Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 05:18

 

Syndicats  finis, PS / PC annulés, faire quelque chose, et disparaître, le sac à dos sur les épaules, ainsi que Cocteau redeviendrait le faune, Ambassadeur "actuel" écolo-féministe-intermondialiste d'une

Poésie Collective à laquelle j'adhérerais...

Poète invisible, ne change rien à ta manière d'être !..  Négocier avec l'intellectuel collectif, cela est quelque chose qui  se fait , jour à jour..., d'une calme anarchie.  Soyons les vainqueurs de demain !!!
Dénouons les canevas compliqués du tout-un-chacun !

Partager cet article
Repost0
17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 22:00

Tu reparus, dès lors, de la fortune au coeur,
de la Sainte Cité, l'appel reprend son bel essor,
à mon front ceint depuis par ce brûlant honneur ;

tu fais bien d'avoir fait tout l'effort que l'on fait
lorsqu'à vouloir bien faire on se méprend de rien,
sans préjugé ni honte, à ce que grâce honore ;

et tu fais, dans l'effet, tout l'effort que je fis,
en pensée, à vouloir sans aveu (vouloir que tu le fis)
car pour les Justes rien n'est fait sinon pour les impies !

Nous ne sommes riches que par l'âme, mon ami...

Partager cet article
Repost0
15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 22:01

Partager cet article
Repost0
14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 23:51

L'argent doit être un bon serviteur, non un mauvais maître.

Euripide :
"Les riches ne peuvent acheter le privilège de mourir vieux."

Proverbe indien :
"Quand le dernier arbre sera abattu,
la dernière rivière empoisonnée,
le dernier poisson pêché,
alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas."

L'Ecclésiaste  (1-3) :
"Quel profit y-a-t-il pour l'homme en tout son travail °
auquel il travaille sous le soleil ?"
                          (5-9) :
Vanité des richesses, jouir de la vie :
"Qui aime l'argent ne se rassasie pas d'argent,
qui aime les richesses n'en tire aucun profit.
CELA est aussi vanité."



° Variante : "quel profit pour l'homme dans toute la peine dont il peine sous le soleil ?"
(LE profit ne correspondant à RIEN , par rapport à l'effort déployé.
Tout labeur amène peine.
Tout labeur harassant, épuisant et pénible.
Celui qui délie et aliène, plus que tâche passionnante qui relie enrichissant l'esprit.)

NB / L'argent : sujet encore tabou en France quand en Angleterre, c'est  le sexe.

Partager cet article
Repost0
14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 22:00


Es-offrandes à la voix, les paroles nocturnes du rêve...
Jamais d' yeux sans toi !
Jamais Dieu sans céleste toit !

Isis soudoie Rè pour voler l'or du secret solaire !
L'envieux est l'ennemi du lien...

Hécate a son reflet dans le sombre de la nuit
(Horus aurait dit tous ses calembours pour nos sarco-phrases !)

- A mon vent caché de l'esprit d'Amon
conçu voyageur tel Khonsou
(Dieu lunaire),
Je dédie ce poème
tel qu'on saoule l'esprit du lecteur :

- Qui redonne la vie ramène à la Vie
à la vue du Corps comme au su du Nom
sur qui le coeur a prise
dans l'ombre de nos "mondes inférieurs"
par l'énergie de l'âme (le Ka de notre cas
et le b-a-ba du Ba, souffle de l'esprit du corps)
Le cabas de l' Akh
(esprit transformé de l'Ank, lac de notre être éternel
embaumé dans le Beau mot
de Mort
"La mort est un jour qui vaut d'être vécu" - dialogue Koan ;
Première étape de l'homme qui rêve à l'au-delà) ;
tenez, il fait gris encore, faut-il pleurer le Soleil mort ?
Non, nous le savons bien là, quoi que ne le voyant plus !
Touriste au Douat, un peu de doigté spirituel, souriez :
au domaine des défunts, le cycle du soleil durant la nuit
(Douat)
est  Le scarabée ailé du scarabée de votre coeur fermé,
ouvrez ses ailes, c'est un aide-mémoire pour tout mort
dont le but est d'atteindre le champ des calembours,
nuit des mots...

Noun Noun Aleph Aleph Named

Partager cet article
Repost0
14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 01:13




Partager cet article
Repost0
13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 23:23

"Les jalousies passent et les oeuvres restent" souligné-je , ici, passant dans ce café, lieu mythique du Poète qui se demandait aussi : " qu'est-ce que la Poésie auprès de la vraie douleur ?"

"E'  Ancora possibile la poesia ?"...

Y ai mangé, avant-hier, en terrasse :
Lieu noir aux Lardons
(La charcuterie se marie bien avec le poisson),
y ai mangé, solo, de guerre lasse !

Un café du bord de l'Odet où roucoule son passé
dans les eaux des marées atlantiques
qui traversent la ville avant de la quitter
par le Steir confluent non moins sympathique
où l'on venait décharger tout le vin Bordelais
du Temps jadis où le Poète écrivit son Esthétique
avec la poitrine des grands esprits Lorca Pouchkine 
et d'autres Tauler (grand mystique)...

Précédée d'une sculpture de  La Grand'Cour en  TRESSAINT
(Foyer de Charité de DINAN) :
Enveloppe nominative personnalisée en rue Grivart, 19 (3-18),
Là : 29100 Douar - an - Enez ;
1er Jour Max Jacob 1876-1944, estampillée le 22 Juillet 1976
(Année caniculaire)

Partager cet article
Repost0
13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 23:00

Il n'y a pas lieu de ressembler aux autres, l'immortalité de l'âme nous est propre.
Unique en sa chacune.
Chaconne de camarde : le besoin de contacts est une co-dépendance, le neutre fait office d'universalité.
Les Enfers sont en nos inaccomplissements regrettés, qu'il convient de dépasser pour atteindre le Paradis à grand-peine gagné, le coeur de l'autre, peu son esprit puisqu'il lui appartient en propre, et guère plus son âme, qui m'apparaît être toute l'eau du corps qui s'écoulera, par le dernier souffle donné.
Tel un reflux de grande marée, le corps s'évide et se vide, qu'on recouvrira de terre après lui avoir jeté les dernières fleurs sur son dernier  transport, le cercueil de celui qu'on n'a pas brûlé, incinéré.
Voilà, l'âme est la mer qui se retire loin du rivage corporel, charnelle douleur pulsative quand il est lourd à porter, feu de toutes les colères, quand le foyer de la parole n'a su être mieux surveillé, attisé de toutes les jalousies restantes, cendres d'orgueil et de convoitise !
L'âme est une eau, elle s'évapore avec le corps qui a donné ce dernier souffle, râle posé, sans aise de l'amour.
Jouir de mourir d'extatique trans-port, sans rapport avec l'au-delà que celui d'être là, livré à l'inconnu, un espace d'entités vrillant comme un essaim d'escarbilles jamais éteint.
L'âme est l'eau, 70 % de nous-mêmes, part de notre corps qui tempête, qui s'emporte, à chaque tsunami de l'humeur indompté(e).
                                                                       L'âme est dans le vent  l'eau emportée
                                                                       Par le dernier souffle donné.


C'est ainsi que je loge au milieu des morts, par le nom de ma rue des Petites Eaux.
Les os cliquettent dans la nuit, d'autres danses macabres sont exécutées.
La mer n'est pas loin. Une impulsion universelle en toutes directions.
Ni feu qui s'éteint, ni air qui se disperse, ni sel qui se dilue, l'âme est  Eau  qui s'évapore avec le corps qui la libère ainsi qu'un barrage qui doit l'évacuer, ne pouvant plus la retenir, son souffle trop puissant demandant à partir, au souffle de l'haleine donné, en dernière heure.
Elle était "sang" pour Empédocle...

La trame harmonique d'une musique se coule en les intervalles porteurs de maintes combinaisons d'accords, le flot de l'âme s'entend entre les passages de nos humeurs, violents ou reposés, en dilemme ou en paix.
L'esprit suppose l'énergie ; à lourdeur, fatigue et lassitude ; à vivacité, joie de vivre ; à humeur égale, lenteur des mouvements. Toute notre âme est combinatoire de ces brassées d'humeurs et de jeux d'esprit.

Il faut être en accord, sur le même vibrato de la même onde, pour ainsi se faire rencontrer deux âmes qui s'ignorent.
L'une peut être celle d'un vivant, et l'autre, celle d'un mort...

Un taux vibratoire, pour s'élever d'un trop plein de passé sombre et lourd.
Habile enjeu ( en-je)  d'irrationnel et de rationnel, astucieuse pesée d'irréel et de réel.
Il faut amener loin sa parenthèse de vie selon ce dont on fait de "son temps" pour nourrir (ou non) l'âme.

Proverbe grec : "A chacun son métier".

L'âme du pays d'ici, c'est l'eau, et l'eau parmi les pierres granitiques.
En tout autre pays, il y a des veines de rus,des ruisseaux, des rivières, des confluents, des fleuves, des artères d'eau qui se jettent dans l'océan, et, au premier temps du ciel, Il planait sur les  "eaux"...
Des cascades... Des geysers aquatiques, des volcans de lave et d'eau figée qui se répondent en se répandant.
Point de terre sans cet élément ; point de corps, sans l'âme, son apport d'eau... La femme en perd, juste avant d'accoucher, et l'homme pleure, juste avant d'être père, pleure et sue sang et eau...

Nuages de pluie, poussés du vent, ce ciel du jour me parle d'une âme de poète en allé(e), samedi, une connaissance amie Douarneniste , Y. B.
Or, je dis par Ennius, et pour l'âme de l'ami disparu : 
                                                                     " Ne pleurez pas sur moi...
                                                  A quoi bon ? Je suis vivant car je vole de bouche en bouche..."

° / Ennius : "Poète épique et tragique (239 - 169), fondateur présumé de la poésie latine, auteur des Annales et du poème philosophique considéré comme perdu : Epicharme..."  Il inspira Lucrèce.


On parle encore de l'ami  en la cité... C'est vrai. C'est de la salive, une eau linguistique et langagière, aussi, l'âme...
 Ame, source de nos mouvances...et de nos clairvoyances.

De plus, que personne ne dise : " Fontaine, je ne boirai pas de ton eau..." (Cervantès)

 

 

Partager cet article
Repost0
13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 17:16

Les cygnes meurent joyeux

Entendez-vous leurs chants

dans le soleil couchant

Nul doux signe des yeux
n'est fait pour les méchants
qui hurlent en mourant

Partager cet article
Repost0
11 août 2009 2 11 /08 /août /2009 22:06






LES TAGS-GRAFFITIS SONT-ILS DE L'ART OU DU DISCOURS SILENCIEUX ?



CAR POURQUOI LES "PEINTRES" MODERNES SE CACHERAIENT-ILS EN CAMOUFLANT LEURS                                                                                                                                     VOIX ?
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Saint-Songe
  • : Journal Poético-Littéraire Spirituel
  • Contact

Recherche

Pages