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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 02:30

Aide-cuisinier puis quincaillier, puis paysan -marchand forain, bourrelier et cordonnier Parisien de 1937, subitement devenu peintre, artiste-peintre dont l'originalité frappa l'exemplarité des Paulhan-Queneau, appuyé par le très illustre Jean Dubuffet, le curieux Gaston Chaissac récupère - avant César ? - les matériaux bruts donnant son art du même nom, les matériaux de rebut ne rebutèrent pas l'oeil affûté de celui qui d'une écorce ou d'un charbon de bois, d'un amas de tôles pliées "offre à voir" des totems de tout genre après maints collages épatants qui vêtiront les nombreuses correspondances d'avec les marchands non moins illustres Aimé Maeght et Iris Clert...
Des "Lettres illustrées" on saura d'une à cette dernière que :
" Chère amie, j'ai des idées saugrenues peut-être pour peindre des nouveaux tableaux de conception enfantine...à chaque pas, je courrais le risque de passer pour me moquer du monde."
Sauf le premier "le locataire", comme je  le suis moi-même,  où je loge, 7, rue Treiz-an-Douric, les autres Sans titre, amusons-nous de les regarder :






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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 00:44
Ma copie vierge est croquée : dualité ; c'est la contradiction qui mène le monde..
A la seconde, le jour laisse place à la nuit comme la vie, à l'envol (mort = dispartion / apparition)

Il n'y a pas que moi qui ai vécu dans le Chaos,
Oriana
Les amours sincères se juxtaposent-elles ?

Oriana,
la plus positive des complexités :
- L'avancée courageuse par-delà nos dualités.

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 00:49
Titre camusard, s'il en est

                                                          "Coupe l'heure ; castre l'heure : carpe diem"...

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 00:03
Enfant, je collectionnais les vignettes "Panini" de la série télévisée Pinocchio avec d'autres de "motos" et de "footballeurs", tous les albums perdus, jamais l'enfance...
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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 22:42

Corps anatomique, physiologique, énergétique, Tui Na Am No, Zang Fu - beau !
Corps au bien être...
Mercure enfant de notre côté initiatique
passe "messager des Dieux", adulte,
possesseur du Caducée, axe du Monde spiralé, l'un montant, l'autre descendant,
tout l'équilibre de notre psychisme, faisant, bénéfique - maléfique.

Intelligence clairvoyante,  qui séduis-tu ,sous les auspices de Déméter,
initiatrice des Mystères d'Eleusis, une fois sa fille ramenée des Enfers, par l'envoyé
de Zeus, Mercure lui-même, Hermès..?

Mercure apprit aux dieux à faire du feu (savant), avec les Trois Parques,
lesquelles inventèrent l'alphabet (connaissance pure) ;
Mercure inventa les Mathématiques (savoir pratique), l' astronomie ...
Et, la transcription écrite de la musique à même la portée des notes...
Les poids et les mesures lui reviennent aussi comme la culture des oliviers !...

Quatre membres
Cinq mouvements
Six directions

- Signe de la Vierge finissant, vers où te diriges-tu, pauvre mortel, pour harmoniser tes tendances contraires,
sous les auspices de Déméter ?


(Le non-alignement des lignes symbolise les mouvements sinueux des serpents de notre pensée sur le caducée de la concentration juste, saine pensée qui monte vers le ciel - spiritualité de l' inconscient - et , l'autre, qui s'égare dans les catacombes de la chair - sexualité de l'outrageant, animalité ; pour comprendre le Monde ambiant, il faut assimiler et  bien intégrer les deux modes de pensée, ne les refusant jamais ! )

* / Pratiqué en Asie depuis 5000 ans, l'automassage Tui Na  de la réflexion plantaire agit bénéfiquement sur les différents points de santé des organes et parties correspondant aux divers points Ki pour le bon maintien de l'énergie primordiale dont le but unique est "la protection du corps" par un enchaînement de mouvements simples et de pressions (exercices quotidiens, en "huit" de serpent,  avec balle ou mains)

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 06:55


Un garçon de l'Ardenne où le vent est à la cantonade, il n'était pas si gai, le gamin de dix-sept ans dans ces forêts bleues où "marmottent" d'anciennes et vieilles légendes !.. Lui, si épris de folles féeries. Lui, né un 20 Octobre 1854, en la maison de Charle-merde (comme il dira plus tard),  Charleville du 12, rue Napoléon (aujourd'hui, rue Thiers), et, maison du grand-père maternel. Lui, le rimm-bâ-où comme on dit là-haut, ou d'ici même, à Tréboul encore tout ainsi qu'en province Lilloise, le ribaud, bref, un vilain !.. Il a la nature des grands vents et le caractère du grand large, il partira "foin des bocks et de la limonade" ! Il partira. La classe terminée, obtenue la brassée des "premiers prix version de Grec, de Latin et de vieux français ", et  même, à l'étonnement de l'aumônier, une assiduité au catéchisme, lui , ayant vécu "sa" Saison "en enfer" !!!" Il étonnera ! Et, pas que les Vitalie Cuif-Rimbaud, ses parents, non, le monde entier !.. Il aimait le cirque où les cuivres résonnent, en répons des cors de chasse, à l'appel de Monsieur Loyal ; et, sans un sou, c'est derrière une entaille déchirée de la toile qu'il verra le fantastique grotesque de l'autre monde, celui qu'il décrira, chevaux empanachés pour amazones-fées, pierrots blafards, à la mélancolie des clodoches et des dompteurs de fauves, il sera "fauve" pur  pour un certain... Verlaine, puisque les Parnassiens lui ayant refusés ses envois de poèmes comme il voulait "faire faire  - à la poésie  Credo in unam  une petite place entre les parnassiens....Ambition ! O Folle !  "(lettre au Cher maître, monsieur Théodore de Banville, qui ne lui répondra pas !) Quel autre Parnasse contemporain accueillerait ses vers, sinon ce monsieur-là, Verlaine ?.. C'est réglé d'avance, le destin...  Pourquoi chercher à miser autre cartes d'orgueil et  d'incompréhension, prisonnier de son manque de charité et de solidarité ?  Que dira maman devant cette épouvante ? Il part !.. Avec dans ses poches "les Étrennes des Orphelins, Sensation, Ophélie, Soleil et Chair, A la musique, Ce qui retient Nina, Bal des pendus, d'autres aussi comme le Forgeron...", il va, il est, il "vole" sur les routes et les chemins, "tête nue", on est après le mois d'Août 1870, fuyant les Bourgeois d' A la musique qui : " ...fort sérieusement discutent les traités.." Il les maltraite, déjà...  dans ses premières Poésies empreintes de Villon-Hugo-Banville !.. Il les charrie, même si cela vaudra les foudres de la mère sur son maître (et presque ami) d'alors, jusqu'à Douai, du moins : le jeune professeur  de rhétorique, Izambard, arrivé en janvier 1870 en son collège de Charleville, vingt et un ans quand le Rimbe en a à peine moins que lui, seize...... On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans !
(Oui, fils, je sais, tu en as vingt, mais cet âge n'en donne pas moins dans le volage)..

On l'a laissé là, le Poète, sur la route, reprenons-le, c'est le soir du 29 août, il s'enfuit du domicile maternel.
Il marche, ne sachant où aller, il va, tranquille "les poings dans mes poches crevées..  Muse, et j'étais ton féal /
Oh ! là, là, que d'amours splendides j'ai rêvées !"..
Le soir, il s'endort au pied d'une meule où la paille crépite (Van gogh l'eût peint !)
Le soleil levant le réveille ; il rejoint le père de son camarade de collège des Essarts, directeur du Journal de Charleroi, mais il ne sera embauché, jugeant les politiques sur qui il doit écrire de "pignoufs, sauteurs et maringouins !"
Direction : "Le Cabaret-Vert", commandant tel un homme :
                                                                                                                 " Depuis huit jours, j'avais déchiré mes bottines
                                                                                                                    Aux cailloux des chemins ; j'entrais à Charleroi,
                                                                                                                    Au Cabaret-Vert, je demandai des tartines
                                                                                                                    De beurre et de jambon qui fût à moitié froid..."

Chaque fois que Rimbaud criera : "j'ai faim !" (comme un Jésus : "j 'ai soif !" - Lui, c'était d'amour qu'Il avait soif, non d'une éponge de vinaigre, messieurs les  centurions Romains !"), chaque fois, ce sera un appel vers ces chères "tartines" !

De Charleroi, il gagne Bruxelles, remontée vers un ami d'Izambard, qui l'hébergera deux jours et le poudra, le lavera, le gâtera comme on doit aimer correctement un môme, ce que son père militaire n'a jamais su faire ! Arrivé en col sale, cravate nouée en ficelle, bottines trouées, il repartira, tout propre, péremptoirement décidé d'un "tour de belgique" à faire, "pour son instruction" ! Petit Poucet rêveur ou Pélerin d'Espagne, il arrive finalement à... Douai.
Là où Izambard passe ses vacances.
Le col sale est devenu à coins cassés ; la cravate-ficelle, mordorée ; les cheveux à la diable, fraîchement peignés ; les vêtements en lambeaux, subtilement brossés !
Le beau jeune homme ! "Un vrai dandy" (Baudelaire en eût fait un poème !)

Il fronce néanmoins le sourcil. Loin de sa mère, il aime sa mère ; il demande beaucoup de papier pour écrire ; inquiet, Izambard prévient cette "bouche d'ombre" qui lui ordonne de "chasser le petit drôle" !
- Oh maman , pourquoi ne veux-tu pas que je m'en aille ? (eût pu clamer le fièvreux, baluchon bouffi de poésies manuscrites, un rayon de lumière dans l'oeil, qui rentre s'éveiller à la dure réalité de Charlemerde ; les deux amis ne se reverront plus !)

Opéra fabuleux : "Quand l'ombre bave aux bois comme un mufle de vache"...

L'appel du large est une séduction de femme, une liane envoûtante et sensuelle, qui lui monte à l'esprit, aurait-il perdu son âme ?.. La joie de vivre qui grouille autour de lui, cette folle joie des mères-frère-soeurs l'empêche d'être heureux, lui, qui ne se réchauffe qu'aux flammes de la Poésie dans l'âtre de son être !
Il épie la fenêtre grand'ouverte sur la délivrance et sur l'espoir. Faire mine de sauter, dans le trou du suicide ? Pas son genre...
Il a promis de rester à la personne qu'il aime le plus au monde.... Izambard !

"Charleville, 2 novembre 1870.
Monsieur, A vous seul, ceci :
Je suis rentré à Charleville un jour après vous avoir quitté. Ma mère m'a reçu et je suis là... tout à fait oisif. Ma mère ne me mettrait en pension qu'en Janvier 71.
Eh bien ! J'ai tenu ma promesse.
Je meurs... Je me décompose dans la platitude, dans la mauvaiseté, dans la grisaille. Que voulez-vous, je m'entête affreusement à adorer la liberté libre et... un tas de choses, que "ça fait pitié", n'est-ce pas ? Je devais repartir aujourd'hui même, je le pouvais : j'étais vêtu de neuf, j'aurais vendu ma montre, et vive la liberté ! - Donc, je suis resté ! je suis resté ! - et je voudrais repartir bien des fois - Allons, chapeau, capote, les deux poings dans les poches, et sortons ! - Mais je resterai, je resterai. Je le ferai pour mériter votre affection. Vous me l'avez dit. Je la mériterai...."
Il signe : "Ce sans-coeur" de Rimbaud.    A. Rimbaud

Le "sans-coeur" est au bord des larmes, en fait ! Il ne pleure pas, c'est Izambard, au reçu de la lettre, qui le fera.

Au long hiver suivant, sous l'esclavage de sa mère, dans le rire de la maisonnée (folle, finalement), Rimbaud se réfugie à la bibliothèque municipale dont le vieux bibliothècaire, amoureux du calme, voit d'un oeil grave et mauvais débouler sur lui ce petit gêneur venu réveiller son grand sommeil de bourgeois, les Assis !
La forte tête de Vitalie reviendra souvent, ce que n'espérait pas ce vieux bougre, croyant que ce gamin sera vite dégoûté des livres !
Curieusement, le vieux gardien des lieux s'encolère, et Rimbaud prend plaisir à destabiliser "son" calme régent !

"Oh ! ne les faites pas lever ! C'est le naufrage...

Ils surgissent, grondant comme des chats griffés,

Ouvrant lentement leurs omoplates, ô rage !".. 

 

Tous les livres du monde plaisent au studieux, le tour du monde est pour l'hiver ; Izambard a rejoint une autre ville, un autre collège... C'en est définitivement fini de leur amitié rapprochée !

 

Voilà la fin des dix-sept ans sonnée, la nature d'homme s'éveille, les représentations malsaines de l'enfance rimbaldienne resurgissent, il verra toujours dans la sexualité le délicieux sujet de grossièretés défendues, les "morves d'azur" des Vénus Andyomène, phrases taillées dans le granit des Regrets de la Belle Haulmière d'un François Villon :

"Et tout ce corps remue et tend sa large croupe / Belle, hideusement, d'un ulcère à l'anus."

Le poète expire "sur des rêves niais" !
                                                                      "L'hiver nous irons dans un petit wagon rose
                                                                                         Avec des coussins bleus
                                                                    Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
                                                                                        Dans chaque coin moelleux. "

(Il les proposera au Progrès des Ardennes, qui le rembarrera fort séchement, signalant au gamin de dix-sept ans que les circonstances de la guerre de l'époque ne se prêtent pas à de tels "pipeaux rustiques" !)

Il s'enhardit auprès d' "alertes fillettes", en voulant un peu plus, un peu mieux que la simple cheville ; les aspirations érotiques menacent son émoi,  l'éprouvent :
                                                                                  " Je cherche la bottine et je vais jusqu'aux bas ;
                                                                                     je reconstruis le corps, brûlé de belles fièvres.
                                                                              Elles (les fillettes) me trouvent drôle et se parlent tout bas.
                                                                                     Et je sens des baisers qui me viennent aux lèvres
                                                                (variante originale : Et mes désirs brutaux s'accrochent à leurs lèvres) "

Dans les Déserts de l'Amour, composés au printemps de 1871, il décrit son ennui et son trouble, se dépeignant tel un garçon "fuyant toute force morale", pointant ses accusateurs : les éducateurs l'ayant élevé "en des erreurs étranges et tristes", lui le "plein de sang" !  
Il écrira sa Lettre du Voyant à Izambard (13 Mai 1871)
Il ne connut alors que des amours en rêves "dans ses lits ou dans les rues"..
L'année guerrière de fin tragique 1871 verra le déséquilibre de Rimbaud comme une insulte que la vie lui crache à la figure, un défi, la mort que "l'on cache aux enfants" :
                                                                                               "Il dort dans le soleil, la main sur la poitrine
                                                                                                Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit."


Bombardement de Mézières. Il hurle à la régalade : "allons voir les décombres"...

Son état d'âme de blessé de ses guerres de l'amour :
                                                                                                "L'âcre amour m'a gonflé de torpeur enivrante.
                                                                                                Oh ! que ma quille éclate ! oh ! que j'aille à la mer !"

Le 25 Février 1871 "sa quille éclate", il fuit la Charleville gelée pour LES faubourgs parisiens fascinants où il erre - fier ?

L'éditeur Lemerre, qu'il rencontre, lui donne à sentir les livres fraîchement publiés :
Le Sacre de Paris (lié aux événements militaires) ; Le soir d'une bataille - Lecomte de Lisle.
La Lettre d'un mobile breton - François Coppée.
La Colère d'un franc-tireur - Catulle Mendès.
Voe victoribus - d'un certain Lacaussade....
parmi les poésies des Félix Franck et d'Emile Bergerat !

Les reliures sentent bon, le galopin s'en enivre ; on le congédie - La guerre, comprenez-vous ?

Il traîne encore dans les faubourgs, dix francs en poche, donnés par l'amusant dessinateur André Gill des Binettes rimées.

Quinze jours pitoyables, il rentre sur Charleville... dégelée.
La madre s'enrage ; allusion dans ses cahiers d'une Saison en Enfer :
" Sur les routes, par des nuits d'hiver, sans gîte, sans habits, sans pain, une voix étreignait mon coeur gelé : "Faiblesse ou force : te voilà, c'est la force. Tu ne sais ni où tu vas, ni pourquoi tu vas... / Au matin, j'avais le regard si perdu et la contenance si morte, que ceux que j'ai rencontrés ne m'ont peut-être pas vu ... / Oui, j'ai les yeux fermés à votre lumière. Je suis une bête, un nègre..."

De cette profonde blessure éternelle, il jaillira aussi ce poème que nous chante Léo Ferré :
"On n'est pas sérieux quand on a dix sept ans.
....................................................................................
Dix-sept ans ? .. On se laisse griser.
La sève est du champagne qui vous monte à la tête.
On divague.... "

Psukê !

                                                                                  -     Vous êtes amoureux, loué jusqu'au mois d'août !
                                                                                        Vous êtes amoureux : vos sonnets la font rire.
                                                                                        Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût !

"Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot."

(Puisse ta rentrée être meilleure, fiston ! Ton père aimant, Bertrand)




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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 23:00

Homme éconduit par ton ombre
Beethoven est mort dans un orage
Violons et pianos à égalité
Pastorale
Audace d'une sonate envolée sur violoncelle
de voix en recherche d'un contact supra-naturel
sans que rien ne se passe autre que l'écoute

La chasse
Est-ce Sagesse tisonnée
ou source d'illusion pour égarés
Chemin de cime ou de futaie
Clairière ou crête de vie
Voie étroite
ou sente disparate parmi de milliers
de choses peu naturelles en ce monde
qui déboule(nt) comme pierres de touche
au bas de précipices sentimentaux
(à défaut de sincérité)

Les coeurs ouverts disent leurs raisons cachées
aux oreilles indiscrètes elles-mêmes éhontées
Nada Nada Nada
"Rien ne te mène autant que l'illusion" (Faouzi Skati)
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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 04:20

La vaste et belle demeure de maître du Vivant
n'est plus qu'une simple plaque neutre dernière
du même à la voix  tue posée à même le sol de la terre
où tout est mélangé sans être totalement disparu

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 22:00

Point trop de vent, mais voilà l'entame automnale, chute de châtaignes et de feuilles mortes.
Chutera-t-il quelque planète ?

Qu' y a-t-il du passé terrestre qui fera le futur de la Nature et de l'Humanité qui doivent cohabiter ?

Combat éternel entre l'amélioration des genres et la détérioration par toute nouveauté ; les paramètres changent, l'Homme et l'oiseau sont déboussolés, perdant leur Nord magnétique !
Vers 2050, l'Amérique et la Chine auront décidé du gaz à effet de serre, carbonique, et l'uranium limité, aura tranché sur le Nucléaire.
Serons-nous les amis des Arbres, des Animaux, de la Flore et de la Faune ?
Ou, ennemis jurés ?

Étoiles/Soleil, pour quel système planétaire , l'eau liquide sera-t-elle potable partout ?

4,556 Milliards d'années ont déjà chuté, nous avons récolté force châtaignes sur les corps, tous les bleus à l'âme ressentis,billions de milliards de tonnes de feuilles mortes ont voleté dans nos déserts et dans nos jungles technologiques ! Avons-nous progressé ou régressé en tous les domaines modernisés ?
Les nébuleuses des écrivains ont inventé des réalités moins fortes que le Réel gazeux et solaire en proie à des déluges Bibliques !
Comment vivre maintenant de façon convenable, entre les continents, sans convoiter la route des glaces fondue, le Passage Nord-Ouest s'ouvrant de plus en plus comme plaie béante ?

Ciel, à la vie cellulaire, nos climats sont aussi déstabilisés que les corps humains !
La saison est avancée, voici l'annoncée de l'automne, à peine l'été finissant, ayant à peine vécu !
Entre la Terre et la Thermosphère, l'érosion de la biodiversité s'accentuera-t-elle, faisant place à un manque d'espèces si grand que le vide en l'Homme se creusera plus encore, ou l'ozone résistera-t-elle, s'autoguérissant en protection ?..

La mort des vers de terre est  si dramatique dans les tempêtes que les pêcheurs traitent la Nature de folle connue, sans savoir que la cause ne vient pas d'Elle !
Les Humains peuvent disparaître sous l'effet de leurs folies aveugles ; "la moisson vient plus du labeur que du champ" (ce proverbe espagnol servira-t-il d'étendard, de bannière et de pavillon moralisateur, ou d'agitateur bénin tel l'épouvantail chasse très peu les pies et autres rapaces ?)

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 07:09

Détachement : 09/09/09  - O9h09
Une bonne date pour s'arrêter.

Au coeur "sagace et perspicace",
L'homme jamais ne ressasse !


Finalité :
Une "Cosmogonie" ?

Création-Plénitude
Accomplissement de la spirale
de l'Univers
(Chiffre du Sagittaire)

*

Temps de la gestation humaine
Carré des Trois mondes divins

Trinité du 3 x 3

Au chiffre 7, l'Humanité ;
La Hiérarchie revenant au 8 ;
tout au 9 l'Initiation du Shamballa
(plan de conscience planétaire le plus élevé
d'après la Psychologie exotérique d'A. BAILEY.)

Neuf : chiffre du nouveau départ dans un monde tout neuf

Il est donc le chiffre "zéro" du cycle suivant qui commence par 10
(10 = 1 ; 11= 2 ; 12 = 3 ; 13 = 4 , etc...)
Chiffre de l'Orientation nouvelle telle
à la naissance la vie foetale
arrivée à son plan d'existence
terrestre
neuf fois après les eaux matri-ciel...(les)

C'est l'annonce de l'être spirituel
dans le règne de l'âme
où commence ainsi l'évolution nouvelle

- Je suis un être spirituel venu vivre une expérience humaine....

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