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La Cheftaine regarde dans la direction opposée de l'accueillante de Cathédrale, craignant-dieu au féminin d'une foi poussant le cri strident de l'incompréhension générale, face à ce qui se passait à l'autre bout du chemin du Haut Plateau où la Cheftaine avait ses habitudes ayurvédiques, massée nue sous huiles essentielles, qui sont l'âme des plantes.
- Eh donc quoi ? C'est l'heure de s'y rendre... On verra ça après.
L'euphorie de bien-être s'est emparée de tout son corps, qui gagne aussi bien l'âme que l'esprit, ceci pour le juste équilibre général, et de santé, et du mental.
Pour la phase finale, c'est un sauna japonais, une demi-heure à faire suer chacun des pores, afin d'éliminer au mieux les toxines, et de s'alléger à se croire avoir des ailes d'un planeur ressemblant à un Zyx 22, 23 ou 24 de Lartigue afin de garder bien l'esprit rêveur..., revenant à son locatif dans le parc du château de ses rêves les plus beaux donnant sur l' immensité dudit, pentue au bout de laquelle un lac reflétait le ciel à l'orée d'une aulnaie.
Ensuite, le sauna sec.
Looping pour lapsus et rêveries feront tourner la tête de la Cheftaine.
Point tant de "five o'clock", au pavillon d'Armenonville, puisque c'est l'heure de la fin du massage total d'Arts-mène au vil.
Chéri, p. 137 - c'est la vie remuante des désœuvrés- , Colette -
(à changer tant de toilettes, aux heures des bals et des dîners, réceptions, ah que voulez-vous, mon cher, ô ma chair /chère et tendre massée !)
Ci-dessous@DESSIN DE MODE, LARTIGUE, 1908
Abonné aux Fermes & Châteaux, on aurait engrillagé le devant du Portail d'un réseau résidentiel avec grand jardin comme du cake-wake de Maurice Chevalier aux Folies-Bergères au Moonwalk de Jackson, il n'y a.... qu'un pas mesuré au Temps qui ne passe ... à l'étude dansée de la durée... Chamallow !
Etes-vous heureux ? Si "non", changez quelque chose en votre vie, or : On peut tourner à l'infini de soi si, en changeant, on retombe à répondre "non", dès la seconde posture, etc...de nature : l'homme est un animal triste post-coït-homme , isn't ?
En lévitation au-dessus de l'eau du bon-Heur, élancé à l'effort du plongeon droit devant soi, mains jointes en prière, on n'hésite plus au Plouf de sa "nature" qui, chassée, pourchassée, refoulée, revient donc toujours au "galop" du saut dans le vide et l'inconnu !... un peu avant de rentrer de nouveau dans la vie osée, et l'eau froide de la vie osée, qui définit, audacieuse, notre liberté. Déjà selon mine and Beauvoir !
- Et, devant ?
- J'ai hérité d'ancêtre lointains la Passion de l'expérimentation atergo !
Habitons-nous un logis, un corps, un visage, ou les trois ?
Vérité ?
"Comment pourrait-il désirer un monde
matériel et fini, alors même que son coeur aspire au spirituel et à l'infini ?"
(Elsa Godart)
A la chaîne, chacun va à sa mort, devant ceux qui les regardent mourir, n'implorant Dieu ni le ciel qu'ils ne questionnent davantage, quel qu'âge qu'ils ont, quelque soit leur condition, l'habitude irrégulière, d'un tout ou rien, selon, et, les ouvriers en bâtiment creusant le chantier boueux de coulées de ciment ainsi qu'un Langage nouveau à ériger pour l'heure de la 5.G... ; à la chaîne, tous, ils vont, sans revenir, devant "la mise au tombeau" en restauration depuis plus de dix ans, les statues des pleureuses, déplacées de côté, si bien qu'une d'entre elles regarde en souffrance les poubelles au lieu du flanc fissuré sur tout le côté du gisant, car le local sert désormais de dépotoir de détritus, local grillagé, cadenassé : merci de votre compréhension, c'est la mort mise en restauration, la mise au Tombeau en différé qui ferait ajouter cette pancarte quelque peu Pascalienne : - Qu'y a-t-il dans le vide qui puisse leur faire peur ? Le cœur de l'homme plein d'ordures...
De la glycine à l'aubépine
ce n'est ni aube ni..Folie dans la folia.
Eh, dis la baleine à l'homme :
- phoque le réchauffement !
A LA FIN DES ANNEES 20 : début des années folles à leur achèvement...
Quelle liberté en ce quart-monde au temps du covidé ?
Ne pas peindre ici