appâts : - Un nu d'Olympia
usurpé par le miroir du Temps qui vieillit la jeunesse d'une peau libidineuse.
  L'oeil pense, la pensée s'absente, la main impersonnelle se dégage dans le nulle part de la "caverne"...
  Énigme d'une inquiétude... qui flotte dans l'espace : - Une joie !

  Source de lumière.

  Contemplation du mur des vagues au soleil d'hiver depuis le balcon d'un muret des Plomarc'h.

  C'est l'ici-maintenant dans l'un peu plus loin dans le présent, hier.
  Ivresse simple. Livre refermé sur la plénitude humaine. Hier.
  Bonheur ivre d'une sobriété. Dès maintenant.
  
  "Ce qui est oublié n'est pas regretté" (J. Heywood) -
  
 http://img191.imageshack.us/img191/1782/barauxfolies.jpg  (dernier de tableau de Manet - Bar aux Folies ;  1882)

Détail original : il signa cette toile sur... l'une des bouteilles, lequel peintre ajoutait rarement sa signature
 
(qui regarde qui, quoi, où, quand ?.. : Pi-Kouan) 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Saint-Songe
  • : Journal Poético-Littéraire Spirituel
  • Contact

Recherche

Pages