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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 23:00

MEHIEL.JPG

mains-du-voyant.jpg

Espace Jungien

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 23:00

En cours de scolarité, cette déclaration doit être effectuée dans la quinzaine qui suit le retrait de l'élève artiste du monde des réalités brutes, lequel se retranche du monde moderne pour un laps de contre-attitudes de syndrôme maniaco-dépressif notable dit "bipolarité" Hugolienne, les ténèbreuses cavités mnémorielles.

 

 

 

 

contre-attitudes.JPG Ta peur ne se manifeste qu'au moment où tu te trouves en désaccord avec.... toi-même, ton pire ennemi.

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 23:00

probable-hysterie.JPG

 

PARCS D' EXERCICES MENTAUX

 

-  C'est tout de même curieux que ceux qui ne lisent jamais pensent avoir raison sur toute la ligne !...

Les désordres et désastres mentaux proviennent des priorités très confuses de vouloir à tout prix changer les choses, même immuables, et d'avoir stupidement raison de posséder les signes extérieurs de richesse quand les vrais marginaux n'existent que par eux-mêmes, sans faire montre de tous les matériels et objets qu'ils devraient avoir en "leur possession", sachant qu'on ne possède rien en ce bas-monde ; seul, le silence intérieur prévaut, c'est de savoir aussi qu'il est plus facile de briser un caillou qu'un préjugé !...

 

Astres

que je vois dans l'orage

Fols éclairs dans mes yeux

 

Nul lieu d'immensité

que la nuit

sans rien connaître des feux

follets

- Répons

au plus haut des voix de l'Univers

 

D'origine mental

Les Exercices du Devoir

de la Béatitude

 

Je suis enclos

Solitude déchirée

dans les jeux sexuels

 

Minuties dans le purgatoire

Le secret lunaire valait mille asymétries profanes

Un jour à l'hystérique mémoire

 

Animal-Dieu en partie d'échecs

Mélancolique quelqu'un qui se prend aux choses des mots secs

- Héritage d'un mat incommode

 

Entrez mots affamés

Nous vous promènerons

Prostitués du bien-dire

à penser le juste ciel

(L ' approprié !)

 

Le vent souffle depuis plusieurs heures

Saintes heures au clocher tintinnabulant

que le vent transporte par les champs des toits

d'anciennes demeures et de neuves chaumières

Les masses sombres s'alourdissent à plusieurs

juste avant les premiers temps à l'état de bribes

 

- Qui a mis le feu à la maison ?

- C'est la foudre.

Et cet éclair d'esprit qui s'enfuit en zigzaguant

- C'est le feulement, le feulement igné, le feulement du feu,

à flammes déposées aux parois des pensées,

Le plus ivre du ciel, une furie, le feulement de la furie.

 

O DIEU, calme mon coeur, apaise mon esprit !...

Aurait-il bu - la veille - tous les soleils de l'aube

(pour sûr, et bien plus d'un !)

Combien autant qu'il y a de jours qui ne s'éveillent

sans plus de peur que de crainte

moins que mieux de douleur empesée

de poix

sous la pesanteur des solitudes...

Ai-je tout dit, tout vu, tout entendu, tout perçu, tout écrit, ai-je tout lu ?

- Non.

RIEN.

  RAY-FROSIO.jpgRAY F.

Par-delà les tonnelles, plus au loin des abbayes, au-delà des auberges,

plus loin encore que ces quelques mille lieues du lieu-ci où j'écris

dans l'espace étrangement étroit de ma chambre Treiz an Douric,

j'entends encore les rires enfantins d'un fabuleux soleil

qui gicle sur le châssis de ma fenêtre entrebâillée,

j'entends encore l'aube qui m'appelle

" Lève-toi, et marche, va, demande et attends !..."

 

J'entends surtout dans le désert de mon lit bleu hennir les chevaux de mes défaites

Et le temps vient de trépasser avec

avant même que je ne me sois levé.

 

Ouvrir les rideaux des paupières n'est pas si simple qu'on ne le peut supposer

ouvrir l'oeil supplante à l'heure première la mémoire des rêves manuélisés

Alors je me retrouve dans la vie en négatif

- Il n'y a plus d'amour après l'amour du jour positif !... ZEN BOUGIE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

                                                                        

                                             BOUGIE ZEN / ......................................................

 

Stefan Zweig  stipule que :

Le plus bel achèvement d’un individu est celui de sa liberté intérieure.
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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 23:00

 

L' ECRITURE A TOUJOURS ETE NUE........................................................................................................................losange-de-l-ange.JPG

 

Etre contesté, c'est être constaté (Victor Hugo).

Géhenne de "x" + Haine de Y diffère du Zéro haine (la haine supérieure au doublon yang + yin quand celle-ci symbolise à l'infini l'égal du LOSANGE DE L'ANGE (une petite aile parallélépipédique sur l'épaule du G..enre)..., soit :

 

Chemin vers le ciel, c'est L ' ADEVNUE.

 

BOUDDHA-BULLE.jpg

 

 

BOUDDHA BULLE ?

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 23:00

masque-du-cri.JPG

LE MASQUE DU CRI DU CORPS REDUIT

TENU PAR LE FIL DU RECIT

INTERIEUR D'AUTOTOMIE

QUI PORTE AILLEURS

LA VIE

AMPUTEE

LA VIE QUI SAIT

NE SENTANT RIEN

QUE L' EXIL DE SOI

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 23:00

INSTRUCTION-EN-FAMILLE.JPG

 

 

Chacun apporte "sa parole" , alors il y a trop de paroles, trop de médire, c'est le calme serein du silence intérieur qu'il convient d'atteindre en profondeur afin de gagner LA LUMIERE la plus haute. On dit trop de choses qui ne sont pas notre "vrai langage", mais du mimétisme d'écho, de nouvelles apportées, de sentences et de faux jugements, on ne sait pas encore parler vrai, non, pas encore.... Le foetus, lui, avait son vrai langage. Oui. Le foetus. Il convient de retrouver le langage subtil du foetus. Afin de savoir mieux entre nous communiquer au mieux, au plus juste (au plus approprié), car - à défaut -, on ne fait que redire, rabâcher, remugler... les mêmes idées depuis la nuit des temps, occultes et visibles. Le silence intérieur est le lac d'où surgit la paix notoire.  Le Foetus contient le contour de tous nos secrets (familiaux et intra-transgénérationnels)... B.

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 11:16

Retour à CAMUS, et la nuit - Voilà..que le soir finit...CAMUS, L'été, en automne, relu.

le-clown.JPGle-clown2.JPG

IL N'Y A

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AUCUN TRAUMA

A LA NAISSANCE

C ' EST APRES

QUE TOUS LES

MALENTENDUS

NAISSENT

(alors, on fait le clown,

afin qu'ils disparaissent)....

                                                        (Instruit en enfant de choeur, je commets désormais mes propres "exercices spirituels" - La vie selon l'Esprit de sagesse, purification de tout l'être par l'attention aux sept vertus bouddhistes jusqu'à la Kosméséis - mises en ordre de l'âme - sur Le chemin initiatique de soi. 

                                                          Tel est le principe fondamental : - " "N'oublie pas de vivre" (Nature et simplicité) ; l'illustre Vivre, une tâche après l'autre, et selon, sans omettre toute l'attention donnée à la Nature, levant la tête au ciel.. Tous les étangs à voir derrière le long paravent de pierres qui borde la plage de Penhors jusqu'au Menhir des droits de l'Homme, et au-delà encore, tous les lieux déserts en désertiques replis de la contrée (une maison perdue au bout des chemins creux, vers Pouldreuzic...), pour revenir à l'instant précis de là même où je me trouve en cette vie (et non ailleurs, trop préoccupé de pensées autres, pour loger autrement, et ailleurs)... C'est en moi sagesse antique que de me dire : "N'oublie pas de vivre"...  Chaque jour, en tout moment, appliquer de nouveau ce principe, ce précepte des Anciens, pour adoucir et améliorer le Nouveau...  en ma chair... ressenti. "N'oublie pas de vivre"...  Quelle que soit la douleur qui puisse m'assaillir, je l'applique à mon "vescu" (vécu)... )

                                                          Rêve à la Montaigne : "Je n'ay rien faict d'aujourd'huy" (Essai, livre III, de l'utile de l'honneste)... , sauf d'écrire :

                                                          Silhouette aurorale -

 

                                                           Douceur pureté

                                                                    Je dirai

Les nuages

Jours sur feuillets

emplumés

Chemin faisant des Portraitures °

Reprendre souffle et silence

pour la parole sur cahiers

Effeuillés

L'aube y serait ivre d'étoiles

Je dirai

Pure douceur de l'air

hors de la lumière

Or de l'ombre noire

C'est la nuit

Je dirai

C'est la nuit

Que le soleil oeuvre le jour

Je dirai

OUI - C'est la nuit qui sculpte L'Amour Vrai !

Je

Je dirai

Telle poix d'ivoire de l'Univers (en moi)

Et le nacre de l'air

Et le nacre de l'air

 

                                             (Misère angoisse et mal-être non reconnaissance accablent l'homme en son entier depuis des Lustres, simples gens et gens illustres, uniquement parce qu'ils "s'ignorent"...et "oublient de vivre"......)

 

Aucun savoir "vrai"

ne guérit

Quiconque suspend

ses pensées

s'il oublie

de vivre

Chacun manquera

L' ataraxie

(aucun trouble)

Le minima à faire

rencontre souvent

le maxima d'obstacles

Ne reproduit pas

ce que fait ou ce que pense

le voisin : - Vis !...

Mange, bois, dors, jouis,

parle ainsi que tu veux,

mais que cela soit TA VIE.

Vis TA VIE...

("personne ne la vivra à ta place")...

 

 

° PORTRAITURES /  Titre d'un carnet "blanc" (cadeau de Jeanne).. maculé de mes dessins, du 1er au 17 Septembre, que je placerai en décembre ici, sans doute..., puiqu'aucun éditeur n'en voudra (prévoyance et lucidité)... - B - 

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 23:00

A-CONTRE-COURANT.JPG

 

Réflexion émotionnelle de la réverbération d'un écho d'un cri...

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 23:00

Instruction-en-famille-2.JPG

 

Quand le Fleuve avalera  les amonts des grand'villes

amarrées à leurs rives

Si n'a vu le ciel le penseur des marées

Il n'est que boue qui dévale et qui touche les ports de ses propres pensées

Le penseur des Nuées n'y pensera plus

 

Quand le Fleuve aura des Pouvoirs de la Vie

dépouillé tout mystère animal et humain

Il n'est que de vous-même un envol de voiles au registre de L ' UN

si seul n'a vu le ciel

Son infini n'est pas

 

Quand le Fleuve avalera les monts et amonts des grand'villes

Ligne pour aucun peintre

Mot pour désert L ' Écrivain

Éclats purs pour poète éperdu

Langue pour langueur d'ici-bas

Ouvrage de bois pour fin de ciel

sera

 

Car le point le plus beau

est la rencontre de deux forces opposées

L' HainAmour (amour haine qui n'est qu' amour refoulé)

Quand le Fleuve avalera les amonts des mots tendres

de toutes rives

 

Juste son d'écoulis

Épître d' Estuaires

jusqu'au bleu musical

Dans le Crâne entrouvert

Élixirs pour ennuis

Quand le Fleuve avalera les amonts de nos nuits

 

Quand La Vie gagnera les marées humaines s'ôteront

Dans ce bleu musical tout pareil au grand ciel de fonds

qui calme le sommeil dans le vide obscur théralènisé

Quand le Fleuve avalera les avals et amonts de nos vies de suppliciés

 

ALORS LE MONDE S'OUVRIRA DEVANT NOUS LUMINEUX GRANDIOSE

ET LUMINEUX....

                                 DEVANT NOS YEUX OUVERTS POUR L ' ETERNITE.....

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 12:55

 

 

 

Portrait-98.JPG

Quelque part du côté de Cap Coz, 11/08/98,

à la réflexion vive -

 

L' automne, l'automne, sans écho,

s'est rappelé à l'été de cette même grisaille

de ciel sur photo,

et là, parmi les coquelicots

de mon poème par-delà la mer

au fond sans dahlias ni vendange

sans falbalas ni d'ailes d'ange

Le sable vêtu sous le ciel gris, sous le ciel sombre,

Le rêve rumine avec les corbeaux d'hiver

qui lentement paraissent depuis la vallée

chauve-souris à tard et tôt de mon souvenir

aux ailes épaisses d'ombre

et la saison du foyer

la saison dure

après souper

où je fus invité

dans la soirée fumeuse ici

où nul ne me raconte les histoires

de cette journée passée

sinon la même revenante

si douce si lente si paisiblement légère

telle un rouet qui tourne ses contes pour l'hiver

dans le froid des ténèbres

de l'âme éternelle

où les fantômes des trisaïeules

se racontent

à rire et à avoir peur

jusqu'à Noël et jusqu'à Pâques fleurie

qui chatouille l'esprit épanoui

qui lit la Bible

puis le monde reprend

au fantôme blanc

à gnome pour grillon-fée

Les sylphes parmi les farfadets

me parlent alors des esprits qui

nous gouvernent sans nom

si bien intelligents

que je n'en reviens pas

Une bête se réveille et rugit

dans le fond de l'âme

Il y a toujours des noirceurs

en notre muette coquetterie

qui rougit

Le vent ronfle La pluie

neige

qui se métamorphose

appesantie

On ne travaille plus

On rêve

Mi-nuit sonne

dans le jour qui tourne

et qui range nos linceuls

La mer repose près du pays

endormi

Prière à l'unisson

Ö calme du Cap Coz

des voisines parties

Sainte simplicité

Refrain des contes

cités

au rire franc des enfants

L'opéra du Monde

reprend à mon souvenir

 

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