Le blog de Saint-Songe

Multitude de nos imperfections, jusqu'aux abîmes comme dans le plus haut des cieux, au coeur de tous les Hommes....

"Je ne puis pas l'observer " en corps, cette endormie, dit la Parole qui répond aux Oeuvres, et, la Parole de l' Ermite...

Es-tu étranger à toi-même, tu dois "agir ainsi qu'à l'étranger à lui-même", et ne te tourmente pas par des cupidités, ne demande rien, ne murmure pas contre les autres âmes, belles ou non, "l'archer ne s'écarte pas du but auquel il vise"....

Pars du lieu bas de toi-même, pour t'élever au plus haut de ton âme, ton esprit sera satisfait ; vastes profondeurs de sagesse,

nul ne peut les voir, qui n'a pas purifié ni sanctifié l'océan subtil de son coeur....

Imperceptible essence, tout est dérobé à la nature de nos regards, or, dans le chapitre de cette vie-ci, le général et le particulier se rejoignent dans une suite de bonheurs auprès de notre nature endormie....

Constance dans le plus haut degré de l'Amour subtil et caché.

En ciel de Soi, y a-t-il quelqu'un d'autre, ou nombreux autres ? MAGNIFICAT ADN....

Il ne faut pas être un directeur de la science du Vivant pour savoir qu'il n'y a pas de traçabilité génétique possible vu que :

- foetus, corps étranger pensé ici, conçu là-bas, né (difficilement ou non) ailleurs, élevé plus loin, éduqué par d'autres en d'autres multiples endroits, vivant nulle part ou exilé en lieux lointains, quel corps-texte de vie nous détermine bien ?... Même une pomme peut venir d'un jardin hollandais au pays de la Tulipe, vendu sur Rungis ?.. Et ces poires Conférence venues d'Afrique du Sud qui viennent séduire les étals les plus retirés de la Bretagne rurale ?.. Que dire de :

 "la jonction entre deux plissements, ou sillons, du cortex : le sillon temporal supérieur et le sillon angulaire (dessin droit ici). Plus précisément, par rapport aux sujets sains, on constate que pour le groupe qui entend des voix à l'extérieur de la tête (en l'image gauche de ce même dessin  la jonction est significativement déplacée en avant du cerveau (par l'imagination d'un sein ; en bas, à droite, ici), et pour ceux percevant des voix à l'intérieur de leur tête  : la jonction est déplacée significativement en arrière du cerveau - pensant à plus d'une image !
 Ainsi donc, la jonction entre deux plissements, ou sillons, du cortex : le sillon temporal supérieur et le sillon angulaire (image de droite). Plus précisément, par rapport aux sujets sains, on constate que pour le groupe qui entend des voix à l'extérieur de la tête (côté gauche du dessin, à dessein) la jonction est significativement déplacée en avant du cerveau, et pour ceux percevant des voix à l'intérieur de leur tête (en vous peut-être ?), la jonction est déplacée significativement en arrière du cerveau."

Bon, un lien de démonstration n'est plus actif.Cerveau éteint...........Ca va bien, et la journée avec ?... D'où naissent nos voix ?

Atteindre la vacuité du vide sidéral par autosuggestion, l'esprit d'un Moine Zen, au demeurant, capté...par rêves prémonitoires et visionnaires, à la réception des messages vocaux transmis par les esprits de la Nuit...des Temps.

Le vide mental ouvre sur le monde astral.

Au corps qui se dénoue, mon autre se relâche, dans l'accalmie la plus douce, je suis bien...

Mon corps à l'inertie se vide d'énergie, je suis calme, détendu, au-delà, je suis bien...

De plus en plus calme, et de moins en moins corps, je m'autodédouble à l'avenant... Je suis bien.

La mélopée mentale forge mon inconscient jusqu'à la totale détente, je suis bien...

Je décontracte le physique de l'Univers, par mon corps reposé, détendu, bien....

Je laisse mes pensées aller-venir, vagabonder dans l'espace où je suis, quasi sans corps, bien...

Sur ma nuque le masque du médium guérisseur touche le regard des esprits visiteurs, tout est bien.

Des rêves parlant se manifestent à ma mémoire, l'autre matin, au réveil, je conversai avec ...Théophile Gauthier.

Bien !

Ma demoiselle de Mots Peints écrivait ses mots doux...

Bien !

Par la pensée, je dessine aussi tout ce qui se déplace, autour de mes mains...

Bien !

Ne faîtes plus l'étonné, si vous me voyez chez vous, l'espace d'un petit moment, le matin....

 Beaucoup d'ombre pour peu de Joie

au tréfonds de soi

La lumière foudroie

Le monde endormi

Clair de soleil

Lune enfuie

aux confins des cieux

Mais dans tes yeux

La lueur de l'amour

TRIOMPHE DE PAN / NICOLAS POUSSIN NOUS DONNE-T-IL A VOIR UN PAN DE LA SOCIETE IDEALE ?..........

Mystérieusement,

sorti des linges affaissés, de quel "patabilum" nous libères-tu ?

Ciel d'orage sur l'amer de la mer sans rien que les éclairs indus,

aux heures déraisonnables qui questionnent maladivement le Temps visité par le Bonheur d'être là,

lumineux, vif, et non moins que l'esprit, source d'apaisement.

Entier dans le Temps.

Redécouvert dans l' Amour (de tous les temps).

Et, pour l'Amour de l'amour, divinement, ne cherche pas

Le Visage de la Contemplation : Il se chuchote.

La voix basse, tu L'aimes, sans convenance ; la foi promet.

Qu'est-ce qu'un peu de laitance sur beaucoup de domaines ?

Semences de l'oubli, qu'un peu d'azur meilleur.

Les oiseaux sifflent après l'orage.

Le soleil se lève. Il ne t'est rien demandé, que de semer les prières du Renouveau.

Buée sur les carreaux qui pleurent.

Ce n'est ni tard. Ni tôt.

C'est mêmement le présent immédiat dans le maintenant : Là.

Demeure inoubliable

- Même en voyant, rien ne se voit

Que La Parole, qui vient de si loin.

Nous l'écoutons, redite de nos "déserts", la vague et l'écume viennent d'un ciel reposé.

NB/ L'entracte des visages humains, pour colette, il était son préféré entre deux scènes théâtrales ; le visage humain a été mon beau paysage, disait-elle, l'écrivaine qui cherchait toujours à renaître pour ne jamais vieillir, vénérant l'éclosion des bourgeons, des êtres et des choses, de "la naissance du jour"...., partout où son oeil se posait dans le silence qui prévalait sur la parole...