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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 23:11

Éden écrit à la craie au tableau le Paradis de l'évolution du Monde
Eden calcule les destinées de chacun d'entre nous
Éden annonce les renaissances comme du seul problème qui occupe les couples :
- La distance qui tue les meilleures relations.

C'est l'esprit qu'il faut changer, non le corps.
La Lune éclaire l'ermite qui se pend à l'étoile du diable, si la solitude du désert marin dure encore.

Qui perturbe la présence dans l'esprit de cet homme qui doute d'une inconnue céleste, bonne pour la promenade ?

Elles sont fraîches sans y être tout en y étant , ces nouvelles du sang comme du temps...
Pour un bon fonctionnement édénique du couple :
- Sens du partage et de la générosité.

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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 23:50

Qu'aucune autre génération ne puisse entendre ça
qui fait mal aux souvenirs de nos anciens tombés
dans le sang pour des armes et nos larmes de sang
nous désarment


( 1870 - 1914 - 1944 ) : Mémoires européennes de l'Idéal
psycho-politico-économico-méta-éthiques   significatives
au dynamisme allant...
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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 23:18


Quelque jugement que vous ayez
Ce ne sera jamais
LA  VERITE

Pas un seul avion de la Défense civile
mais toutes les caméras placées
ainsi que dans un mauvais
Show

On ne cherche pas dans la bonne direction
Les coupables en action
"qui veut faire l'ange fait la bête"
Supposer que les odieux commanditaires
assistaient eux-aussi comme nous à ce que nous voyons ...

Sablèrent-ils le champagne sur des morts par millions
(comme nous sommes un peu des "victimes" par ricochets)
Et demain, quelle commémoration ?
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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 23:10
Cimetière de la Madeleine, Amiens, une sépulture prouve que l'âme n'a jamais fini d'explorer l'Univers, sortant de tombe, pour oeuvrer éternellement en tout un chacun, qui la connaissait ou non... Ainsi, celle de Jules Verne :

                                                         " 24 Mars 1905", il anticipa d'autres "voyages extraordinaires"...
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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 18:38
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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 23:44

Je vois dans les jardins encore frais de l'automne
de bien belles roses qui dans le gris détonnent
à la couleur des choses je vois la reine des jardins
resplendir tandis que chacun s'effondre en des chagrins
notoires parmi d'autres parfums sternutatoires

La rose a la douceur qui vainc la folie des orages
Le charme seul réconcilie les pires de nos outrages
Sachons aux crépuscules reconnaître ce qui éclôt
de ce qui fane aussitôt en les moindres de nos maux

Il y a disette de silences pour en tenir l'écho

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 23:43








LETTRES  ILLUSTREES  PAR  LE  FACTEUR  LUI-MËME
Frédéric  Pioche


N'avez-vous jamais illustré vos missives, vos lettres, vos plis ainsi que ce poète-facteur - farceur-ci ?
Moi, si...
Et, Mallarmé l'a fait, aussi, mais en messages-poèmes dans "les loisirs de la poste", par exemple :
                                       "  Lettre, va, le plus tôt c'est
                                          mieux sans que l'on t'égare
                                          Chez Monsieur Pierre Sosset
                                          Ruette, Belgique - en gare... "

J'en commis aussi, de ces billets-là, et, encore aujourd'hui, ils arrivèrent aux divers destinataires.... !
Doit-on dire que cet exercice me vient du fait que je fus moi-même agent des Postes , avant que de goûter
de la Prose et du Poème ?
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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 23:40


Arpad Szenes  (Budapest - 6 mai 1897 ; 16 Janvier 1985, Paris)

Il caricaturait dans les cafés duMontmartre 1925.
Voisins avec sa femme de Kodosdka et de Varese, il rencontre Giacometti, Calder et le mathématicien Lipschitz
(Rudolph Otto Sigismund) des "applications à dérivée bornée" et de la "théorie des nombres et géométrie diffé-
rentielle et de la courbure de l'espace-temps)... Ce dernier l'influencera-t-il sur la recherche du Vide ?

Rencontre Miro et Ernst, en 1931.
Quitte Paris pour Lisbonne avec Viera da Silva, en 1939, d'où ils gagneront le Brésil ; retour sur Paris,  en 1947,
il expérimente alors des variations de thèmes nouveaux jusqu'en 1955 : "Banquet" ; "Conversation" ; " Le peintre
et son modèle"...

Naturalisé français en 1956.

Voyage en Espagne pour développer le sens "paysagiste", 1958.

Cinquante gouaches pour un manuscrit de René Char en 1966 précéderont les Eaux-fortes pour illustrer,
en 1976, un livre de poèmes de Claude Esteban : "Dans le vide qui vient" (collection "Argile" des Editions Maeght)

Il faut stupidement attendre la mort d'un artiste pour honorer sa profonde recherche personnelle ;  ce n'est qu'en
2000 que l'hôtel de ville de Paris lui consacrera, toujours selon Wikipédia, sa 1ère Rétrospective.

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 11:36


Il eût été simple et logique d'y placer "The Wall" de mon groupe favori depuis...1968 (autre date mémorable), mais j'ai voulu souligner, par l'emplacement de cette vidéo, nos rêves d'évasion après la "chute du mur" célébrissime ;
 à noter
qu'une naissance peut faire chuter un mur, étant donné qu'il me plaît souvent à dire que mon fils y contribua, né en...
1989 (Mai, le cinq)...

(d'autres murs en nous peuvent ainsi être pulvérisés d'un simple geste d'amour !)
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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 23:52

Un accord de guitare andalouse avant que d'évoquer, de plus loin que l'envie, autre accord de la vie  sur l'avis de la mort ou de l'amour, sujet qui la rejoint, des pincées de doigts sur des cordes sèches qui dégoulinent  quand trompette l'audacieuse armée danseuse dans les airs sursautant, l'armée des notes pointues et saccadées, très insistante, des corps d'incertains instruments, martelés par les pianistiques petits pas des surveillants (conducteurs et pendules), hommes-machines, archivistes au NET, ceux qui surveillent les "Surveillants", on ne communique plus (parler en commun), chacun est le miroir utopique de l'autre, et, de l'autre à l'autre, à l'infini, de pôle à pôle, pour "être vu".

L'homme moderne est robotique.

Un avatar automate... dans "l 'infosphère"... , identité personnelle perdue, chose abstraite de pas grand'chose...
Un numéro d'angle numérique, sous un dièse (adresse électronique), la note non musicale, plate, peu de chose.
Compulsion computationnelle.

Fin de phase de difficulté, petit à petit, les choses pour lui se décantent...



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