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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 03:40
Nous sommes "Camareux", à regarder les draps bleus de La Chambre-Océan.
C'est elle qui m'en a parlé, qui m'en a donné le "titre".
 Les vagues "rentrent dedans" les rochers.
L'amour y est fraîchement  force quand il n'est pas fureur, souffrance, la "folie" des vents l'emportant
au loin de nos aspirations.
La Poésie du Vivre ensemble nous étreint.
Nous restons "moines",  à regarder chacun "son" côté artistique choisi dans un  monde d' Humains
allant à sa perte, s'il ne se ressaisit pas plus ,"moines camareux" (photographiés ici par Jean-Louis
Le Moigne comme l'Espagne-Catalogne dans un Espace Républicain)...

Nous partageons nos rêves de partance, Brume de mer voilant ces lointains-là :
- De quel côté est le monde, dans quels reflets inversés du ciel ?..
Leurs "Toits" n'invoquent plus rien, de tous côtés qu'on les observe...
Nous restons, là, seuls et nus dans nos corps N / B, pattes rouges et becs aussi rose que romarins
du bord de mer, à Pors Bellec  (Pointe du Curé),  face à l'écrin Nord de la  Baie de Douarnenez  d'où
nous ne bougeons pas, ou très rarement, ou pratiquement jamais.

Porte de la Presqu'île de Crozon ouverte sur les sommets des Menez Luz et Caon, sur les vallées si
verdoyantes qu'elles contrastent avec le bleu des draps défaits d'une petite houle érotisante d'Ouest
en Est, qui s'écume sur une lieue de mer, à proximité d'une crique de suavités étranges et discrètes,
connue de nous seuls, on s'évade par elle, cette  Porte béante  sur les Amériques ;  on voit si peu de
choses, ici,  que je pense pour elle,  à la chape de silence qui s'abat sur notre chagrin de ne  pouvoir
voyager plus ensemble, du côté de la Cappadoce ou d'une Turquie moins touristique, voire les fières
Cheminées-refuges où nous pourrions vivre notre entente secrète..

Notre Chambre-Océan prédispose à la tranquillité d'esprit, sans pour autant nuire à l'efficacité ;  par
l'avancée des jours si calme,  la bonne humeur infaillible,  dérangés par aucun autre volatile  ni par
un seul chasseur-photographe depuis le célèbre Jean-Louis, lui qui nous a placés en "carte postale
panoramique"  sur tous les tourniquets de France et de Navarre ; notre Chambre-Océan est  ainsi  à
la vue de tout le monde, sans que personne ne sache où la situer vraiment, et, nous sommes libres
de faire souvent  l'amour-aubade  lors de nos charmantes Parades nuptiales, nuit et jour...parmi les
fleurs sauvages ,et, certaines, importées du Japon....
Nul doute que nos buts fixés de l'ataraxie plumée sont atteints !
Joie. Bonheur simple. Bec à bec, échanges harmonieux. Tout favorise le sens des voyages, là, sans
bouger, et  les relations avec les non-visages des internautes qui nous saisissent, parfois, via le site
de Jean-Louis...qui exposa notre nidification.
Le dynamisme des yeux humains s'associe à notre douceur figée, notre fougue intimiste se lie bien 
à notre capacité d'écoute, ce que méconnaissent ces mêmes humains qui ne savent plus croître en
chaleur harmonieuse, à l'état de nature où  "l'homme est"  (resté)  "un loup pour l'homme",  selon ce
dont un certain esprit de Thomas Hobbes nous en a rapporté par les vents d'Ouest-Est, aujourd'hui...
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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 22:00
***



Une mélancolie colore ma vie active du jour, le sourire bienheureux  toutefois, qui orne mon visage alourdi d'un lourd sommeil érotisant ;
J'entendis durant la longue nuit les appels insistants du Cor de Roland au coeur d'une grotte humide d'actions intransitives ;
Ange ailé, j'ai voyagé en rêves, nagé, couru vers qui m'engendrait transitivement, me forgeant l'âme, me la créant ;
en surface, je me suis laissé toucher par ce rêve m'effleurant, me nuançant les idées enduites d'écritures ;
Je m'appliquai à la consolée de Roland, son cor, au fundament du son, pétaradant par-dessus tête ses amendes augmentatives et stimulantes ;
Je tressai, j'entremêlai, je me confondis en grâces et désirs, tous les cumuls oniromanciens,
J'écrivis mentalement les scènes où nous guerroyions sur nos terres sacrées, garrottant nos galeuses virilia,
J'exultai alors, exhalé d'enfantements anciens, émanant du puits de la mémoire, offert à ces combats peu singuliers,
J'exultai, surenchéris d'invectives et de roueries, bien plus que lui, rival du Règne des sens,
Actions après et derrière, dessous, de haut en bas, actions d'arrêt et à travers (through us and them), contre,
 et  tout contre nos offenses charnelles, sans cuirasses, actions dedans mon rêve mâle, sonores et diminutives,
corrompu, restreint, mais gâté de ces passions du goût, de l'ouïe, de la vue, du tact et de l'odorat,
à en humer, à savourer, à éprouver, à écouter-voir
nos ancolies confondues...

De Jung, je retins que "Toute vie aspire à l'éternité"...

*** (Ange signé Eve Morcrette)
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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 05:01
Devant le brûlant foyer de l'Absence
j'avais oublié combien étaient beaux
tous ces plis et replis de l'évidence
qui font perdre à l'esprit
Calme pieux et repos
Calme Foyer de Junon et Minerve
en ces votives lenteurs d' innerve
union des Arts de nos Complexités :
- Sculptures croquées en Poésie de chair...
J'avais oublié la transparence
de la musique du sang d'une Venus bien placée
dans le ciel des idées de l'homme qui en cache la vie
quand le coeur aspire aux réussites assouvies
dopant les planètes hyperpositives de sa tête
toute retournée
puisque Pline le Jeune annonce que :
- "Envier, c'est se reconnaître inférieur..."
Et, l'Homme, dedans son coeur chaviré
envie ce doux  foyer de l'immortalité charnu !
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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 07:40


Air de vent Plage dorée Genêts Bruyère et
L'étendue devant l'Océan

Erdeven

Des veines nues de sable parmi les rochers
où j'ai marché devançant l'inconnu de peine
(Ys était loin de nos extrémités)

Vol à proximité de quelques goélands indiscrets
dessus la Plage blanche
et le soleil
et la marée

Les Indiens du Haut-Xingu à qui je pensais
savent qu'isoler les gens fait fondre les pensées
tous les tueurs sont des soumis
- leur sombre projet, c'est du "vide"...

Erdeven

"Les hommes sont des oiseaux de passage"
ai-je vu dans les ailes de ces goélands
planant oiseusement
dessus les plages blanches
les pages de mes pensées mourantes
l'air de rien
souvent

Erdeven Erdeven
où vont nos nudités
droit devant
nos inutilités

O ciel clair et bleu se mirant
dans les eaux inversées
j'y plonge mon regard
avec les goélands

Erdeven Erdeven
Air de vaines pensées

Il sortirait, le voici, Le Temps
aussi nu que l'Espace d'ici,
le vois-tu, le voici, devant
L'heure passée qui repasse
- eaux pressées - Vagues de vent, Le Temps...

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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 06:44
    Vent du Nord-Ouest, Vent d'Ouest, Gwalarn-Kornog, tous les souffles humains n'ont pas votre force,
mais sans cesse, ils recommencent sitôt ils échouent, en une vision" holiste" du Monde ; soufflez sur
eux, qu'ils savent que le Monde n'est pas sans Dieu ni raison, offrez leur un Jour d'action de grâces, la
vie rendue meilleure et plus belle...

   Personne ne soufflera mon "feu sacré", j'ai vocation d'écrivain ; la "source coule depuis l'âme"...
 (La cheminée du corps brûle encore du feu ardent de la "payante" persévérance, flammes orangées
de l'espérance, feu "secret" des Révélations, à l'écoute des Grands vents de l'Esprit qui lui soufflent ;
toi, l'amie, lève l'ancre (l'encre) et la "pierre noire", croquis et mots croquent un Départ...nouveau... Et,
le navire a nom "Secret Love"...Tu l'as su, hier au soir, le feu de la Cheminée spirituelle flamboyait en
plein..vent de l'esprit !)

   Gwalarn-Kornog, Vent du Nord-Ouest, Vent d'Ouest, Automne rimaille dans tous les "vents mauvais"
de fin d'hiver, que tous les souffles humains ne s'arrêtent  jamais à  "l ' image", qu'ils approfondissent
ainsi  leurs assertions :
- l' Histoire est le bon ou mauvais juge.
   A poser une "rupture", ça peut faire bouger les gens, et l'esprit, la pensée des gens...,  tout en l'être !

  Vents de tout acabit,  An Avel Viz, aussi, Vents du Nord-Est, écoutez :
- Un appel d'air frais nous ouvre l'esprit le plus retors !
Je connais trois adresses de chaleur humaine, à la signature astrale, dans le vibrato d'une voix :
1°) Le Cosmos ( Infinitudes )
2°) Le ventre d'une mère ( Processus aux délais et à la lenteur d'une existence finissable)
3°) La Psyché (Calendrier académique d'une âme à devenir exponentiel)

   J'ai pris grand "retard" sur ma vocation, on m'a fait  tôt  "disparaître", m'oubliant dans la glaciale isba
des insolences et des traîtrises... Je me suis réchauffé l'âme au feu sacré de ma vocation...
   Comme dit dans deux  répliques de " La Mouette  " :
"...L'envol de l'esprit fait mépriser l'enveloppe matérielle ;...
Maman m'a élevé comme une héroïne de conte de fées, je ne sais rien faire..."

  Vents d'ici, Vents d'ailleurs, positif-négatif  sont les pôles humanisés (humanisants) de notre identité
mental-corps-mémoire ;  Gwalarn - Kornog,   "l'essence du bonheur est à l'intérieur de soi"   (Suzanne
Lussier), je me laisse porter ,au gré de votre bon vouloir,  jusqu'aux  riveraines dunes Erdevennoises...

  Le trois-mâts "Secret Love" vogue vers là-bas...
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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 16:32

Le  "Plus jamais ça"  me désopile, c'est sans fin re-commencer les mêmes erreurs fondamentales qui blessent
l'humanisme.
On nous alerte d'un défaut de civilisation (ou de civisme, de civilité), on constate, on condamne, on abat les atouts de la "révolte", on hurle à l'injustice, on pointe d'un index accusateur les plaies rouvertes et suintantes, on s'offusque des ignominies spectaculaires, on clame et on réclame un "Plus jamais ça" retentissant dans le Monde planétaire
jusqu'au-delà des Mers et Océans, et, deux-trois semaines plus tard, c'est rebelote et mistigri.
Panurge est de sortie.

Une "Marche blanche" pour
une heure de spectacle
grandiose et silencieuse
jusqu'à  UN  nouveau Tour
de la désolation primaire
d'une tête pensante qui aurait
oublié sa "pensée" de paix promise
au vestiaire de l'Horreur où tout reprend d'un simulacre
depuis la "Guerre du Feu" : - La convoitise
menace le plus simple redresseur de torts
au point qu'il perd promesse, parole et pieds
devant ce qui l'amène à tuer-voler-piller-
ce dont il n'a pas besoin ni ne voulait vraiment...

Juste faire "comme si..." Dieu promettait aussi
Le Paradis
aux voleurs-tueurs-méchants-pas beaux...

Quand plus rien n'entache la mémoire, l'Homme s'entiche
de façon régulière à ce que, Proverbe général,
"La merveille est fille de l'ignorance"...

Tous les contresens affectifs troublent la transmission parents / enfants,
"l'enveloppe sensorielle du toucher" de la mère et/ou du père,
totalement inexistante ; que va -t-on faire de ces mômes sans rien ?..
de ceux qui ne pourront devenir "adultes" à part entière ?
de qui menace l'autre uniquement par manque d'amour basique ?
d'untel pour unetelle qui ignore tout du sentiment amoureux
(L'amour n'est pas une pratique, ce n'est qu'un sentiment qu'on sème ou non
pour qu'on s'aime et qu'on puisse mieux s'aimer sans se haïr )..?

Plus rien n'est dit en cité d'Ys ; ...
On s'était dit  : je t'aime - à la vie la mort  -  On s'est haï :  -  Je t'aime encore !...
L'amour n'est pas pratique, c'est une affaire sentimentale, tout au reste sexuel,
qui n'est que sauvagerie et animalité dans la Jungle des sourds et des friqués.

- As-tu pour moi caresses et baisers tendres ?..
- Qu'avons-nous de la vie encore à attendre ?..
- Tu sais bien que l'argent et le cul ont toujours dominé le "Monde"...
- Tout revient par où c'est parti, puisque la Terre est ronde...

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 06:34

Trouver la bonne mesure
Laisser place au Bonheur, qu'il entre !
Rire un bon quart d'heure par jour...
Progresser grâce à la Tempérance
(n'être pas altier)... :
"Toute vertu est passive" ;
Maîtrise et Discipline font : durer.

Une attention sans faille raffermit la digue
contre les émotions négatives
qui ne sont pas les projections
elles-mêmes aussi néfastes.
Suivre le dénivelé du proverbe hindou :
-"Le sage n'est pas celui tombe, mais celui qui se relève"...

Pause mentale et Lâcher-prise : - Carpe Diem.

Amour, Bonheur, Sérénité :
"Moins devient plus" !

Développer son "estime de soi" :
"Celui qui croit ne se hâtera point"...

Bouddha :
-" Soyez vous-même votre lampe, soyez vous-même votre recours,
ne dépendez pas de quelqu'un d'autre..."

Arrête le balancier entre "souffrance et ennui..."

                                                                                       Quis  ut  Deus



Au Jardin d'Erasme, Zen Garden, sois le bienvenu, ô né nu, Phare de Vigilance
(D'Holbach : " Apprenez l'Art de vivre heureux"...)


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22 mars 2009 7 22 /03 /mars /2009 06:22
Arc-en-ciel diffracté d'une bulle de papier ou d'un disque laser  (savon du Temps infini),   gouttes d'eau
fignolées de Lettres rouge-orange-jaune-vert-bleu-indigo-violet  anamorphosées  dans le miroir de nos
yeux tout en éclats intimes où le bombé se tasse sur les tas de nos  creux  vides d'importance  politico-
sociologiques et spirituels,  la  Lumière  blanche rebondit maintenant de l'écran vers nos kaléidosdoco-
piques mondes Thaumatropiques où tout s'anime en folie destructrice chaque jour que Dieu défait aux
impedimenta, le fruit de nos efforts oublié : vitalité de Tempérance, changement de Fortune blanche :

                                                                                      L ' E A U

- Qui  La  pollue, du fil à la poussière,  change notre auditif et notre visuel,  de la perception des dons aux
profondes mémoires plus enclines à les recevoir (Baschung était bien "une étoile"  vivante puisque nos
vies l'écoutent encore et le voient briller dans la Lumière silencieuse des réfractions de sa  Voix  d' eau
et d' air traversée par nos idées premières de le réécouter à  des années - lumière, il brille encore...,   ô
cher artiste de la  Res Publica  dans notre  Res Privata !..)    Qui brouille les particules richissimes d 'eau
n'assagit pas nos sens dont la moindre faiblesse engendre un cri d'appel, cet Oracle de l'Eternel,   Psau-
me sang d'ici - 110 - :

                                      " Domine au milieu de tes ennemis !
                                      Ton peuple est (plein de) dévouement
                                      Au jour (où tu rassembles) ton armée
                                      Avec des ornements sacrés, du sein de l'Au-
                                      rore"  (Eau rare, désormais, ajouté-je au Manus-Christus)

Tout s'insurge dans la sève et le sang, poudres sensitives,  perles de rosée de l'être suant sang et eau
dans tout ce qui réveille "son" Néant, quand il ne dormit plus du sommeil du juste, tout pissant de mots
d'un langage imprécis, là où rien ne pommèle les fruits mûrs d'une claire pensée,  "Sa"  triste narratio...
Selgolalie, lagnolalie dévidées, déclinées en cunnilalie (médolalie / phallolalie) de narratophilo-internau-
tophile, palliatifs à la solitude amère, mal contemporain, craignant aussi pour la disparition de  L ' Eau !


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21 mars 2009 6 21 /03 /mars /2009 05:02



Grâce à l'appui du Soleil et de la Lune       
la possibilité et la volonté d'améliorer sensiblement vos relations sentimentalo-érotico-maniaques ne
seront pas une "illusion" d'optique telle "La pipe" de Magritte qui n'en est pas une ;
ne laissez surtout pas s'échapper pareille belle occasion de créer un climat d'équilibre et de compli-
cité dans les règles de  l'Art du Mahjong des Moeurs  (qui se joue solo ou à plusieurs jusqu'à  ce que
soit bloqué le "je(u)", pour le redémarrer de plus belle)  :
"la récompense d'une bonne action, c'est de l'avoir accomplie",  et,  le seul bonheur qu'on a vient du
bonheur qu'on donne en "Amours / Haines", éliminant, un à un, les extrêmes et les pièces similaires
qu'aucune autre brique n' obstrue de sa présence parasite :-on ne pourra, en ce cas, ôter la gênante...
qu'une fois libre elle-même, détachée de ses voisines.

Que se rassurent les joueurs solitaires, la mise au ban amoureuse devrait prendre fin en cette " fin
de partie", les influx cosmiques du "dernier croissant" porteront à son comble l'acuité mentale,  et,
à son apogée, le flair des nombreuses opportunités de se dégager du Mahjong des Moeurs,  l'esprit
gagnant.

Une victoire de rencontre à votre goût spécifique et hors du commun devrait  vous satisfaire.

L'autre vous plaît-il ?

La lune vous encourage à vous déclarer sans attendre. Sentiments partagés à cent pour cent sur un
damier aussi libre de pions qu'un matelas de draps défaits en couvent de Béthanie.

"Il faut avoir une parfaite conscience de ses limites, surtout si on veut  les élargir" est la règle une et
 basique de ce nouveau jeu terrestre, règle signée Antonio Gramsci.

Puisse le Mahjong des moeurs vous éclairer sur ce qu'il convient d'entreprendre ou à bannir.

 

 

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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 21:40
.......................Si bien que je ne me retourne pas,

au  moment adéquat du lieu suivant, qui se décèle dans ce que le fond des yeux

a pu capter de plus vif dans les eaux calquées de l'air chaud du jour, encore que

tout n'avait rien de vérité que la distance entre ce qui fut, sera, est, au nu présent

garantissant  la  plus nette des subtiles forces de l'Homme : ce qui rougeoie  en

chair, uniquement retenu par le fin fil d'une longue nuit de rêves, qui est ce travail

littéraire, lequel est une écriture au plus nu des sentiments vrais, novice attiré par

nos vices dans le romanesque Monde de toutes les  "situations", des plus  folles

aux plus pieuses ; se tolérer, c'est s'estimer...
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