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SCRIBO, voyage en Poësie
Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse (Vigny).
A ville confinée, les murs s’interrogent ; à bouche confinée, masque de soleil - Mille huit lunes après, 84 ans (grésil d’an, pile après le frais soleil) ; point haut de vie, scolastique : point tant de vie que l’instant.
Franches éclaircies (aucun pop-up) ; déjà le par-à-dits.
Yoga à l’union (avec l’univers, moi, et les autres)
La Vérité sort de la bouche du Puits : Justice divine.
Soixante trois mots font 355 caractères quand le corps n’en a qu’un.
Corps-texte humain de Scribo (pseudo-page)
Voyage intérieur, soleil – frémissement ; naissance d’une trans-formation : mort blanche (de papier).
Communication n’est pas communion ; n’allez pas au-delà de demain qui n’arrive jamais (qui est toujours un Jour Un remis à ultérieurement Sagesse-guérison quand faire rejoint passé & futur pour suivre le chemin du milieu où, justement, s’érige Le Demain, union positif-négatif d’un présent perpétuel à l’élaguer du Verbe Toulet) -
Dresser ici le mur de soutènement du corps-texte (cortex) ; mur de plateforme surélevé à pourtour de chaos.
Tuf attentif. Pour mieux discerner la vie du rêveur.
Sous reflet fantôme : cerveau du miroir (on ne voit jamais son vrai visage quand on le reflète dans une Psyché de salle d’eau).
Réveiller : rêve éveillé :
Votre âge biologique est de : 81 ans (que tu sois un homme ou une femme, celui-ci ne varie d'un iota -)
Gwag ._gwagenn de Kerlane tenta le titane.
Janvier jours ayurvédiques, 14H – douche, je masse, et suis massé, colchique dans les prés guérissent guérissent Colchique dans les prés Guérissent les corps vidés (corvidés coassent tout proche soi, tout près l’étang veillé par un bouddha de schiste chaste, une grenouille prête au plongeon sur un nénuphar de mousse flottant dessus le ballet des poissons rouges). Pour le sauna japonais, le corps-texte perlera de lui-même, chassant de lui-même (comme de juste) ses propres toxines.
La Lune est blanche
isolément
dans le ciel bleu
superbement
Nouvelle terre
ainsi que naissance foetale
feu étale dedans 70 % d’eau matricielle
ô matrice-ciel dans le silence total !
Même le bien est bon quand ça s’arrête
D’arrêt rien ne répète le bien qui est moins bête
Ca fait du bien quand ça s’arrête
Le tout un Jamais plus ça
Formule-pluie comme vache qui pisse
Lock-Down (on est en-dessous de tout),
on est reporté qu’à demain qui n’est.
Tous au Confinement Troisième du Non !
On décide au jour le jour
on se dirige à l’aveugle
A l’aveuglette canne blanche
tapote au gré de ce qui beugle
Le miroir nous renvoie toujours l’impasse de notre visage -
La France est le champ de pétitions qui tombe(nt) en eau de boudin ou de vaisselle.
A la poubelle on remballe les oubliages (oubli de l’âge), chance d’un repos-livre, est-ce à l’ivresse d’une fatalité mutuelle incestueuse ?
Ès-sens-ciel : Essence-ciel, c’est à l’Essentiel qu’il faut aller, scribo !
Génération Co-vide, génération sacrifiée ; à-venir, incertain ; trouble-fête certain.
Le cithare déchaîné a encore un visage d’enfant si tard réveillé à l’aveu : la liberté est un état d’esprit quand le bonheur reste une idée neuve (mai 68 pas mort!)
On passe vite au moi(s) suivant ; con-finement, épisode 3, les couvre-feux réveillent (rallument) les contre-feux de Bourdieu : « l’état est une réalité ambiguë » - page 29 , 7ème ligne – Amorce de morsure : isolé seul à seul lente dans la folie celui celle-là dont la démence suit ce qui ne s’arrête jamais à temps d’une vie sans perspective de lents demains enchanteurs.
9h00 vient de s’inscrire au champ de vision d’une page blanche.
Être high : extatique ; être low : anxieux beau soleil.
Biboy : W, Origine écartée, origine roux velu, origine saine, démasquée (masque de soleil)
Dysphorie : trans-genre des maux ; vivre en temps et heure que dieu fait de nous ce dont la Nature préconise.
Deadname : - à voix de robot, pseudo écranisé d’avant Jour « j » de l’opération sous mort-fine.
L’orthophonie métabolise autrement la voix intérieure ; oh, tu as une voix de poète, toi, es-tu mainate ?
La voix du mainate est un Bob Morane lu jadis.
Le Poète est un être en transition asexuée, bigenrée, selon la rime ; la science se penche elle-même sur le mot poème (peau-aime) autant sur le mot Amour, tant l’origine vient de la source d’une zone du cerveau non en-corps explorée, sexe-ploré (à pleur du sexe, déploré.e)
De telle sorte qu’il y a quoi sur ta carte d’identité ?
- Passeport vierge, et C. I : - psysensuel.
Attestation, preuves à l’appui, photo de l’Origine : le Poète a visage d’un cosmographe fécondé par l’écume de mer ruisselant à la chute des Lèvres muettes, à bouche confinée.
Lettre de motivation, certifiant ton état de Poète (la poésie est un état d’esprit, au même titre que celui de la liberté de tout oiseau rare, d’où le mainate).
Demande fondée, estampille du Juge divin
- Le Poëte est un cosmographe.
Il recompose le grand puzzle du mieux possible, toutes les pièces d’origine éparpillées au sol du big bang.
Neige fondue.
Suite à neige abondante, puis tempête blanche, à peine tenue pour dite, tempête de neige en corolles de duvet en lévitation sommaire.
Quinze jours après Le Renouveau, début d’épigramme licencieuse : - le bon doigt pour se curer le nez.
D’une main relâchée, Jordan a écarté le tissu de la neige brodée, fine.
Soleil blanc, tel à Belfort, beau temps.
Photo origine large soft ?
- Non, ne garde pas, s’il te plaît, n’ai pas envie que ça circule.
- Ok, effacé.
Brouille-arts. En matrice de la vie.
Trop mât Un.
Amorce Printanière.
La vraie Création est androgyne.
Qui offre semence aux rainures d’interligne délogées, dénichées, émargées démixtion : 939 mots, 5455 caractères
L’invisible grotte mystérieuse cachée ; mystica verba profaris.
Tirs olympiques, nuages rosis dessus le bois du Frugy.
Innervé, intériorisé, corps-fantôme incurvé.
En soi.
Qui va là, qui ne se montre pas ?
Dire le bien fait tellement mal que c’est mal qui fait du bien.
Le monde est tellement devenu une fiction que d’en écrire le roman serait tenter de chercher la pure vérité de quoi est fait un corps qui jouit aux féminitudes de « l’autre » qui n’est pas si visible en présence, se regardant dans le miroir du matin, dès l’aube nouvelle, jour au suivi du trou noir de la vulve nocturne nommément Nuit hors corps du précédent (jour symbolique duquel on a accès au vide de nous-mêmes).
La source vraie de toute sincérité.
Six de Six jours font semaines sur 52 l’an après J-C
Joie Cœur.
Un morceau de chair détaché de la Foi – qui est le chemin du trait de génie asexué, mais double-genrée en un seul corps-sujet à l’envol du Verbe.
Jouir de l’assise du mot sans maux.
La vie covidée est un bal masqué ; lumière du par-à-dit(s) évolutif, symbolique, réel, imaginaire.
Imaginée, toute distinction anatomique aux endroits plusieurs des cavités fémino-masculines, atergo ci-devant.
Manière du parler corporel.
Pourquoi écris-tu ?
Parce que maman faisait du vélo.
Ça et là, gloupsci gloupsça.
Vent dans les harpes éoliennes.
L’ âge ?
Ça fluctue.
Rien n’est si bien enraciné.
C’est non localisable, sinon par rainure, ride, plis, plissure, hors cialis.
Qui en écoute le vide de l’absence-présence qui se signale d’un(e) écho-graphie…
.....,
du Bakélite au vinyle, le disque-terre du trou noir musical, musique des sphères.
.
Maux. Déclamations aux mort-fine et mort-né(s), aux mots.
Faux verbe, qui n’aurait entendu son Nom ?
Remontés des souvenirs de la mémoire du corps.
Vrai corpus des hiatus refoulés.
D’emblée, d’accoucher différentes fantaisies de liens
Contempler les stylites nous donne-t-il un style de vie non redondant.
Quelle affinité avec l’évolution des origines ?
A quoi pensent donc ceux qui ne pensent à rien, celles itou item idem, nid d’aime ?.
Depuis le début, elle rêve d'un temple (en forme d'escargot) : coquille-maison, en fait ! Spirale de L'Origine hermaphrodite,ce qui déterminerait : la réconciliation (spirale) des contraires contenant à la fois
le (principe) masculin et féminin (cosmique, humain, animal,floral, végétal)
- épaule droite tournée vers le centre (bouddhiste)...?
Ipso facto, ipséité : - directement, au centre de l’être.
Penser/écrire sur l’objet-sujet idéal.
Puis s’endormir sur ses lauriers. Pour tout oublier, tout reprendre d’autre façon, d’autre côté.
Pour Don.
Par soi -
Qu’aurait perçu notre « troisième œil » que notre vue n’aurait capté ?
D’immortel alité, rien ?
Immortalité de l’incertain.
Indicible inépuisable, indivisible cosmique.
Qui passe dans nos chairs, et, simplement là, qui ne soit déjà engrammé, quelque part, à resurgir en un instant précis de notre éphémérid-hélicoïdale passage terrestre, à vivre plusieurs saisons en une, trinité de l’instant, quelque part, en soi, une existence de sexe autre, qu’on supputerait troisième du « genre », en toute innocence, innommée jusqu’alors, mais perceptible en signes particuliers.
Quiévrechain n’est pas plus à l’ouest qu’au Nord, chalumeau de Plouzané.
Nudité de la pensée humaine prend corps de la cité elle-même, mise à nu-e.
Les murs s’interrogent sur le vide de ses rues. Plages offerte au trouble inconnu.
Roulis de ressac comme d’un monde avalé par l’officine des Alpilles (entendez :
- d’ouest en est -, l’épée du vent aurait transpercé la beauté nue d’un paysage )..
A prendre l’assaut, tu vas kiffer.
Tel prendre paquet d’écume et de vent plein large de mer. Au tangage risqué.
Prendre la gîte ou le gîte, pas d’équivalence non plus, la trans-verse du phénomène
tout intérieur KPR (Kemper)
Sans contact charnel ni bancaire, dites seulement Alexia, et vous voilà mis au parloir virtuel.
Le tout-payant, évid’amant(s).
Corps astral appliqué à notre corps cosmique, tout l’univers à travers tous nos sens et pores.
Qui ne touche, en tant qu’humain, le ciel nous touche à l’émouvoir.
Sur le Portique du Nouvel Ordre, on y grave (rait) :
- Si tu n’as pas le permis, c’est cuit.
A tourner la page, on n’a plus rien à dire (ni lire, ni vivre), vous savez ; le vibratoire du Livre – clos, il se referme sur l’écho de la chambre d’écritures, sur toute vie, toute une inutilité de présence, car à quoi sert un corps beau s’il ne crie d’orgasme, autant mensonges que facondes, douleur et souffrance sœurs à l’encan pour pernicieux qui s’exhibe ainsi que rebeuzepourvoyeurs, pourvoyeuse des tentations faciles, à quoi cela sert-il sans toucher ni étreintes permissives ? Et, forfanterie de quiconque s’est un jour cru utile à quelque chose (bon à tout faire) pour quelqu’un qui avait sur-le-coup connu du mou (paresse quand tu nous tiens), pour quelqu’une qui n’avait pis que pendre (rien à secouer) du cocotier de nos pseudo-valeurs : chaque moi commence par une fêlure et une révélation personnelles devant sa psyché interrogée, dès le lever ; le devoir d’un homme seul est d’être encore plus seul, avait-on su ici ou / et là…
Réveiller le rêve éveillé par le rêve éveillé sitôt l’insomnie finie, passé le coche-marre (rêve inversé) des eaux noires (angoisses fluidiques du psychisme en branle-bas, mis-en-pièces, qui connaît une appli qui prend photo sans vue sur écran, à l’insu de tous, sinon le « troisième œil » ou « l’œil caché dans la tombe du corps, exaltation appliquée à l’envie…) ; les seuls pleurs réels sont à la saussaie quand plissent les saules pâles, là, dessus le flux du fleuve ou d’une rivière frontalière face à l’ancien octroi des douanes...sur la berge) -
Le vent, d’un souffle, emporte leurs embruns de pollen.
Roman scié, ne suis romancier, puisqu’aucun personnage ne se joue de tout le jour ni de son Je, ni plus de tout jeu de rôle à échanger, moi poète à la rigueur du cri de l’écrit sur l’écritoire écranisé qui lui-même a changé de nom, passant de Openoffice à Librofficine. (Libre Office Writer)
Comme il conviendra, sir !
Âme et Littérature(s), lits et ratures d’Amélie.
Les oreilles sifflent à l’instant, qui parle de moi comme d’un « serpent « à sornettes ?
Christ au chaos de nos quotidiens, Jourdain de nos journées légères.
L’or aidant
le soleil apparent
tout brille autour étincelant
Les arums durent longtemps.
Plaisirs d’été.
Enchantements sauvages
dans l’antichambre des vacuités gémellaires
- Une vibration saine : trille du soir,
l’oiseau au cœur de chacun des Temples
dans les rosées timides.
A deux trois chants d’alpages d’ici
- Où donc est passé le saint Homme,
et où poser nos regards
par-delà les murs interrogatifs
eux-mêmes face au vide des villes
parcs et rues, plages et venelles… ?
En ce monde, nul ne peut me saisir car je réside aussi bien chez les morts que chez ceux qui ne sont pas nés encore, un peu plus près de la création que de coutume, et pourtant bien trop éloigné encore.
Dixit voix de l’ange en la voix de Klee dont la clé de tout travail artistique, fut, a été, et sera : volonté, discipline.
Il ne peut être qu’intérieur, Le Voyage en Poësie post-spirituel, surtout que tous les lieux d’art, y compris le « culinaire » sont clos depuis trois mois, trinité noire, sombre et morose.
Bhutha Shuddhi, pluie régénératrice, le soir...a nettoyé le corps du pays de toutes ses impuretés accumulées dans la journée, idem pour votre douche vespérale
Ah comment donc mourir dans ce vivre comment ?
Comment moins donc souffrir en ce vivre pourtant ?
Comment philosopher sur l'idéal du Sage
en un monde en souffrance et qui peine au partage ?
Que signifie ceci ? Que suppose cela ?
Dans l'abstraction de l'Art, bonheur de l'absention
d'un vivre moins intensément ? Quoi ?
Dans ce peu de vécu, comment plein d'hypercérébralisation
de l'hypersensible... amoureux de presque rien
dans ce "presque tout"... Ah, quel coût ?
Ecouter la Musique du Monde bouleverse mon émoi...
En profondeur de silence tout à l'ouïe de jouir, écouter quoi ?
Quoi d'autre que souffrir et vivre sont unis (à la vie, si je puis dire) ?..
Oui. Dans ce vivre comment, ah comment donc mourir
sans violence aucune ni aucune souffrance ?
Soif du vivre rend l'ivresse blanche.
Encore titubé dès l'éveil ce matin, comme d'avoir bu tant de rêves
paisibles !
De Jadis attendu
en la conque ingénue
La Déesse est mi-dieu
comme un ange in situ
Visiteur du soir
Visiteuse demi-nu(e)
Gynomorphe tout au plus -
Summum bonum du Bouddhisme : - Le Nirvâna suppose de s'alléger la vie de toute souffrance
Or la "sagesse tragique" implique "volonté de souffrir" afin d'au moins "réussir" quelque chose dans sa petite existence, étrange paradoxe du même ultima verba (but : soin de la peau qui parle à la beauté intérieure massée)... Le papier chinois caché longtemps par son découvreur désormais en mode recyclage... quelques 2 000 ans après.... malgré les invasions d' Inter-pôle du Net ainsi que ses nombreux réseaux sociaux...
Jadis - Des tablettes d'argile Mésopotamiennes (actuel Irak) aux Papyrus du bord du Nil de l'Egypte Antique jusqu'au Parchemin de Pergame (superposition de 3 villes d'Asie Mineure :
- Πέργαμον / Pérgamon, littéralement « citadelle », en latin Pergamum)
Si choisir, c'est "éliminer", alors écrire, c'est.... tricoter au point mousse !.. Aiguilles de sens au centimètre près de la marge, endroit-envers Camusien, point-maille(s) et rang(s) de maux à mots sans max d'ego suivant à la diminution de soi pour l'augmentation d'un autre dès le premier rang de mailles endroit (je suis droitier), première ligne du fil de la pelote, relié au tricotage du texte sur l'envers de son fantasme du rang en cours d'imaginaire à dextre qui en tricote donc les cris (de l'écrit) , glissée l'aiguille droite dans la première maille d'inspir sur l'aiguille gauche de l'expir en procédant du bas vers le haut (pareil à la lecture des vitraux d'une cathédrale, église ou chapelle) L'extrémité de l'aiguille droite de soi se place ainsi toujours derrière l’extrémité de l'aiguille gauche de la marge de la page blanche de l'ensemble à "tricoter" - à placer le fil de l'idée autour de la pointe de l'aiguille-mine du stylo à droite de la main qui écrit sur le croisement des deux aiguilles : stylo et style de l'écriture (késaco, capito ?..) Dans un mouvement de haut en bas, placez l’extrémité de l'aiguille droite (mine du stylo) dans la maille en prenant le fil de la pelote des idées. Une création de nouvelle maille apparaît sur l'aiguille de la marge droite (aux correctifs & corrections, parfois)... Ah bah si, eh oh ! Je pratique ainsi à chaque nouvelle écriture. Répétée pour toutes les mailles de l'aiguille gauche (celle de l'écoute du cœur) à en lâcher la boucle à chaque fois. Pour les rangs de lignes suivants, le travail d'écriture se retourne de manière à placer dans la main droite l'aiguille vide du corps-texte et le précédent tricotage dans la main gauche, côté cœur qui révise la manœuvre à effectuer, jusqu'à monter les mailles, boucle d'imaginaire par-dessus la pointe de la mine-aiguille du stylo qui en déverse ainsi l'écriture du tricotage du point mousse (aiguille droite dans la maille située sur l'aiguille gauche en passant sous la pointe de l'aiguille du cœur gauche, si maladroit à l'écoute d'un surmoi qui l'écrase depuis le premier essai de tricot, que maman m'avait ordonné d'exécuter pour elle : et, fais ça bien, hein, sinon tu recommences tout chez ta tante de Calais, la dentelle est fort joliment réussie par là-bas... ! ) Et, d'enrouler le fil de l'idée de la pointe de l'aiguille droite dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (que je ne devais minuter ; c'est long un travail d'écriture au point mousse : s'armer de patience et de dextérité) ; avec la pointe de cette aiguille droite, passer le fil de l'idée au travers de la maille des émotions. Une nouvelle maille se forme. Vernis à ongle rosâtre sur le dessus des ongles, pour ne pas les abîmer trop vite.... As-tu fini ?...Non, maman... Recommence !) .... Alors, toujours tricotez les mailles suivantes de la même façon ; tricotez tous les rangs à l'endroit des lignes des pages qui, tricot de mousse blanche, ne présente ainsi ni endroit ni envers... Après, et seulement après, pour vous "soulager" de ce labeur féminin, vous vous autorisez la (re) lecture Camusienne de l' Envers et l' Endroit, c q f d... pour vos loisirs... d'hiver/été...
Ca va primer le reste !
Entre Soutine et Modigliani : Les chants d'un mal d'aurore !
Leurs Arts...spiritualisés.
Tout change tout le temps ; avis d’imaginer subtil -
Stabilité perceptible à l’énergie alliée à la conscience d’être
Unicité parmi la multiplicité
Seul cap : - volonté, discipline.
(à travers et par-delà nos cinq sens plus un, impuissants)
Zones en l’état : base des connaissances ; douces heures de la douceur
du Vivant ;
De facto : - accueil du bien-être au coeur de nos mal-être.
La peur, ça pèse !
S’apaise l’attentif ;
ça prouve à l’affectif
d’aucune fadaise
au diocèse !
Dans le pain d'épices et le cassis aussi
Dans la moutarde à moins de soucis
Le dijonnais fait par-à-dits
-. Source d'apaisement en les hémisphères (cervicaux)
Cela est comme ça
Rien n’est autrement
que ce qui est là -
Toute lumière dorée fait scintiller et mosaïques et tombeaux, tuiles lapis de toutes coupoles lazulis, medersas brodés de faïence bleue, à vieille âme tienne ayant visité Samarcande par télépathie...déambulant sur l'ancienne route de la Soie, fils d'or, d'argent, tissus colorés.
Une écharpe au vent claque au bazar central.
Le Scribe, haut perché au minaret, écrit dans l'air empli d'arômes et d'épices du Régistan, la place centrale.
Scribo, l'appelle-t-on, Scribo !.. d'une medersas (ancienne école religieuse des XVème/XVIIème), Scribo, un mot !..
- Lequel veux-tu que je te calligraphie ?
- En vert flamboyant doré, écris-moi donc ... le mot D i e u..
- AH , pour cela, partez au sud, vous escaladerez les montagnes d'Aman Kutan... Vous l'y rencontrerez sûrement..
En Automne, vers Octobre, une lumière illumine les faïences bleues des bâtiments comme de petits ciels perchés à vue d'œil, à main d'homme, dans la ville.. Scribo, scribo !... s'entend-il souvent du haut-minaret, Scribo !... Ecris-nous le Nom de Dieu en bon calligraphe que tu es, Scribo !
Le puits où l'on tire souvent a l'eau la plus claire (proverbe hébreu)