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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 04:27
Un pont de trop plus loin,

Des aigles volaient haut
près du lac,
l'étoffe au second lieu qui érige le chemin nouveau,
la montagne t'examine.

          Profondeur des contrastes.

Hospitalité des nids,
le dehors a percé le dedans tout entier.

Frontière du Pont bleu d'une ville moderne,
plus de liens, on s'isole dans les bruits choisis.

Société adulescente, société impatiente,
on te "traverse" comme un Pont sans âme...

Même au "tombeau vide", dans le creux d'une pierre,
il pique un rêve au tricot des multitudes, L'Endormi !

Dans la diversité, maille à maille ôtée,
la vie sereine s'est  vue plus nue aux flancs des espaces visités
qu'un rayon solaire sur le soir de l'homme
avant que ne l'effeuille la lune noire,
nullité alitée au nul été qui dure en son moi "illusoire"
(à ceci près que la pensée n'est  plus même sensation sonore)...

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 06:36

Tous les excès sont mauvais ; la "bonne et  juste" mesure est à chercher.

La "morale" limitée d'un seul homme peut-elle influencer les pensées interplanétaires ?
Cet homme vient le tenter, sachant qu'il faut hurler avec les loups, selon  Le  bon proverbe français ;  il hurle,
malgré qu'il soit sensible et doux, original, raffiné, tout en nuances, communicatif à souhait, attiré par tout ce
qui sort de l'ordinaire ridicule et plat, malsain même dans son côté routinier, s'enrichissant ainsi de "morale"
non exhaustive, qui plaît aux passionnés  aussi  déterminés que lui, rien que pour réinventer ce qui convient
à un quotidien naturel et basique ;  bémol :  les autres en abusent, ils savent trop qu'ils peuvent compter sur
son franc-parler et sa générosité parce qu'il leur inspire cette confiance  "philosophique"  qui leur fait défaut, 
trop sensible  à eux qu'il est, ne souffrant pas voir (ni percevoir) quiconque souffre, animal ou humain,  floral
et végétal, minéral, flore et faune polluées, l'entourage  sentimentalo-affectif  répondant présent à chacun de
ses  "premiers pas"  pour,  sans être dupes ni attirés dans les pièges éternels de l'amour,  ensemble,  vivre
avec beaucoup de vigilance, ils surent l'écouter, hier, à Quimper :




Jadis , l'Homme craignait que le ciel ne lui tombe sur la tête ; de nos jours, le même a peur que la
planète  n''implose de sa faute !
Il n'a pas su atteindre le Bonheur du Grand "vide"....avec sérénité.
Et, de "juste mesure", accompagner la Femme et la Nature, en silence et soupir, comme sept  morceaux  de
Bach, superposés, joués alternativement ou séparément, dans une même  "composition"  d'oeuvre de grâce
et de beauté, paix divine.

Il n'a pas su prendre soin de son "enveloppe" corporelle et terrestre.

Liberté intérieure lui aurait alors échappé, d'un manque de confiance et ne sachant par-donner, sans attendre
de retour d'Amour et de Jouissance.
Il eût dû écouter le Chant de la Forêt et de la Terre-Mère lui exposer les Généralités (Philosophie de base) :

- Pardonne, et fais confiance
- "Ouvre-toi à ce qui vient" du jour et ce, jusqu'à la nuit tombante
- Ne cherche pas à plaire, accepte tes imperfections, concentre-toi sur l'Amour des autres
- Désencombre-toi de tout ce qui ne t'a pas servi durant l'année dernière
- Retrouve l'essentiel en jetant l'inutile (en tout)
- Donne-toi le temps de te donner un Chemin de grande Liberté nouveau
- Opte d'avoir le droit d'être entièrement ce que tu es
- Colorie ton "Mandala" intérieur
- Remercie l'oiseau, la rivière, les arbres, la brindille, une herbe, telle fleur, quelqu'un d'inconnu (qui jouerait de
 la guitare acoustique, par exemple, quand tu lui préfères le piano)
- Goûte à 7 saveurs , par ordre de préférence..........intimistes et culturelles
-  Accepte tout ce que la vie t'apporte, bonne et mauvaise choses, choisis le meilleur d'entre elles, amical,
professionnel et religieux, personnel aussi...
-  Remercie qui te croiserait en chemin,  te(le) inconnu(e),  jusqu'à bien  l'étonner  (peu de gens abordent des
inconnus,  genre : -  je sais que c'est pas commun de demander ça, mais aurez-vous un mouchoir en papier ,
ou mieux,  êtes-vous heureux à l'instant où je vous parle ?
- Rebrousse-chemin, si tu ne trouves pas l'issue au Bonheur, qui est  Contentement de soi, Joie pour autrui,
Plénitude, Sérénité, Etonnement...
- Evoque 5 aspects nocifs à délester (Deuils et Compagnie)
- Répète "Aujourd'hui Je suis Vivant"..., jusqu'à te trouver une Liberté nouvelle

(Gens d'ici et d'ailleurs, qui passerez peut-être, vous pouvez tenter de capter ce que votre existence sollicitera
afin de vous aider à "faire le vide", pour ordonner vos pensées-budget-besoin-envie-désir--préférence-choix-
vouloir et savoir .......tout ce qui soit efficace et essentiel afin de mieux vous re-connaître pour mieux accepter
l'autre, qui ne se connaît pas plus que vous, d'ailleurs, pour mieux vous re-centrer dans ce Monde de sur-con-
sommation indigeste, parasite et nocif )

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 04:54


                        Il se peut que nous ayons à rechercher quelque Corps de Lumière, en nous, peut-être...


C'est le pas suivant qui compte, quoi que nous ayons traversé la veille ; se fâche qui l'ignore, le Sage en est
conscient : "Tous les phénomènes résultent de nombreuses causes et conditions..."
Ange ailé,  Chérubin en forme d'Oiseau-Paon,  Corps de Lumière  dessus les eaux nocturnes parmi le Jour,
je m'appelle Mufikazot...
Je disparais alors derrière les corps ombragés, les masses nuageuses d'imprécises pensées , courants
d'air dans un pays de cyclones (Iles Maurice, par exemple), Etat insulaire de qui n'a pas le temps d'un repos
dans une journée furibarde d'activités, quand le mot "travail" a perdu le vrai sens de sa valeur.

La Femme est un vent tournant ; l'Homme une terre étrangère, Infinisterrae, Terra Incognita, par exemple...

Il conviendrait qu'ils s'unissent mieux dans un seul cerveau.
Le Corps Lumière à trouver serait l'Or mû en ces vents sur ces terres de sables blancs où les cris volatils
étonneraient plus d'un oiseleur !
Ce corps aurait uni ses deux hémisphères, deux parts cervicales cousues de fil de poudre blanc : 
 - le terreau  de l'air de l'Ethérique pensée unifiée,  "pierre philosophale",  s'il en est...

Le Corps y fait l'urine du coryphée plus claire et pure, l'eau blanche et lunaire de toute pensée nue....
- Noces, feras-tu, ce soir, dès la nuit tombante ? Noix de neige, je m'éventre...

Je m'appelle Mufikazot.

Chérubin, ange ailé, qui a vu Moïse brûler le "Veau d'or" duquel sortit la nourriture spirituelle des premiers
Israélites, une poudre de sable fin dite de "projection", aux propriétés extraordinaires de  "mutation"  et  de
subliminale "élévation", quoique dangereusement mortelle pour qui la manie mal, ne la digère pas...

Je m'appelle Mufikazot.

Chérubin, ange ailé, corps nu tout le jour, j'ai vu l'Oeil de Moïse briller de Sa découverte, regardant en coin
la fameuse formule des tourbillons de sable d'or blanc faisant Corps "Un" dans l'espace-temps d'éternité
où nous nous trouvions, où l'Humain doit se rendre, une fois recousu ses deux hémisphères, expériences
mâle-femelle achevées, allant plus avant en-corps...(ré)unifié, divinement....

Je m'appelle Mufikazot, et j'ai vu, et, je viens vous le dire...

La Poésie du Monde n'est  porteuse que de Poé-vie, qui n'a nul besoin d'être écrite.
Elle doit être uniquement vécue comme telle, sage prière qui ne véhicule aucune "Vérité", hormis celle de
l'eau de nos amertumes  (Mara)  traversée en pureté  transmutable et qui en fixe le divin  dans nos esprits
bêta ;  je n'ai pas eu la berlue,  j'ai vu , je m'appelle Mufikazot, l'ai perçu, elle agit par attouchements subtils...
C'est à peine si on peut ressentir l'effet de la Transformation intérieure, une fois bu ce breuvage d'or blanc,
pur et fin, sperme divin...qu'est cette Neige, eau de noix de neige, oui,  pour vous,  j'ai vu, goûté,  apprécié...

Je m'appelle Mufikazot.

Je suis l'âme-en-songe d'une fée magicienne proche et lointaine, là-bas.........

Car c'est elle qui vous délivrera le secret de ce  "Pain de la Présence"  fait de cette  fine poudre d'or fondu
(sable d'or extra fin),  incombustible par l'encens des vents qui la fabrique dans la spirale de chacun des
Savoirs unique(s) intransmissible, sinon virtuellement ou à distance, télépathiquement...

Je m'appelle Mufikazot , et la fée-magicienne, Noix de neige.

Nous vivons l'un sans l'autre, quoiqu'unis indubitablement. Nous sommes nés au son des balafons et du
très beau chant  sonore des grands oiseaux africains, un sorcier nous protégeant du pire, par sa venue de
La nuit des temps immémoriaux où tout est encore jeux de lumière rebondissant sur un creux céleste bleu
d' ultime "illumination", pour qui veut nous suivre sur ce chemin précis, nouveau, de sable d'or blanc.

Je m'appelle Mufikazot, ange ailé, chérubin aux traits de Lumière, bien en phase avec "ma" fée magicienne,
Noix de neige. Je l'aime. Nous avons fabriqués pour vous le Nouveau Monde....
Deux hémisphères cousus de fil blanc dans un unique cerveau à égale distance de pensées d'Ors mus....
Soyez les Bien-venus...


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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 09:40
Jusqu'alors, aucune entité ne se met d'accord sur nos maîtrises de clairvoyance et de kinésie, l'Homme vient  à
peine de placer ses premiers pas dans "sa" nouvelle vie, ayant entendu Le cor de Roland claironner à son ouïe
tous ces phénomènes étranges du psychisme et du scientifique....

Il n'y a pas de hasard, que la canalisation des flux, selon les lois cosmiques.

Le pouvoir de la pensée découle des actions comporte-mentales.

L'écriture de "notre" vie,  elle s'ancre  profondément , s' imprègne,  de la naissance à ce jouir du jour,  au dedans
les univers du subconscient,  lequel  méconnaît  les espace-temps, car il précède l'inconscient, chevalier servant,  fier gérant de nos chères fatigues,  de nos malaises,  de nos amoindrissements psychiques ( nos dépendances, toutes nos jouis-sances obligées, l'ensemble de nos esclavages),   prenant  ainsi  le  relais de notre conscience de chacun de nos sens, quand nous n'investissons plus nos développements, abaissant  les armes de la stabilité et du recul.

On ne peut plus positif, cet homme nu a besoin d'en être rassuré, qui écouta Le cor de Roland dans leur potentiel
privé ; la répétition des faits et gestes, par les expériences vécues, est la clé de "sa" réussite autant que de la vôtre.

L'esprit neutre de la naissance, puis l'imprégnation des jours et des nuits, le conditionnement d'avoir des visions
des choses ont façonné le sixième sens de cet Homme, au plus nu de son nu..
Homme révélé, puisque devenu maître de Roland  (prénom dudit subconscient qu'il lui donna en combattant de l'écoute et du dire vrais), ainsi aura-t-il su contrôler les choses que son nouveau subconscient ne lui commandera plus, ayant  su  décider  de vivre avec lui,  et  d' accomplir chaque expérience  en nudité compétitive, sans avoir tué l'ogre Roland, son subsconcient adouci , qu'il  dirigera , à la  bataille des individualités prégnantes.

Cette bataille, qui commence à tous les âges, ne se terminant à aucun...

Cette bataille personnelle, et mienne, ce jour , vivant les plaisirs accentués, rares et éveillés :
- La Recherche du réel bien-être, grâce à l'application des Lois du succès datant de l'Antiquité, condition sine qua
non pour connaître et garder la conscience élevée, au développement  libre  de la libido,  selon mon état d'âme,
hors des normes sexuelles,  seulement  à partir de qui Je suis....
(de qui l'on est, au ressenti et au respect du partenaire, au  combat loyal des nudités, sans aucune démarche préalable)...

Ange ailé, coach de vie, de Justice et d'Amour, que l'Homme nouveau ne soit plus victime des idées reçues, se
donnant le temps de la réflexion, enrichi par les expériences bicéphales....
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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 06:02



"Tout ce qui est un peu divin est diabolique" (Marcel Jouhandeau)

Autrement dit, et cela va sans dire, sitôt évoquons-nous le mot "Dieu" que le diable
apparaît sous de multiples signes, formes et propos adverses 
(N'éteignez jamais la Lumière de votre coeur)   
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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 13:24


Jeunesse qui tourne sans savoir où aller
en voiture ou à pied
Pas de présent  Plus de jour   futur
de nuit de jour sans numéro de sécurité

La Rose ou le ruban
Tu laisses ou tu prends

Le Poète nu à la lumière d'un jour
luno-solaire
Linette Livre 7 en nuisette
La lutte avec Jacob ou l'Ange de sa tête
Le mal est  virtuel
à Manosque ou à Sète

La Rose ou le ruban
Tu laisses ou tu prends

Fais-la manuelle
avec Marianna ou tel Masque zen
Passe au massage-manivelle
Mano solo au bord de l'eau
Médite ou romance-photos

La Rose ou le ruban
Tu laisses ou tu prends

Poulette Poussin
(Narcisse est en Preview an bed storm)
Proust a le raccourci vers Psyché
réflexion retournée

La Rose ou le Ruban
Tu laisses ou tu prends

Rougeur matinale
Rowling Rowling
Sein Angelic

Mon Ange nu  43814
Cher Ange ailé 101961
à genoux accroupi Aladin
Aladin 1  &  Aladin 2

La Rose ou le ruban
Tu laisses ou tu prends

Amantes allongées
Ange Ange-Fée
Ne vole au septième  ciel  fêté
L'anniversaire d'Apollon décédé

à l'approche d'un arbre
en attente de reverdir
au bord d'une source au milieu des bois
au soleil de la mort au-dessus du gouffre
Pire fait accompli
Tu laisses ou tu prends
ce que  Pape a maudi

Eros Erectile
Esprit zen
outre-Evangile
selon saintes gens

La Rose ou le ruban
tu laisses ou tu prends

Autoportrait aux bas blancs
La Rose ou le ruban
Tu laisses ou tu prends

Faucon pèlerin
préserve-t'y
Bunuel Bussi
Ceci n'est pas une...
chute de reins gratis
mais la Colombe pour demain
Le caoutchouc virus-anti

La Rose ou le ruban
Tu laisses ou tu prends

Faucon pèlerin
Flamme ailée
Fruit du mâle
Romain-germain
C'est le Graal
Tu laisses ou tu prends
Banquise finale au fruit du mal

Curiosité
Dégel
Le pape méconnaît
son dernier croissant
Il nous reste dix ans
Tu laisses ou tu prends

Deux doigts de Rose sans
ou le ruban


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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 07:29
   * Qui a le temps a la vie (devise d'ici)

Laquelle orchestration du Temps quasi monacal(e) :

- Silence mien seulement amoindri par l'écho de la note
(la plume crisse sur le papier pur)
avant la lutte des sommeils, douze navigations sur la mer de mes rêves
(un Monde assagi respectueux de la Terre-Mère)

- Je traverse la ville invisible et méconnu, Moine Blanc dans la ville...

- Jouir-le-Temps, Amzer'zo *
(Equinoxe des heures entre la terre et l'homme, Texte zéro,
Une Eternité plus ce jour...)

Mon corps se livre à sa douceur Moire
Moiteur de nuit aux journées transpercées
Mon corps au sien tenu sublime et secret
s'expose aux multiples attirances ;
Voile,
tulle des plumes de neige,
quant à la plénitude lunaire, dès le soir...

Sommeil qui me stipule
sanguin dans la durée
sapientiale
(Eclats intimes de flocons célestes
aux cardinales dilatations) ; reptile,
L'amour...

Une prière chaque jour, nous en sommes Demain
(Sept plénitudes au gré d'un jour)  ;
Le corps nu du Poème est le retrait épanoui
(Sperme de spasme aux sphères des soupirs) ;
Plus calme densité
que la mer bleue des pierres
à chair d'invisible lumière
en crépuscules d'ondes...

Cela flottait sur ma vie, ce matin, Amzer'zo,
je ne fais "rien", tout coeur heureux
se lit aux vérités des yeux comme à l'esprit
se lie une source qui sourd d'une goutte d'écritures
posée sur une bougie
à la rosée des mots d'une adipsie
(ce miroir d'être rendu plus lisse aux yeux du Monde) :
- L'acier pleure sur les flots démembrés...

Le pire Philosophe au bout de la dune
tel au ras d'un aber
le rayon furtif de l'osier du Soleil
qui filoute la cosse des eaux mortes
(Sept plénitudes au gré d'une humeur
dont les remous disparurent au-delà des murets
brise-lames) ; un mur tombe, une poésie se lève,
et mienne, ce matin (nous sommes distants d'un instant de lecture) :

- Amis lointains, je pense à vous :
Etre toujours du bon côté depuis là où vous êtes...
Vivez libres !...
                                       A m z e r  '  z o
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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 06:55

                                                                      (Ad Reinhardt - James Rosenquist)


Au lancé giratoire des écumes de l'Histoire, le Parchemin des vagues réécrit même Fin du Monde.
Sept points inachevés dans le cercle des continuités :

. Difficulté d'éveil d'écoute de soi d'après crises morales
. Mets indélicats réabsorbés (toxicité, choses illicites, adjuvants carabinés)
. Attente inutile de Dame Justice et Monsieur Monde qui amèneraient stabilité, fidélité humaines,
officialisation des liaisons tenues secrètes jusqu'alors derrière les  "murs"  de l'Harmonie et  de
l'Equilibre des sens / sentiments, violence intérieure canalisée
. Meilleur "partage" des richesses de la Terre, lesquelles s'épuisent jour à jour
. Ecoute organoleptique des profondeurs de soi
(la simplicité des rayons du savoir dans les ombres de l'ignorance)
. Réflexion feutrée sur les Choses du sexe
(Joconderie maligne à ce que le vent des libertés lève tous les interdits : on ne se contenterait pas
de s'impatienter des tendances,  on se réinventerait les élans rétrogrades, réinvoquant  une saine
conscience qui règnerait sur l'inconscient, toute sexualité sans normes et constructive 
. Les corps se donnent dans l'extase de l'abnégation

Nous sommes au bout du Chemin de l'Univers qui s'en retourne vers l'allée de l'Humanité dernière
où s'emprunte, à présent, l'avenir d'un sentier à double épuration nucléaire ;  la vie est ainsi faite  et
défaite d'elle-même : le Temps est un foetus qui ne naît  jamais.

Impermanence.

Un cristal de roche qui ne s'effrite plus, qui ne démantèle plus le moindre repos supposé de ce qui
distance la vie des Hommes de celle des Femmes, la pointe des enfantements s'affinant, renouant
leurs lignes respectives, complémentaires quoique séparées, le Temps est cette complétude d' un
amour qui s'associerait à ce qui ressemble de plus en plus aux idées des  "migrants", ceux qui ont
sacralisé l'immensité plus que relié l'Innommable à l'idée du Rien et du Néant.

Ce que va choisir le rouge-gorge est parfois la vie la plus éloignée du soleil.
Une petite souche fraîche sous un arbre isolé, le long d'un chemin bordant une rivière...

Le vent est  l'Amour de la Nature, nous sommes encore chasseurs de vents.
Au Parlement des "pseudos"-vérités, on parle-ment sur les moindres détails qui y sont exposés ;
comme au théâtre, pour une "affaire de viol", un public est tenu de "réserver" sa place...

-  "Le fer aiguise le fer, ainsi un homme aiguise un autre homme",  depuis que le  Monde  est un
 Pro-Verbe divin (nul n'a réussi a Le bien définir sur le Parchemin des idées vagues)...

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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 05:39
Le ciel est par la fenêtre étoilé
épars éclairé  -

Trois heures. L'Heure des Anges.

Pas un bruit.

Ni dehors. Ni dedans.

La maison-jardinière est silencieuse.
Le monde est merveilleusement silencieux.
Tout est mort, et tout vit.

Pourquoi tenter le texte invisible illisible et blanc
que nul ne lira jamais au-delà d'où je vis ?
Pourquoi chercher à faire crisser la plume
en flanelle de soi(e) noire
sur la blancheur du papier
du carnet spiralé
à la lueur incarnée
de la lampe bleue ?

La nuit suinte.

Ma nudité. Dans les draps de mer céruléens.
Rien.

Aucun savoir ne s'étale au-delà.
Tout est "là",
planant sans y être...

Il y a par la fenêtre
Le grand silence de la nuit,
noir.
Flanelle autant que ma plume.
Silence arachnéen.
Je n'ai plus de désir.

Pas une voix d'homme ne monte
d'ailleurs
Aucun gémissement de femme
ouvert sur la vie d'ici
Rien
L'enfant n'a pas plus lieu d'y être
perçu
au centre de mes repérages auditifs.

Il ne s'y trouve
aucune rage
dedans la fenêtre
de mon coeur
aucun orage
- Passe l'Heure...

Celle des Anges qui me "couve", j'aime les longs silences.

Un serpent d'ouate qui mue dans la nuit
où tout meut sans mouvoir.

Trois heures dix-sept, maintenant.
(Voyez comme l'aile du Temps se déploie
telle une patte de Veuve noire sans qu'on la voie ?)

J'apprécie cette attente où du ventre nocturne de Rien
ni de personne Le Monde des oiseaux matutinal resifflera,
qui va naître sans crier gare, j'en aime la Sapience
comme "Le plus profond des sons est le silence"...
selon un Principe Taoïste...


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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 06:57


                                                                                                          (Rondanini Medusa de Phidias, Glyptotek Munich 252)

                                                       La neige est sur la cendre,
                                                       qui frappe les nuages ?
                                                       Il y a toujours l'expir,
                                                       qui calme le chagrin ?

Comment comprendre la vie si elle n'est, antiquisant de près de deux mille ans, Humanitas (culture de l'Homme
qui fait lien) ?
Tous les mots meurtrissent, il y en a eu jadis un déchirement  tel, et si net,  que le son de Séléné, soeur d'Hélios
(le Soleil) s'est fracassé, au cri d'Eos (l'Aurore), en un dernier croissant d'Humanité sur fond d'infini bleu,  espace
de pensée où l'homme peut encore agir librement en une copie de monde éternelle.
L'horizon de sa vie bleuissant, en un semblant de vraisemblable, inachève ses lacunes divines.

Probabilité : rien n'est vrai, tout est suceptible d'être approuvé en une re-création d'images actives démultipliée à
l'infini de ce qui constitue l'héritage de notre Humanité :  froment ivoire de raison et de volonté, seigle soudain de
l'or des désirs.

                                                       Ne relie pas les jours au jour-
                                                       d'hui des nuits à la Ténèbre
                                                       de Séléné  Contemple l'ardeur seule
                                                       de ce qui est lieu de l'Espace non pollué
                                                       à n'être d'aucun temps
                                                       dans le ciel du sang
                                                       que l'Homme crut devoir perdre
                                                        incohérent et insensé
                                                        Veille sur la Terre à l'image d'un Vermeer
                                                        que Dieu t'aurait confié
                                                        La Terre est une Dentellière lunaire

Probabilia serait son Nom -

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