Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 07:09

Détachement : 09/09/09  - O9h09
Une bonne date pour s'arrêter.

Au coeur "sagace et perspicace",
L'homme jamais ne ressasse !


Finalité :
Une "Cosmogonie" ?

Création-Plénitude
Accomplissement de la spirale
de l'Univers
(Chiffre du Sagittaire)

*

Temps de la gestation humaine
Carré des Trois mondes divins

Trinité du 3 x 3

Au chiffre 7, l'Humanité ;
La Hiérarchie revenant au 8 ;
tout au 9 l'Initiation du Shamballa
(plan de conscience planétaire le plus élevé
d'après la Psychologie exotérique d'A. BAILEY.)

Neuf : chiffre du nouveau départ dans un monde tout neuf

Il est donc le chiffre "zéro" du cycle suivant qui commence par 10
(10 = 1 ; 11= 2 ; 12 = 3 ; 13 = 4 , etc...)
Chiffre de l'Orientation nouvelle telle
à la naissance la vie foetale
arrivée à son plan d'existence
terrestre
neuf fois après les eaux matri-ciel...(les)

C'est l'annonce de l'être spirituel
dans le règne de l'âme
où commence ainsi l'évolution nouvelle

- Je suis un être spirituel venu vivre une expérience humaine....

Partager cet article
Repost0
6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 23:00


    d'une amie peintre, véronique Youinou, Douarnenez 2009


                                                                                                                                                             (Assemblage personnel)



Le plus beau navire est celui de l'imagination
il vous emmène aussi loin que vous voulez
loin des récifs que seuls les hommes savent jalousement poser
pour espérer nuire à votre sillage ignorant de Blanchot :
"C'est le désastre obscur qui porte la lumière"...
Et récifs que vous savez dépasser sublimer ignorer
Poupe et proue fièrement allant où vous voulez !

Partager cet article
Repost0
6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 22:40

Si vous n'avez la mer que je vois
en voici quelques vagues de l'En-soi

 

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 22:04

Jadis les pèlerins ne laissèrent sur les chemins de leurs passages aucun signe distinctif, et, le jour recommençait pour un nouveau parcours-séjour, sans précision de but de voyage ; aux pieds défatigués de la rime, l'entame de balbutiements poétiques, qu'ici j'égrène, homme du Continent des mots chaque matin éveillé(s) au rythme du Verbe !...

"L'invisible s'en vient rencontrer son fidèle", coule le fleuve sacré.

C'est l'entame que j'ai choisie, à la rentrée de mes randonnées de Septembre.
Nul ne joue de la vina, nul musicien autour de moi, qui ne compte plus les iambes pour poètes hindi ni les parisyllabiques des impies...(accents importants mis à l'intérieur d'un hémistiche long aux deux coupes, l'une fixe, l'autre mobile que Musset ne coupa qu'après la cinquième syllabe) :
"J'ai dit à mon coeur / à mon faible coeur :  °
N'est-ce point assez / de tant de tristesse ?
Et ne vois-tu pas / que changer sans cesse,
C'est à chaque pas / trouver la douleur ? .. "
                                                                                  (Musset, Chanson)
°-  Ai-je le coeur fatigué par tant d'indifférence et de trahison, ma tension artérielle prise avant-hier n'est que de
11,5 ?

En ancien français, le décasyllabe était le vers de l'épopée...dont notre siècle n'en a que faire lanlaire !

Passons...  Passons....
                                          Les puissants flots des chants d'avant conflueront sans fin vers nos tourments, comme ceux de Sarasvati irriguent encore l'Histoire de toute l'Inde n'écoutant presque plus les bouillonnements turmulteux du Gange....
                                          Passons...

Un maître viendra toujours dans un minuscule village chercher son grand Poète en la personne d'un modeste tailleur de pierre, et son Namdev pour ce Sarasvati-là, partant parcourir toute l'Inde, au son d'une vina, essaimant poème sur poème, le tout essaimé faisant germer le sikhisme jusqu'à ce que les radios indiennes d'aujourd'hui diffusent encore d'excellents poèmes mystiques, ceux de Kabir (le tisserand de Bénarès), ceux de Mirabaï la rajpoute du  Rajasthan.

Enragez-vous de ne savoir écouter le vent ?

Point de cour princière ni de village pour devenir troubadour ou trouvère, rien qu'un auditoire d'oiseaux de mer suffit pour moi balbutier poëtiquement...
Essayez voir... !  C'est la rentrée, je vais reprendre mes marches bretonnes du Jeudi !

- d'après des mythes hindous

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 22:06

Carte  "premier jour" - France et Paris, le 28 Mai 1981 -
          Trouvée sur Quimper, le 27 Août 2009.

Partager cet article
Repost0
31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 22:00
J'aime ces tranches de livres rares qui sentent le siècle passé comme le présent luxueux ; j'ai connu un ami, notaire lillois, qui en avait le salon tapissé de ces richesses d'antan qui eussent fait le bonheur de la Grande Catherine !...
 (collection privée)
Partager cet article
Repost0
31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 17:18
Partager cet article
Repost0
30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 22:12

      Il ne s'agit de moi ("vertement s'explique"), cet autoportrait inspiré...!

Pourtant, selon Galates 6,18 :
 "Qui sème dans l'esprit, récoltera de l'esprit la vie éternelle",
ce parfait et immortel "corps glorieux", que je vois, au côté de moi...

Par l'Herbe, je croîs ;
Par le miel, j'ai douce volonté ;
Par l'ail, je garde vitalité ;
La pomme me donne l'éternelle beauté
comme l'amour, le jugube ;
Par le sumac, j'ai juste vie ;
le miroir me relate ainsi
aussi patient que le temps
fait le bon vin...

Partager cet article
Repost0
28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 09:18
Il valait mieux suivre des yeux les phrases qui s'écrivaient d'elles-mêmes en mes romans-poèmes...
                                                        1999 - crédit photographique : Bernard Doaré
Partager cet article
Repost0
28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 07:11

Je ne descends pas au marché. J'ai de quoi.
Vent du Nord, léger froid dans le soleil matinal - rare moment ensoleillé d'août !
J'ai déjeuné, fenêtre ouverte sur la musique de l'Eucalyptus, xylophone du feuillage oblong et verdoyant.
Deux croissants, jus d'orange, un brugnon, une banane, café noir.
Des manigances d'encensoir : un long miaulement plaintif à quoi répond la criaillerie prolongée d'une mouette épiée.
La passée d'une voiture, la lenteur d'un passant, qui ne m'a pas vu déjeunant à ma table (planche renversée de feu mon ami peintre Petersen), et, tout ce vent musicien dans les roucoulements de la cour, pigeons espiègles dispersés un peu partout dans les buissons autour d'un damier de maisons bretonnes.
Agréable jour qui commence meilleur qu'hier trop automnal !
Mes peines nocturnes, envolées.
Qui me retient par la coudée de la mélancolie, la nuit  ?
Rare : je repasserai mes chemises, tout-à-l'heure...
"Fil de plus à tisser dans le vulgaire calicot de la vie !", répond ma pensée vers Soren Kierkegaard...
Dîna Volga Mina von Mareyer, un personnage inventé de quelque mien roman oublié...
C'était l'Eté 96.
J'y pense encore. A quoi, à qui songer si loin de tous, le ressac et les laisses aux abords de mémoire ?

Dîna Volga Mina von Mareyer....

Et, dans l'ombre, une silhouette file, mon esprit bercé par la musique de l'eucalyptus.
Déjeuner fini.
Connaître un soleil qui éblouit, ce jour ?..
 

                                                            fond d'oeil éclipsé du soleil (photo : June-Poline)
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Saint-Songe
  • : Journal Poético-Littéraire Spirituel
  • Contact

Recherche

Pages