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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 04:00

La lune blanche plus haut que d'habitude dans les ténèbres de l'Humanité
place son requiem dans les âmes endormies des cités
Les Hommes ne peuvent pas l'effacer
Toutes les notes sont milliards de gouttelettes éparpillées dans un temps oublié
qu'ils vivent dans chaque instant de ce qu'ils ignorent être
Ils écoutent venir par-delà eux-mêmes l'étrange musicalité
La lune blanche plus haut que d'habitude dans les ténèbres des instantanéités
se voit dans le miroir éternel embué de traces humaines
et par-delà chacun des grains de sénevé du miroir
il y a un rond blanc percé dans l'immense page noire
Cette nuit des Hommes
Le moment même dont personne
n'a conscience encore de ce qu'il Est
jouant encore faussement dans la comédie du Monde
leur part d'être fourbe hypocrite et immonde

La lune blanche ronde et claire plus haut que d'habitude
perce d'un seul tenant nos parts d'ingratitude
envers les larmes versées du Premier Homme sur le vitrail de nos nuits
sur le miroir du coeur de nos âmes endormies

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 23:08

t



   " at the close of day "

- Pierre Emile Barthelemy ; Rouen, 1818 - 1890, Bernières-sur-Mer ; peintre officiel de la marine -


                                                                             " Le Magenta ", l'incendie qui le détruisit...

t : tableaux selon les couleurs du Temps, à l'instant  "t".  Rien qu'une lettre de modestie...

                            "Homme, tu es un charbon, Dieu est ton feu et ta lumière ;
                             tu es noir, sinistre, froid, si tu n'es pas en Lui. "
- Angelus Silesius ; pensée 133 du Voyageur Chérubinique (traduction Maël Renouard)
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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 23:00

Depuis la Transcendance céleste, Ayin est la Connaissance de Dieu, L'oeil qui voit sous nos consciences ainsi que la source révèle tous les secrets dessous la terre, une autre musique cachée de celle du Monde, des voix derrière les notes fluidiques que nul n'aurait encore entendues, la bouche qui avoue le Chant qui lève toute la gamme des émotions, depuis la peur intrinsèque jusqu'à la colère de ne rien savoir ni voir de sa vie dont le diagramme s'échelonne ainsi : sperme-ovule évoluant au coeur de la matrice pour éclore, foetus, bébé, petit homme, enfant, adolescent, étudiant qui, en fin d'études, agit dans le Temps d'une vie créative, jusqu'à la sagesse du retraité, puis du vieillard, laissant enfin l'existence pour une autre ; rien ne finit vraiment, au regard de Dieu qui connaît tout ce que nous ne savons pas de nous-mêmes, comment alors savoir aimer autrui dont on ne sait pas plus que nous ne savons de soi ?.. Vin de l'amour ajouté au Secret de la personne, soixante-dix tourments effacés par la plénitude restante, retrouvant alors les premières notes de la fluidité spermique-ovulaire flottant dans les eaux matricielles : si pour la Perse et la Grèce, l'ange fut un Prince, pour le petit Européen, c'est une mère, puis une soeur, puis une femme, peut-être, l'Ange tutélaire.
La Loi, toutes les lois (naturelle, génétique, céleste, humaine) gardent le troupeau des Connaissances guidé par une brebis aveugle, l'Ignorance, au mariage des idées et de la compréhension du Monde de chacun s'unissant ou se séparant, la bienveillance au-delà dans le Zéro de l'Univers dont la Cour Suprême a soixante-dix anges aussi...

HO'HMAH, Sagesse, Oeil qui voit, perce notre Couronne, jusqu'à la Beauté de notre corps d'intelligence et de justice, grâce en regard de la force, et l'Amour rejoindra notre sagesse de définir une chose afin de mieux la voir sans idées préconçues ; "voir, c'est recevoir"..., entièrement passif, pour réécouter avec l'oeil ce que l'ouïe n'a perçu ou a mal entendu.

Vision de l'Intelligence :
                                                                             Je connais ce que je vois -
                                                                             Je vois, et je comprends ;
                                                                             Je suis en osmose avec
                                                                              ce que je vois et entends.

                                                                             Car ce que je vois est réel
                                                                             comme ce que j'entends,
                                                                             Eternel -
                                                                             365 jours dans le Temps
                                                                             correspondent en l'Espace
                                                                             aux 248 organes du Corps
                                                                             (613 commandements
                                                                              de la vie à la mort... !)

Obéis à un seul, c'est monter sur la Sainte Montagne
Psaume 15 : "Et qui donc peut demeurer sur ta montagne sacrée ?"
(Pour accèder au sanctuaire du Coeur et goûter à la présence de l'Amour éternel)
"Qui, dans son coeur, cultive la vérité" (sur lui-même, déjà)

Isaïe 33,15 :"...rejette les gains acquis par extorsion " (toute inefficacité des moyens humains)

Alors, l'eau du ciel ne te manquera pas, larme de la Connaissance suprême acquise en silence.
Puisqu'à laisser comme le pire des hommes dans son désert, il deviendra bon et juste, à ne vivre que par une foi recouvrée, le socle de toute confiance, un pas vers le bien de lui-même fait un peu plus chaque jour, rien qu'un petit pas pour la grande avancée, chaque jour comme de fait, obéir à un seul commandement sur 613, qui sauve la foi en tout un chacun qui ne naît jamais entièrement mauvais (ou entièrement bon), 613 commandements suite au seul donné à Adam, qui désobéit face à la nature de son impudeur, exhibition d'Eden, 613 de Moïse ramenés à 11 par David, puis à 6 d'après Isaïe dont 3 seuls seront retenus par Mirah, qu'Habaquq réduira à un seul, ce qu'Adam aurait dû entendre par le regard posé sur Eve en lingerie de feuillages : "Le juste vivra grâce à sa foi", sans l'effeuiller jamais que de mauvaises pensées, vite corrigées par Ayin voyant leur source s'ébouillanter trop amèrement, aussi violemment même que les pulsions ressemblent aux Chaldéens, peuple "féroce et déchaîné" que Dieu envoie comme réponse aux prières du prophète lui ayant demandé pourquoi tant de haine et d'injustice en Juda quand il aspire à un monde où le méchant ne l'emporte plus sur le juste !

A l'hameçon des iniques et des impies, la foi seule ne meurt ; enflés sont ceux qui flanchent..

Ainsi devenons-nous Judéens par naissance, sept fois dix générations plus tard.

Talmud : "Qui est appelé Sage ?.. Celui qui voit l'avenir, car ceux qui voient transmettent l'information, Sage n'est donc pas la personne intelligente..."

Celui qui a le savoir chute à la première lourde épreuve tandis que le "vrai juste" demeure fidèle à l'Eternel en quelque période de sa vie, douloureuse ou saine, instable ou ferme, noire ou lumineuse, car, dans le fond de son âme , droite demeure sa fidélité, cette confiance en la lueur de l'Oeil, toutes les choses en place, sans brûler les étapes.

Ainsi , en nous : "Que la lumière voit..." !







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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 23:00
Dans son oeil de nuages blanc-noir, la lune blanche nous regarde.
Claire. Ronde. Spacieuse dans sa petitesse.
Mon âme de onze ans la surprend par la fenêtre glacée de l'effroi.
Ai-je peur, ai-je froid ?
Non, rien n'a grandi en ce que je crois de moi,
effacé depuis la première crainte.

La lune blanche capte nos énergies similaires, réajuste les tremblés d'autrefois.

Doucement, très doucement les nuages de l'âge passent devant elle, l'effacent.
Très lentement s'en vont les couleurs du monde. Il fait nuit noire entière sur soi.

Elle a disparu derrière un épais manteau d'ébène et de suie, la lune blanche....
Ainsi l'angoisse de l'écrivain devant ce qui l'agresse aux moindres violences !

L'inspiration est l'oeil blanc de la lune lumineuse.

Elle donne, au lendemain des aigreurs, le soleil lumineux de sa Face éternelle :
- La Foi.
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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 23:22


                                                               Icône de la Mère de Dieu, dite de  Vladimir
                                           (Constantinople, probable XIIème ; Galerie Tretiakov, Moscou 2009)


Le regard est ouvert sur le Poids du Monde, on le voudrait éternel dans sa douceur pour demain.
L'Humanité manque de tendresse, envers elle-même, déjà.
Ici, Elle a un oeil sur vous qui visitez mon blog, et sur son "enfant", ce porteur de notre monde en souffrances.
Une présence / absence, qui intime à la douceur.

Le monde n'est pas clos ; ni vos coeurs.

La couleur de l'Amour est un mélange de cire et de jaune d'oeuf ; la Constantinopolitaine Vierge Eléousa, dite de Vladimir, pour avoir longtemps séjournée en la cathédrale de ladite ville, dès 1130, nous prodigue le même amour qu'un enfant réel, puni ou rejeté, par quelques insouciantes fautes, revient chercher vers son "bourreau" l'apport affectivo-sensuel, l'affection et le contact délicat de cette gentillesse offerte avant qu'il ne fasse ses bourdes ; et, de revenir chagriné vers ce besoin de tendresse, pareil à une âme en peine, ravi, soulagé, le coeur et l'esprit léger, une fois la dose d'amour-tendresse réincorporée... Alors, le gros chagrin passé, il écoute en soi le vibrato du bonheur de se sentir de nouveau aimé par qui l'avait rejeté, abrupto, sans chercher à percevoir le pourquoi du fondement de sa soudaine désobligeance.

La lointaine tristesse inavouée de la Sainte nous parle de la nôtre, refoulée en nos actes manqués, en notre part perdue d'enfant martyr, qui aspire consolation, qui revient chercher la compréhensive compassion.
La Vierge, le visage aussi pur que grave, Elle devine la Fin de son rejeton dans cette Passion qui l'attend, jusqu' à la Resurrection même, la Dormition pour Elle, Elle n'ignore rien de tout le devenir du Monde, alors peut-être connaît-Elle déjà notre finitude..., ne nous la révélant qu'ici, ce dont nous sommes à même de discerner et de com-prendre (prendre avec soi, pour ainsi la consoler, cette existence courte-paille qui est nôtre) ; pourquoi cherchons-nous alors à tant s'auto-détruire le bonheur de vivre, la joie de la Tendresse Miséricordieuse, joyau du coeur et de l'âme offert dès la naissance, par le souffle du grand Intervenant - l'Homme ne s'est pas créer de lui-même, à ce que je crois savoir, non ?

Dès que l'on fronce les sourcils, il nous faudrait se remémorrer cette peinture de la tristesse profonde, et, dès lors, de s'auto-guérir d'autant plus vite !..

Grandeur de l'âme dans notre siècle de petits esprits, Elle nous apaise...

Tout le style du XIIème qui honore l'intrusion des "valeurs affectives" est appelé : des Commènes, nom de la dynastie régnante orthodoxe. Notre drame s'y fragmente d'autant, souligné par nos extrêmes d'ambiguïté.
No commen't...

Je vénère cette peinture, pas vous ?..

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 23:21

 
                                                                                         Cranach   : "Crow of thorns"



Cranach : "L'écriture"























L' ARC    D' ULYSSE

Ainsi que Rilke le suggère, le divin parle à l'ange en l'homme, non à lui-même, intellectualisant tout.
Feu mutable Jupitérien, Le Sagittairien.  Feu de l'intuition : confiance, auto-motivation, enthousiasme (au sens littéral : "possession par un dieu" - créateur et pénétrant, dieu entraînant au-delà de soi), volontaire (courage - coeur à l'ouvrage de la persévérance, qui peut se transformer en témérité seule, par manque de contrôle et de retenue), gardant le cap vers le but loyal, d'indépendance et d'imprévisibilité à la Camus, malgré certains temps d'impatience qui mène à des expériences destructrices, quoiqu'évitant tout avenirophobie, poussé à vivre le moment présent (la sous-évaluation des choses matérielles peut expliquer parfois une naïveté dans le déroulement des choses, par abandon puéril envers des actes sans envergure) - la flèche du Sagittaire tient à n'atteindre que le centre de la cible, à la mesure où le juste milieu bouddhiste signifie : ignorer le conflit et ressembler au Requiem de Fauré dans son Agnus Dei :

 
  
Le passé influence le présent, sans le déterminer.

Mutable Feu Jupitérien, feu de l'esprit, apaisement et préparation à la vie intérieure.
Modération (tendance à l'exagération et à la dramatisation telle au théâtre de Racine toute pièce qui s'ouvre place le drame à la première scène !)
Bienveillance spirituelle et aspiration lointaine. Patience vers le bel azur.
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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 23:20



Aimer. Jouer. Jouir. Souffrir, et s' apaiser  -
Ali - Lenti.

D'hyper-sexué, au ralenti, Vieillir...

Tout l'être devient l'âme, à fleur de peau.
S'unir dans la même vibration
pour rencontrer le "destin" ;
Se vivre davantage pour parcourir
L'initiation :
Sculpter l'imaginaire plus que l'imagination ;
Solliciter la force du nouveau monde
que tout le monde attend
(le monde moderne se fissure
et le capitalisme disparaît...)

But après but, réaliser le projet
de ce que l'âme a envie de vivre désormais...

"Ce qui ne tue pas rend plus fort"...

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 10:48

Sept ans durant le Bouddha tenta cent approches ascétiques, comme de "se renverser la tête en bas ; s'asseoir sur le feu ; retenir sa respiration ; éviter de dormir ...", là, il comprit la futilité des efforts inutiles !
Nul ne peut ni doit "s'enivrer de sa propre puissance", souffla-t-il.

Il se reprit.
La Voie n'est pas martyriser ni asservir son corps dans la maîtrise constante d'un esprit souvent bien faible.
Il se reprit.
L'auto-souffrance ne mène nulle part, la purification ne connaît aucune limite dans ce que tout corps finit par la mort.
Il se reprit.
La mort ne répond pas à la question qu'il se posait : "Comment un humain doit-il vivre son existence ?"
Il se reprit.
Il écouta les "silences de la cithare à sept cordes", en tendit une, la relâcha, écouta vibrer le son harmonieux d'une seule note, et, de là, s'engagea dans la voie médiane de l'écoute profonde, il se reprit.

L'équilibre d'un simple ascète doit se situer entre le luxe et l'ascétisme.

Il mit fin au jeûne astreignant qu'il s'était fixé jusqu'alors, se choisit .... un seul grain de riz.
Ceux qui le suivirent jusqu'à cet instant dans la stupide méditation sévère le jugèrent bien mal, déçus par cet aveu :
"L'ascète Gautama est insensé et stupide, il a perdu la Voie..." Nous le quittons.
Astre rouge lunaire dans le ciel des oublieux, le simple ascète se reprit, poursuivit sa méditation, abandonné de tous, famille, amis, faux amis, faux prophètes et artistes de pacotille, ennemis même qui le regardaient, de loin, en riant, salopards de tout acabit cherchant un moyen de le déstabiliser de son rang d'ascète.

Il se reprit, au coeur même d'une grande solitude.

C'est là qu'un souvenir remonta du fond de sa première existence, entre deux et six, peut-être, l'âge blanc freudien, enfant assis au pied d'un arbre, dans cette solitude où tout autour de lui la vie simple et joyeuse le rendit à lui-même, sans référentiel aucun, sans lien apparent avec les siens, les proches et les lointains, je crois qu'il pleuvinait même sur lui, et, dans ces instants précieux de paix profonde, la seule richesse qui vaille, au demeurant, libéré du quota des railleries et des émotions conflictuelles et négatives (une colère naît bien vite en quiconque est empêché de libération intérieure), il se souvint qu'il ne connut pas la tentation du manque et du vide à combler, ni que le rituel des pensées d'habitude l'invita à la rébellion ou à la sourde quête d'une vengeance personnelle, il était dans l'état ordinaire qu'aucune pensée ne cultive, les yeux perdus dans le vide, captivé par la présence ouverte d'un point lumineux.
Par ce simple souvenir d'enfance , il n'avait envie que de s'asseoir devant l'espace du Vivant, les yeux ne se fixant sur rien, sinon une spirale de vide et d'absence emplie de paix profonde.

Alors,  il partit au bord d'une rivière, s'y baigna, près d'un faucheur de mauvaises herbes folles, à qui il en demanda un peu pour en fabriquer un zafu ; Auspicieux, le nom de cet homme, lui en remit, non sans étonnement, il observa Gautama se choisir un ficus, tourna autour sept fois, le quota d'herbes folles sous l'aisselle gauche, et, au septième tour, s'arrêta, déposa en rond la confection herbue, avant de s'y asseoir, le corps aussi droit que l'esprit alerte, déterminé à découvrir par lui-même, sans aucun modèle de philosophie ou de spiritualité auquel il pouvait dépendre encore, hier, remettant ainsi en cause l'existence de Brahmâ, le dieu créateur du ciel et de la terre.
Il se reprit, une pénultième fois.

Il sut : "il n'y a pas de moi stable et indépendant" .

Il marmonna : - Illusoire, l'identité d'un dieu comme la nôtre, chaque acte produit l'effet d'une cause qui produira diverses conditions...qui identifieront nos pensées, nos espoirs, nos projections, nos spéculations, nos craintes et nos peurs, que nous rassemblons et coordonnons dans une assise d'herbes folles, nos pensées dérisoires. quand nous tournons en rond !
Il ajouta même que le mental n'est pas fixe, je crois.

Il se reprit , une dernière fois :
- Existe cependant cet état de Bouddhéité que je cherche, en zazen, c'est l'Eveil - de soi, à tout l'ouvert comme à toute durée.
Il clarifia ainsi son esprit, qui est la méditation même, non un esprit vide qui ne pense à rien, les yeux fixés dans le vide, comme l'a cru encore, une voisine m'invitant chez elle, hier...tandis que , ne la regardant pas, je l'écoutai, ce qu'elle ne pensait pas :
- Mais, tu ne m'écoutes pas, tu fixes quoi devant toi ?
- Ne sais-tu pas qu'on n'écoute qu'avec les oreilles, je n'ai pas besoin de mes yeux pour t'entendre ; je t'écoute, en simple ascète... Chacun en soi est porteur de ce petit Gautama sous le ficus géant de l'Univers.
Ecoute le Talmud : "Entendre, ce n'est pas voir..."
Elle s'esclaffa ; je la quittais..., rejoignant ma solitude où j'ai pensé vous écrire ce conte...

Assoyons-nous, tranquilles, laissant la pureté se manifester librement, sans obstruction aucune.

Reprenons-nous ainsi, autant de fois qu'il faille ; méditons, en simple ascète :....de nos vies.
Gérard Bauer peut confirmer : " Toute facilité apparente, toute réussite sont les fruits d'une rigueur intime"...

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 01:00


L'homme est l'Homme par cet écho de Pan qui lui revient.
Il n'a jamais voulu grandir au-delà de ses chagrins.

L'homme est né par ce qu'il veut ne plus pouvoir mourir
sans amour auprès de ses fébrilités après les élixirs....

L'homme est né parce que l'homme est l'Homme.
Jamais lui-même, sans fin l'autre qu'il n'est pas encore.

Pas en-corps modelé d'une naissance dont il ne sait rien.
L'homme est né par cela qui le fait accoucher sans les liens.

L'homme est l'homme par ce que l'Homme fait l'homme devin
de sa propre conscience non encore révélée, l'homme est
son propre médit-homme...

L'écho de Pan
Ego de vent

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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 23:04
Don de Frédéric, à destination de mon fils, Simon de B.G



L'AGITATION POUR MIEUX APPRECIER LE REPOS ET LE SILENCE
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