Le blog de Saint-Songe

A Jeunesse fort solitaire, et silencieuse, écoutai souvent cet Arte Dell' Arco de Cimaro (sa)

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C'est cela.

Shakespeare l'en confirma : " Nous sommes faits de l'étoffe de nos songes"

Proust-enfant attendait que sa mère-fétiche vienne le "border", "l'entourer" de câlin-bisou du soir, " l’envelopper" d'une présence rassurante - pour "prolonger" à satiété sa nuit qui , une fois, devint blanche (ses futurs feuillets pour écrire tout ces Temps-perdu/retrouvé) à cet instant précis où sa mère manqua à son devoir-fétiche, une "croyance" qui nous ramènerait à savoir/croire en ce que la Horde (sauvage) panique seulement après avoir "tué" (ravagé ; saccagé) tout le Corpus Christi du Père-Loi afin de s'accaparer de ses pouvoirs culturel et psycho-sexuel ; en 1907, d'avoir écrit "actes obsédants et exercices religieux" dits compulsionnels, Freud nous "place" devant le Temple (pro-fanum) jusqu'à nous amener à...La Loi du marché "pervers" dans sa fonction de nous rendre compulsifs à l'achat ; pour le saisir et comprendre au mieux, il n'est que de revisionner Le Dominium Mundi, l'Empire du Management (Pierre Legendre) https://youtu.be/EyMB8R-qN9Q ; quel autre Totem (moins "père" version) nous relierait-il mieux au divin de l'Etre- soi (Logos, aidant ), sans tabou aucun si, tel Freud , on n'ose croire à un esprit supérieur, si tel à l'aveu Nietzschéen, Dieu serait (réellement ?) mort....avec son "signifiant" phallique fétichiste ... Freud écrivant à Ferenczi (avec qui, d'ailleurs, jusqu'au début de la seconde guerre mondiale, il allait cueillir des champignons, le dimanche)...: "l'ultime fondement des religions, c'est la détresse infantile de l'homme" - qui le pousse donc à croire tout et n'importe quoi, se "masquant" devant la peur de mourir, illico presto ...? Ouf, le corona ne s'attrape pas par l'oreille, jouissons d'une écoute un peu plus sérieuse !

Manque l'éclat à chaque fois, chaque jour, sauf de lire Emerson ou Thoreau, jusqu'au départ final...Ö pied grec, Sibiril 

Cela va de soi, rien ne s'ébruitera... !

- Quoi faire ?

Gagner le réel brutal et abrupt de la réalité à une réalité, certes virtuelle, mais plus douce, à gagner l'espace d' Internet où il nous faut un Tchat-dial répété comme échange et change en guise de monnaie sonnante (un signal vous avertit d'un hululement de chouette que quelqu'un vous sollicite en dialogue) et trébuchante (un clic de souris suffit à vous blacklister, vous expédier en l'autre monde, celui de l'oubli, de l'indifférence totale, de l'abject-infect objet inutile et non plus sujet " x ",  érotisé/érotique), et l'inévitable déchéance de son petit soi après la disparition du grand Ego-roi !, .. Sensible prix à payer pour exister en-corps ça et là, couci-couça.

Là.

Ici, quelque personne sera dans son épais brouillard, et par ailleurs, cet autre, sous un soleil puissant, dès le petit jour, et ça, le lendemain d'un désastreux jour de pluie diluvienne qui emporta toute la ""vie matérielle" d'un village de montagne, soit donc :

- la vie était trop compliquée pour qu’on puisse jamais connaître à l’avance les conséquences d’un événement, aussi bon ou mauvais qu’il puisse paraître a priori., philosophera un tel se prenant pour Thoreau, mais à juste titre médical !

Afin de pouvoir rafraîchir votre mémoire et continuer sur votre page, veuillez répondre que, vous n'êtes pas un robot (coche en vert), et, combien font 4 + 3 ?...

Si par amusement sauvage, il vous plairait de batifoler contradictoire un....8  , j'ai 8 ans !

Vous voilà expulsé de ce monde vir-tu- EL... !

Vers où, de quel côté du ciel :  l’épanouissement ? Ai-je été aussi floué que Beauvoir où la vieillesse la prend en pleine figure, lorsque son amant la délaisse pour une plus jeune qu'elle, en la décennie 70.

- tiens... Le part-à-dits "perdu", revenu de si proche ?