Il se peut que nous ayons à rechercher quelque Corps de Lumière, en nous, peut-être...
C'est le pas suivant qui compte, quoi que nous ayons traversé la veille ; se fâche qui l'ignore, le Sage en est
conscient : "Tous les phénomènes résultent de nombreuses causes et conditions..."
Ange ailé, Chérubin en forme d'Oiseau-Paon, Corps de Lumière dessus les eaux nocturnes parmi le Jour,
je m'appelle Mufikazot...
Je disparais alors derrière les corps ombragés, les masses nuageuses d'imprécises pensées , courants
d'air dans un pays de cyclones (Iles Maurice, par exemple), Etat insulaire de qui n'a pas le temps d'un repos
dans une journée furibarde d'activités, quand le mot "travail" a perdu le vrai sens de sa valeur.
La Femme est un vent tournant ; l'Homme une terre étrangère, Infinisterrae, Terra Incognita, par exemple...
Il conviendrait qu'ils s'unissent mieux dans un seul cerveau.
Le Corps Lumière à trouver serait l'Or mû en ces vents sur ces terres de sables blancs où les cris volatils
étonneraient plus d'un oiseleur !
Ce corps aurait uni ses deux hémisphères, deux parts cervicales cousues de fil de poudre blanc :
- le terreau de l'air de l'Ethérique pensée unifiée, "pierre philosophale", s'il en est...
Le Corps y fait l'urine du coryphée plus claire et pure, l'eau blanche et lunaire de toute pensée nue....
- Noces, feras-tu, ce soir, dès la nuit tombante ? Noix de neige, je m'éventre...
Je m'appelle Mufikazot.
Chérubin, ange ailé, qui a vu Moïse brûler le "Veau d'or" duquel sortit la nourriture spirituelle des premiers
Israélites, une poudre de sable fin dite de "projection", aux propriétés extraordinaires de "mutation" et de
subliminale "élévation", quoique dangereusement mortelle pour qui la manie mal, ne la digère pas...
Je m'appelle Mufikazot.
Chérubin, ange ailé, corps nu tout le jour, j'ai vu l'Oeil de Moïse briller de Sa découverte, regardant en coin
la fameuse formule des tourbillons de sable d'or blanc faisant Corps "Un" dans l'espace-temps d'éternité
où nous nous trouvions, où l'Humain doit se rendre, une fois recousu ses deux hémisphères, expériences
mâle-femelle achevées, allant plus avant en-corps...(ré)unifié, divinement....
Je m'appelle Mufikazot, et j'ai vu, et, je viens vous le dire...
La Poésie du Monde n'est porteuse que de Poé-vie, qui n'a nul besoin d'être écrite.
Elle doit être uniquement vécue comme telle, sage prière qui ne véhicule aucune "Vérité", hormis celle de
l'eau de nos amertumes (Mara) traversée en pureté transmutable et qui en fixe le divin dans nos esprits
bêta ; je n'ai pas eu la berlue, j'ai vu , je m'appelle Mufikazot, l'ai perçu, elle agit par attouchements subtils...
C'est à peine si on peut ressentir l'effet de la Transformation intérieure, une fois bu ce breuvage d'or blanc,
pur et fin, sperme divin...qu'est cette Neige, eau de noix de neige, oui, pour vous, j'ai vu, goûté, apprécié...
Je m'appelle Mufikazot.
Je suis l'âme-en-songe d'une fée magicienne proche et lointaine, là-bas.........
Car c'est elle qui vous délivrera le secret de ce "Pain de la Présence" fait de cette fine poudre d'or fondu
(sable d'or extra fin), incombustible par l'encens des vents qui la fabrique dans la spirale de chacun des
Savoirs unique(s) intransmissible, sinon virtuellement ou à distance, télépathiquement...
Je m'appelle Mufikazot , et la fée-magicienne, Noix de neige.
Nous vivons l'un sans l'autre, quoiqu'unis indubitablement. Nous sommes nés au son des balafons et du
très beau chant sonore des grands oiseaux africains, un sorcier nous protégeant du pire, par sa venue de
La nuit des temps immémoriaux où tout est encore jeux de lumière rebondissant sur un creux céleste bleu
d' ultime "illumination", pour qui veut nous suivre sur ce chemin précis, nouveau, de sable d'or blanc.
Je m'appelle Mufikazot, ange ailé, chérubin aux traits de Lumière, bien en phase avec "ma" fée magicienne,
Noix de neige. Je l'aime. Nous avons fabriqués pour vous le Nouveau Monde....
Deux hémisphères cousus de fil blanc dans un unique cerveau à égale distance de pensées d'Ors mus....
Soyez les Bien-venus...