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16 septembre 2016 5 16 /09 /septembre /2016 04:33
Darkhange, Enjoy Spiritual in 7th ciel !

D'un rouge-sang antique, à prendre de la Hauteur sans être auteur-conteur-moraliste, du Marc Twain en poche sous les yeux au pays imaginaire, en ce monde occidental... Ludique nihiliste, tout au profond de la raie rose du ciel explosé en teintes rouge-rose-sang... déjanté, cartoonesque... Dieu-feu d'ara-doux ! Les flammes dans l'âtre font leurs perroquets !

L'automne, qu'as-tu fait de tes feux ocres-doux des feuilles mortes ?

Absolutly... A un quart de siècle près, de petits héros en compagnie d'animaux, ils créèrent leur satire étoilée... sur la calvitie de la voûte céleste, bien mal aisément, tant timides sont les feux là-haut ! Absolutly... Ils transposèrent les pensées humaines en des étoiles inventées... Leur pays de Merveilles, influencé par de nombreux ciels peints, et, à choisir entre tous, les teintes de Carroll (Lewis), parmi les rires et les éclats de Joie des questions à se poser sur le "comment" les "pourquoi" du Monde sans réponse à : - Qui est Dieu dans ce Travail dessiné et peint par tant d'artistes, en d'autres œuvres qu'à se créer soi-même un ciel qu'on eût voulu voir, dès matin, début d'automne.... distancié, ours en peluche échappé des forêts de l' Oural ou de Pologne... ! Et, d'aimer bien jouer avec l'aspect "spiritual", astral...

Où va-t-on ?... Comprendrons-nous bien où l'on va, depuis cette complexité de l'existence où plus personne ne dialogue, entre artistes et lectorat..., par exemple, ou visiteur de musée, personnage à côté de la plaque peinte, soit ce "ciel" en mouvement-là, de Monet symbolique, dépourvue de monnaie...

Ca vous pose problème, à vous, qui vous animez sans dessins, parmi ce monde dessin-animé de Walt-Disney à MTV Show des Muppets Jadis !

Chez ma mère, j'aimais encore regarder les Zouzous, quoi quoi, je vous fais rire ?

C'est de la culture !... Madame-la-Ministre de la Culture d'avant, la Fleur Pellerin-là, elle plaçait en 7th ciel, en première intelligence, non guère Céline ou des livres d'Histoire pour nos univers intellectuels non amerloks, occis-mort de l'oxymore, soit : - Les Lapins Crétins, chagrins , elle aimait les suivre bien...

En même temps, c'est une réponse pour nos enfants, ....

Dans la boule de cristal un grand rire éclata, un gigantissime esclaffement....

Le Ciel n'est pas tant notre problème, il s'en remettra, de nos passages terrestres, incultes et culturels, et tout ira pour le mieux du monde....au 7TH palier d' Exo !

Un vrai paso doble de Duke (Ellington) ! Il y a urgence jazzy au rapide rythme de l'espace-Temps !

DARKHANGE....

OKAY, thank'you sir, dear God, oh my god, thank's, breizh'art Kisses, nous dansons la Liberté....

Liberté, vous dites ?

OUI Sûr, cette trouée dans le brouillard lointain ! Patience, hors science-fiction présent-futur, c'est le grand mystère de nos senti-ments...

Le ciel nous est témoin : Trouée de soleil dans le brouillard, Houses of Parliament, London, ..!

Signé Monet (Claude incubus , où ?) CARAVAN, Duke, CARAVAN CAR A VENTS !

L'automne est passé par ici, qui repassera par là.... A L'avant ! A l'avant des vents...

A L'avant du matin de cet autre jour de maintenant, .... !

Les lapins crétins vont envahir la télévision dans une série diffusée en exclusivité céleste .... Les voici, les voilà déjà bien, il n'y a plus de culture .... que du vent ? Du vent parmi les feuilles mortes de maintenant....

Les sons en vrac depuis l’Éternité
Calmes et somptueux
Les sons dans le souffle ténébreux
des constellations d'humanité ....
Qui est fidèle dans l'attente
Le songe ou le sommeil ?

Darkhange, Enjoy Spiritual in 7th ciel !
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14 septembre 2016 3 14 /09 /septembre /2016 07:35

Il y eut un orage, hier, qui brisa donc le ciel d'été en celui d'automne, tel un souci de Transformation d'un Bonington sur l'Adriatique Bretonne, autant que, quelquefois, nos idées/pensées sont longues à se mettre en place, dès le lever du lit...(de rivière des rêves/fantasmes)...

Les éclairs zébraient dans des jaunes pâlis, et le tonnerre roula son bruit de tambour lointain.

Pas de pluie. Non, tout fut d'une voix sèche de la part du Céleste azur ; mais Pas sur la neige de mon ciel de Jeunesse, chez ma tante, calaisienne... d'où, par la fenêtre de sa chambre, aurores d'or inaperçues, de telles teintes de ciel emplissaient tout l'espace de mon esprit sfumato (je peinais à m'éveiller)...

Couleurs visibles, hier, je vis donc un Bonington dessus la zone du Moulin Vert-Kerfeunten, Quimper. C'était à la fois clair et sombre, or et suie, notre part céleste.

L'océan du ciel était un seul chemin.

De quoi donc l'humain

se plaint-

il ... bien ?

De nos jours. Même sur l'île de Sein, il est mécontent du brise-lames tout en ciment gris, au bout de la digue...plate limande...

Leçons d'air et lumière de Constable et Turner, j'en garde l'esprit sfumato, l’œil ravi, qui me ramène à l'éphèmère élégant des nuages gris et blancs...de mes pensées sauvages, ce matin.

Ni éphèbe d'Ephèse, ni sorti de ma synthèse nocturne d'une neuro-hormone à l'épiphyse meurtrie, je gardai en mémoire la lumière crépusculaire qui s'étirait dans mon rêve telle en ces couleurs des reflets du diamant d'automne de ce ciel d'hier, nouveau, qui fait vraiment brisure entre les deux saisons comme d'une branche qu'on brise au bout d'un genou de jambe pliée, la lèvre pincée d'une colère rentrée contre quelque méchanceté de quelqu'un, quelqu'une qui nous aurait trahi, par jalousie monstre : - d'alors, vu hier, sacrifice de l'été sur la victoire d'automne, Lacan cité dans mon dire au voisin qui me questionnait sur cette étrangeté céleste : - ah oui, je crois ça..." Il y a là une relation réciproque d'anéantissement, une relation mortelle structurée par ces deux abîmes - soit le désir s'éteint, soit l'objet disparaît..." ² puisque....c'est toujours une "relation de pouvoir" - sur l'autre, dans la Jalousie, non plus d'un lien désirable au manque de l'autre... Surveiller/Veiller à distance et manipuler vie d'autrui...via le déclic d'Oreste : "je me livre à l'aveugle, au destin qui m'entraîne, j'aime...", le ciel d'automne clame cela au ciel d'avant-hier, l'été.

Et, le ciel s'ouvre sur sa phase vengeresse, qui réduit l'autre à sa plus grande simplicité, pareil ici jusqu'au semblable ciel sur l'Adriatique peint par la main d'un similaire Bonington dont la vie pré-romantique fut écourtée rapidement (1802 - 1828 ; à 25 ans à peine, Londres)..., la famille ayant déménagé à Calais, plage et cité de ma Jeunesse perso..., logeant chez ma tante qui en avait la reproduction picturale sur son mur de chambre, et ça, cette peinture-là : Sur l'Adriatique, la lagune près de Venise, 1826...

- Ah, tu crois ça, toi ?

- Oh, ce me semble, bien, oui je crois ça... Le rêve de l'humain disparaît dans la brume du lointain fait de marbrures dignes d'être venues de la Sérénissime, oh oui, je le pense bien... Le ciel d'automne est jaloux de celui de l'été,... La couleur rousse des arbres n'en aura pas son or des plages... Tiens, que je te clame du Clancier, le Paysan céleste justement : "qui gardera de la vie les mots de passe de l'enfance ?.." (Le Fils, "à Claude Roy", 1943...)... BEN...? Pourquoi tu pleures ?...Que t'arrive-t-il soudain ? Ton âme devient-elle sombre comme d'un souci de transformation d'un Bonington ?... Ben quoi, ben quoi ?... Dis-moi....

NB / - ² dixit drame de l'homosexualité, les essais techniques de Freud, pp. 246247 - Lacan

Sur l'Adriatique, la lagune près de Venise, 1826...

Sur l'Adriatique, la lagune près de Venise, 1826...

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9 septembre 2016 5 09 /09 /septembre /2016 22:00
LA SOUDAINETE DES EVENEMENTS, roman-poèmes (Ethique de la source), 2001

LA SOUDAINETE DES EVENEMENTS, roman-poèmes (Ethique de la source), 2001

Alors donc... Invité à un Salon (en compagnie de l'invité d'honneur, Patrick Baudry...), mon écriture du Blog-ci s'absente, et se repose d'un Paracelse... entre quiétude et silence, avec en arrière-fond, des rencontres possibles (ressources potentielles d'en-Je(u)....) avec objectif d'asseoir quelques projets nouveaux sur des estimations du Soi, voisin du Cosmos, comme d'être à l'écoute du Chapitre 21 du PETIT PRINCE /
Le renard lui explique ça et il lui dit que sa "petite" fleur est exceptionnelle parce qu'elle est apprivoisée.

J'amène avec moi un livre de dessins au "petits coeurs" - Carnet de Bretagne, 2016 ; Force n'est brutalité - , et, de 2011 - LA SOUDAINETÉ DES ÉVÉNEMENTS,, roman-poèmes (Ethique de la source), photo d'amorce - avec en dessin de couverture, à l'encre de chine : L'Oeuf de L'esprit, ainsi que mon Livre d'Artiste, 220 dessins inédits (imprimé en Allemagne, en un seul exemplaire) - 1996/2016 (photo de fin de page-ci)

Autour, Poésie (publié par le CNL, à 700 exemplaires, épuisé)... - 1997

Patience des Lointains, 2003 (en reste 50 exemplaires sur 300)

Au Seuil de L'Apaisement, 2007

BLOG DE SAINT-SONGE, depuis 2009 (3570 textes/dessins à ce jour) *

La Soudaineté des Evénements, 2011

Samouraï Unter'Nehmungsgeist, 1996-2016 (220 dessins)

(Sommes-nous à la fin de la pièce ?

Dans les veines,

toujours - une fureur.... )

Carnet de Bretagne, Force n'est brutalité (Été 2016) - 150 dessins inédits

* / it's not a B. to B. my blog (Business to Business, no no...it's free)

104 565 visiteurs uniques (non oligarches hyper-riches, sûr ! )

243 708 pages vues (Librement)

Petite absence du Blog de nouveau (signature à Pont-L'abbé)
Petite absence du Blog de nouveau (signature à Pont-L'abbé)
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8 septembre 2016 4 08 /09 /septembre /2016 22:00

Processus de toute création : Triangle de pierre mystique de l'âme bouleversée de laquelle naît tout Art...

Suite logique d'énergie mystique
à l'oreille d'un Trou noir supra-cosmique -

J'ai créé une Vérité humaine
sous les étoiles
- Peu de rires

"Ne vous laissez pas glisser dans la volupté des tourments !" Sénèque

PHOTO / PINK FLOYD PLANET

PHOTO / PINK FLOYD PLANET

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7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 22:00
Anges, gardiens de mes nuits...("obscures")

On va apaiser l'esprit de ceux qui ne supportent pas leurs corps.

On va calmer les esprits si méchants.

D'hier, on sut, tout "ça" n'était que des FREUD / HAINES, fredaines au demeurant de qui Daeshisait l'espace de Liberté Grande. Là où le peuple s'amuse joyeusement, dans l'ombre, une main malveillante s'arme d'une aigreur...face à La Vie toute nue, soit : de donner naissance aux aurores ! Toujours, la Terre se lèvera dès 6 heures, le matin, grâce au Soleil mouvant sur les Pôles... La Terre tournera toujours sur son axe médian, en dépit de toutes les énergies contraires.

LA NATURE EST ANGELIQUE ET SUAVE.

Faites la différence entre ceux qui, niant qu'ils ont un corps, ne vous entraînent que dans l' Ego seul, et ceux qui vous inspirent l'âme toute entière, via la spiritualité du corps et L' esprit zen, acceptant leur côté "ombre" autant que le leur, de "lumière", l'un n'allant pas sans l'autre, au risque d'être schizophrène, coupé en deux, voire en puzzle de moitiés éparpillées dans les 4 quarts du Tout Un.

Déjà - On sait que les mystiques (Rhénans et autres Rhéno-Flamands, Echkart/Tauler/Suso, and Co...), ils avaient connu leurs nuits "obscures", similaires à celles de..St Jean de la Croix ; pour mienne ici quelque peu fragilisée, sous le regard des Anges "papier" - qui est le plus sage ? "vide de toutes les créatures, plein de Dieu, ainsi que plein des créatures, c'est être vide de Dieu ; .../... L'âme qui a un Dieu, connaît un Dieu, a la notion d'un Dieu, elle est encore éloignée de Dieu"...stipule l'écho Echkartien, l'écho en Soi...de tout être et de toute chose, doit-elle ainsi choir en une chair "coupable" pour espérer seulement "toucher" Dieu, l'approcher ensuite ?

Saint-Augustin connut aussi sa part de vie dissolue, tout autant que, "maître" de la non-violence, Gandhi frappait sa femme !

Bach ne voyait que Dieu, mais fit au bas mot 17 enfants... La chair et L'âme, donc. Les envolées spirituelles et charnelles... Qu'aurait dit Dieu le voyant ?

Siège du désir/plaisir féminin, par l'oreille, par les Anges qui nous accompagnent et veillent, écoutons ...

De Sa voix mouchée, L'Un nous susurre à l'ouie attentive : -

Ah mon sacripant !..mon chenapan, mon petit criminel... Qu'était-ce, elle ?

Dans le prolongement des airs musicaux, aucun trait de phrasé ni de mot, les ailes de la perception ne sont que des notes derrières les bruits de ville et tous les dérangements sociaux... Nous n'aurions pas, Bach, Mozart et moi les traits d'une plume facile, n'était ce qui fut donné à quiconque sait écouter les silences profonds d'un Amour autre que celui et ceux des ordinaires.

Mais Dieu, toujours nous voyant, de Sa mouchée, voix rauque, en nous ou quelque part ailleurs : -

Quoi donc, qu'est-ce cela des apports humains qui ne sont attribués à personne d'autres qu'aux animaux, où donc avez-vous placé vos prières à mon endroit ?

Eh quoi ? Eh quoi !...

Alors, les Anges, de partout, ils surveillent et veillent les ingénus perdus, déchirés entre les deux Passions : terrestre/ céleste... Cosmique, érotique...Toutes les antinomies d'une Vie somme toute humaine, rien que ça...au vocabulaire du Corps !

Quand Dieu que voilà réapparaît de partout les vides de l'espace, à doucement vibrer dans les âmes distraites, Il pardonne facilement à qui se perd dans une voix étrangère, déchirante, déchirée, allez, allez, oublions ça, allez donc, oublions ça dans la pureté seule qui nous habite un nu facilement défait... ANGES ANGES A MOI ... S'interrompent Les crispations du visage...Allez, l'âme, reprenons...

Avec tout ça, j'ai oublié en quel siècle nous sommes !

Un soupir s'échappe, il s'éveille, l'amour se réveille d'un rien, chantonne l'Ange Mozart.... Oh pardon, il me blesse au cœur.... !

OUI. Pardon : - J'aime LA VIE...en son entiéreté !

Les esprits vils attaquent toujours ceux qui sont dans la beauté

L'Origine du Monde
provoque aussi L'Origine de la guerre

On élèvera les discours avec un autre mode de pensée.

Ceux qui sont dans des ténèbres
ne supportent pas la Beauté
la beauté soulève la jalousie à mourir -

OUI. Pardon : - J'aime LA VIE...en son entiéreté ! (Bis Repetita, pour qui ne comprendrait pas)

OUI. Pardon : - J'aime LA VIE...en son entiéreté !

Anges, gardiens de mes nuits...("obscures")
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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 22:00
Thérianthropie / Niche-ombrelle de la féline Anonymus (Conte Photographique)

Là où on niche on

se pose question

- Pourquoi êtes-vous là ?

- "Parce que j'ai peur de moi-même"....

- Même en miaulant ?

- Surtout.... en miaulant....

TEL HORUS...ANONYMUS... !

Sur de doux coussinets la féline méditait nue à cela

au milieu des escaliers de son inconscient

(synapse après synapse, au demeurant)

Il y avait eu un froid avec son passé....

sur qui souvent la Féline miaulait !

Sinon la voix d'un faible écho

(Photo : Anonymus d'Incognito...)

du moins d'un son qui ne pouvait s'entendre

que d'un souffle court : - serait-elle découverte

ainsi par d'étranges regards d'autres félines ou

chats du voisinage ?

Pourquoi sa voix intérieure ne l'avertissait-elle pas

d'un tel possible ?

Affaire privée, semble-t-il : appel anonyme...pour

cette Anonymus-là ...

A moins qu'elle ne songe en tant que femme

d'être féline à sa fenêtre

en regardant passer les gens fort étonnés de sa beauté ?

Elle se destine à d'autres rêves.

Rangez les vôtres, elle a filé...

Qui donc lui a-t-elle bien ouvert le bow-window dépourvu de rideau ?

Elle a filé. Reste son ombre. Si ce n'est l'ombre qui lui parle. C'est donc un corps nu de Beauté.

On lui connaît ce nom précis : Anonymus...

Cela porte à confusion lorsqu'on le lui demande. Elle y répond, en vérité : Anonymus est mon nom.

On ne la croit. Elle a filé...

Idiots sont les gens. Rangez vos rêves...

Elle sait, elle connaît la formule du bonheur : être nu de tout, jouer, rêver... Filer à l'indienne. Penser à l'Amérindienne. Sagesse du Nécessairement.

Le Chat est un accoucheur de rêves.

Rangez les vôtres. Elle a filé, avec le chat, dans l'escalier...

Seul, le vent a ouvert la fenêtre. Comme c'était jour de vent.

Éventail inhabituel.

Seul écho dans la quiétude de la maison.

Tantôt l'étoile. Tantôt le miaulement. Tantôt elle qui couine : - Anonymus.

Don de la photo.

Une belle féline qui n'aimait rien tant que son chat.

Rangez vos rêves, dedans les vôtres : - Elle n'y est pas !

Chaque indiividu chaque espèce a "son" rôle dans l'écosyst'aime....

Aussi libres que L'oiseau, on cherchait à regarder dessus nos esprits mêmes

afin d'atteindre les plus hauts cieux de Liberté d'âme... Dame !

Imitant les chants d'oiseaux et les feulements chafouins !

LE CHAT EST LE SECRET DU MONDE....THERIANTHROPIQUE !

(θηρίον / thêríon, qui signifie « animal sauvage » ou « bête », et de άνθρωπος /ánthrôpos, qui signifie « homme », il désigne donc une créature mi-homme / mi-femme et mi-animale. TEL HORUS...ANONYMUS... ! )

ANONYMUS D'INCOGNITO

ANONYMUS D'INCOGNITO

METAMORPHOSE DE Féline ANONYMUS

METAMORPHOSE DE Féline ANONYMUS

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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 22:00
Le roseau pensant de l'ombre du désir dans l'escalier (de l'inconscient)

Ca est fort étrange -.... ne serait-ce que dans la forme de l'ombre

mise-à-part du corps, et qui marche courbée quand le corps se tient droit...

Curieusement une ombre marche en rampant

quand le corps nu dressé de la femme va grimpant

Le même escalier de la mémoire et du Temps -

L'affect est sans fin l'amour qui te fait plier

quand le désir te fait monter

L'homme qui descend l'escalier

est toujours une femme qui (le) monte

Laisse : cas lié

de la vague (à l'âme)

sur la rive du balcon

de l'esprit

L'ombre plie

sur le mur telle un animal pensant

à l'amour qui l'habite

et le vit...

Dans La lumière du Jour

on y voit moins clair

que dans la clarté d'une nuit obscure

à fourche d'entrejambes embrumées

de l'ultime horizon du beau fruit

jamais enclos de sommeil fervent de bruit

parmi les orages de la chair endormie

sous les feux du profond Silence de la raie

qui tremble au désir des regards

sous le bonheur d'y voir plus qu'un Man Ray

en ce Duchamp !

Et la Prière au demeurant....

L'Homme pile absent

sur le mur tel un roseau pensant

à l'amour qui l'habite

via le vit...

Et d'en bander l'arc-boutant !

Ombre de peine du roseau pensant...

Tout est dit.

Via - "La Prière", 1930, photographie sur toile de Man Ray. - Duchamp and Incoginto-Perso

Le roseau pensant de l'ombre du désir dans l'escalier (de l'inconscient)
Le roseau pensant de l'ombre du désir dans l'escalier (de l'inconscient)
 Man Ray "La Prière", 1930, photographie sur toile

Man Ray "La Prière", 1930, photographie sur toile

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4 septembre 2016 7 04 /09 /septembre /2016 22:00
Lune Lueur de nuit, feu bleu - Soleil nocturne dans les rêves joyeux

Clore le chaos irrationnel...

Conquête du Ciel.

Ombre et Lumière ensemble.

Dessus nous ça chante et dessous ça flambe.

Minuit passé de peu. Lueur et feu bleu ;

Lune Lueur de nuit, feu bleu - Soleil nocturne dans les rêves joyeux -

Quel sentiment nous lie à l'air divin qui soupire sans aveu ?

Nous sommes divisés, Elvire l'enchanteresse,

ô Don Giovanni sans nid que les larmes..Pleurs .en finesse !

Popée...

Lune Lueur de nuit, feu bleu - Soleil nocturne dans les rêves joyeux
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4 septembre 2016 7 04 /09 /septembre /2016 07:00
Abstract Diary, l'excellence du corps et de l'esprit (en Proustiens Echoes)

Ici Abstract Diary - Deux pages après,...Lecteur non électeur.

Déjà évoqué dans mes Borborygmes :

Mister Scrivagnour and his time....

La voix parle. Puis tout à coup s'arrête. Ca reprend, puis de nouveau, brusquement, tout s'éteint.

La voix de moitié l'avait, cet esprit-là.

Ça peut agacer, ces continuels suspensions du vocal qui explique Les Classiques parmi les modernes. Une voix, en vagues de silence et d'écho.

Homme de la Résistance gutturale, l'écrivain breton continue, le Scrivagnour.

Cela revient. Cela repart. C'est le temps moderne passé aux airs du PDF (le lointain participant de l'ancien ORTF, tout en voix et images, interviewes évoquant les temps d' écrivains que le jeune Scrivagnour écoutait d'une oreille attentive, se demandant bien ce que pouvait être un directeur de la danse du corps et de l'esprit lorsque celui-ci écrit...)

Ca agaçait bien ses parents qu'il se soit fixé, assis devant l'écran diffusant des "champs magnétiques"..., bouche bée, les petites mains sur les cuisses, tel un méditant, déjà...

Tous ces personnages de 1962, en lui, construisaient le petit enfant, à crever le petit écran, ces temps-là tournés déjà vers notre modernité, manuscrits bien montrés à l'image, en joyaux de la BN (Bibliothèque Nationale, gérée par VGE...), tous les manuscrits vendus au mécène texan d'avant...

Madame Céleste (Augustine Célestine Gineste) était au service de Proust, la mort le poursuivait et il voulait finir son oeuvre, avoir tant travaillé pour laisser tout inachevé, or un matin, l'écrivain soupira : chère Céleste, j'ai une grande nouvelle à vous apprendre.... Eh que c'est-il donc passé de si important dans cette chambre ?.... Quelque chose d'immense, de tellement bien.... J'ai mis le mot " F I N "....or, hola la la, qu'est-ce que j'aurais à ajouter tant de papiers, et tant de corrections à apporter, ma chère Céleste, mais ça, c'est autre chose....

En 1962, je n'avais que cinq ans, mais à cet âge, on peut être déjà spirituellement bien éveillé, et je le fus, sans que mes parents ne le devinassent ni ne le surent....

Ils tournèrent le bouton et de me lancer, allez, assez regarder ces conneries, au lit ! C'est qui ce Proust ?.. Ton copain d'école ?...Non ?...Ben alors, au lit ! Et, cette Céleste, en larmes, qui raconte la mort .... C'est pas des choses qu'on écoute ça, allez, au lit ! Caca-prout et pipi, et au lit !

Vanité blessée d'autant, à cet âge ?... Faudrait questionner mes cellules primales, afin de le savoir, au bal de tête de l'émission culturelle d'alors.... dans un foyer familial qui n'aimait rien tant que la musique de l'accordéon... Accordéonons-nous nos accords DEI... ! Soyons les nouveaux Apulée et Virgile, l'âne racontera cette autre année d'une France des années 60, culture de masse et démocratisation des Etudes Supérieures. Au point de croix de ces deux cultures, ma petite âme me sauva de l'isolement psychique, enfant au sein de parents non curieux des Arts & Lettres...

Goncourt 65 / 600 pages de Borel Jacques : " L'Adoration" (autobiographie transposée d'une vocation depuis l'enfance, la jalousie, la désillusion ensuite et F I N..., de NRF, gallimard)....

Dixit négatif : - (" roman proustien, roman d'un proustien, intoxication qui demande une purge", signé d'un critique de l'époque)...

Purge du Temps ?... Depuis - Le dossier Corbeille est vide.... On s'occupe désormais de "jeux vidéos" et, bal de tête nouveau : - la chasse aux Pokémons !!! Un monde, ça !..

Le Livre choit
longtemps après l'ère digitale
Il reste quoi
Longtemps après l'image fractale ?

(Attendre, La Page suivante du Temps ne répond pas....)

Une seconde avant de mourir, j'écouterai toujours Pink Floyd dans l'effacement de la terre

Abstract Diary, l'excellence du corps et de l'esprit (en Proustiens Echoes)
Abstract Diary, l'excellence du corps et de l'esprit (en Proustiens Echoes)
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2 septembre 2016 5 02 /09 /septembre /2016 22:00

Hello !...

(Problématique contemporaine)

Il marche sur la tête, A...

Par l'hypothèse de " x" ...

Sans le "i" du Q.I , l'esprit n'est fixé que sur le Q.

A quelle hauteur de ta vie, te trouves-tu, toi ?...

La formule mathématique de soi-même disparaîtrait, d'un trait.

Analogie : - A l'inverse de "x" de la fonction P de x aboutit à moins Q de x...

Le noir est absence de toute luminosité des sens...

Sans rapport. Aucun.

C'est là qu'on s'était arrêté. Non délibéremment.

Qui force ici nos secrets ?

Traduction. Tradition deTrahison ?

Vie enfouie, vie cachée...

Quoi, qui ? Où ça ?...

Qui finit sa vie, bien ou mal ?

Tout repentir n'est pas l'image de "soi".

Vie sans lustre, qu'on dit "minuscule" et Montaignienne.

Épisodes fugitifs.

Moments vifs.

Épiphanie d'incident et de parenthèse, parcours chaotique. Mini-récit.

Accident Jadis Présent intime. Tendresse sans force.

Parole, et bien douce, fausse pudeur.

Occurence agrandie : - Mon blog, c'est toute mon âme existentielle par (le) cœur ...

Les autres forment l'homme réel.., et le façonnent de nouveau. Jour à nuit qui se diversifient.

Les petits détails en révèlent ses profondeurs sous les "armures" du caractère et des mœurs.

La Vérité d'un être n'est qu'un récit approximatif.

Captatio benevolentiae — en « recherche de la bienveillance [de l'auditoire] »
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