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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 22:00

M2-copie-1.JPG

Dans la brume au fait d'une violence,

L ' effroi de Marie -

Au fin fond d'une forêt d'arrogance,

au coeur d'une Folie...

 

Alors la Trés Sainte Vierge t 'apparaît

Les bras de bonté de charité

qui te protègent ainsi que les infirmes les éclopés les pestiférés les handicapés

 

Elle est la santé des malades des souffrants et le refuge des pécheurs -

 

Son Nom se mêle à nos douleurs

Elle nous est asile en sa maternelle protection compatissante

Amende honorable faite aux coeurs véritables

qui fait le réel prix des choses

Vertu de charité qui regarde moins à la valeur du Don qu'à la pureté de l'intention

 

Résolution : Je ne ferai pas à autrui ce que je ne voudrais pas que l'on me fît à moi-meme

Bouquet spirituel : Marie, secours des croyants, priez pour nos insolences

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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 22:00

predelle-du-paradoxe.JPG

 

Bordures crépusculaires de l' Inconscient : l'invisible visible...

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12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 22:01

Il y a du divin dans le vide, et, rien que du divin.

C ' est le passage du rien qui aboutit à tout l'infini du ciel, bouddhéité du genre.

Ni mémoire ni projection ni imagination ni pensée ni désir ni attente ni affection ni trouble ni peur ni crainte ni pleur ni rire rien rien rien , Divin Vide. Le Sans-Nom, qui a tous les noms que vous voulez. C'est divin.

Vaste bleu du ciel de la pensée où pas un nuage n'accroche sa présence noire ou blanche....

Le vide est plein comme la Note bleue de musique. Soupir et son y sont sans y être.

Plus de par-être ni de paraître.

Prête à l'assonance toutes les vertus du silence.

C ' est le vide de ta vie qui soigne ta présence.

Ainsi que les déferlantes contiennent tout le calme de la mer.

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 22:00

Esprits dénoyautés des demandes obscures

 

Gluantes paroles.

Filaments d'embruns secs,

 

Positionne-toi devant l' Aube,

Semblable oiseau tranquille qui décoquille l'escargot,

l' arme au galet d'un chemin creux.

 

Dehors, Lenteur,

Séparément.

 

Seulement là, les voix pourtournent les silences...

 

Allier là, la vie,

Longues voix

 

Partage des voix,

Spirales.

 

Dehors, aussi long,

Dehors :

 

- L ' esprit s'ouvre,

Seule houle.

 

Voix pensives.

 

Fragilité minérale du silence éternel et polyphone.

 

- Qui nous envoûte ?

 

Buissons et branches m' assouplissent.

 

- Invoques-tu Maïlys que déjà tonne Gaïd,

Nul enfant ne nous trompe.

 

Grimeur d'espace boisé d'air pur,

veines de visages d'aspect vivant :

 

- C ' est à l'intérieur de Tout

                                                que sont les Choses...

 

 

________________________________________________________

 

Tout l'ensemble du recueil Lents Silences, écrit sur Douarnenez,

entre les 22 Mars et 1er Juin  1997

 

Présenté et refusé par les Editions L' Arbre à Paroles,  Maison de la Poésie d' Amay, le 9 Octobre 1997.

 

 

Sur mien Blog, ici, Paix à ses cendres, si je puis dire,....

 

 

 

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 22:00

m1.JPG

 

J'ai perdu la vie

J'ai gagné l'espace

Depuis dedans la forêt

où on m'y a laissé

meurtrie -

Une famille m'a récupérée

transie

m'a réchauffé

d'un : "Il faut te réveiller

de toi-même endormie....

Gagne l'autre espace

de la nouvelle vie !.."

 

 

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 22:00

- Rien n'immobilise tant,

comme le végétal que rien n'accroît.

 

Et rien n'accroît tant,

comme ce qui étouffe

d' un regard mal perçu à la main très mauvaise...

 

Occulte les Désélégances,

au nom de ce qui désempare.

 

Hume, ensuite, au sucré des sous-bois,

Le salé des étangs du Large.

 

Jusqu'à soudain,

La découverte des Bancs de la Réflexion.

 

Sous la chape aux frondaisons,

chaire d' écoute :

- Mieux qu'aux rosées, les pluies,

Les soleils frisant les âtres du vent.

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 22:00

J'ai gagné la Foi du Charbonnier :

 - Le Paranormal d'aujourd'hui sera le Normal de demain, la conscience est science de l'âme extérieure...

 

La Femme est un homme caché ; et, l'homme, une femme ratée.

 

L'arbre cellulaire niche dans la tête autant que les pieds s'y trouvent.

C'est la tête, le moteur du pas ; on marche d'abord, avec l'allant de sa pensée.

Sinon, vous restez, là, figé, ne bougeant pas.

A Quatre Hertz, le seuil de l'apaisement, le cerveau du méditatif, de la soeur en prière, du méditant yogi.

Le véhicule "terrestre" premier est une entité qui quitte notre simple enveloppe corporelle, la présence de notre vraie conscience s'envole depuis la fontanelle, sommet du crâne (notre petit "golgotha"), l'intelligence du coeur est l'écrin de Lumière où le diamant du savoir divin repose, en nous, dès la conception Une de l'ovule épousant la gamète élective..

La mort n'est pas le Néant, mais un esprit chaleureux  habitant un corps froid ; notre vécu n'est pas la vie.

L'outre-Vie est le Bonheur et la Joie d'exister sans concept ni formatage ni idéologie ni Loi ni Théories diverses ni Philosophies ni multiples Sagesses, la séparation est illusoire quand des sillons de petites bulles trans-lucides enveloppent notre enveloppe de perles de lumières qui sillonnent et tourbillonnent comme des bulles de savon fluorescentes qui serpentent autour de nous sans que nous en puissions intelligemment les voir, elles qui déjà nous protègent de toutes les intempéries modernes.

 

Notre Identité prend la fuite trans-cendantale. invocation.jpg

 

Songez simplement, ne fût-ce qu'un court moment, à l' Au-delà, que vous y êtes déjà (arrivé !)...

Vous avez alors "quitté" votre pensée de simple "roseau pensant" ; l' Homme est un animal un peu savant.

Il ne lui manque que la supra-intelligence comme la parole, aux animaux, pour connaître le secret des perceptions intenses...que masquent tous les bruits et les images du monde.

L' Humour, c'est l'amour - qui guérit - ainsi qu'on subodore "le rire médecin"...., des clowns qui vont faire rire dans les hôpitaux les enfants et les adultes en grande souffrance psy-physiologiques.

 

Dans l'expérience du Para-normal, on "change" de personnalité, pareil à cette petite seconde où, plongé dans vos pensées, une étincelle d'un autre événement ou d'une parole "x" entendue, vous fait vous "déplacer" de votre fixation d'un côté, pour laisser passer tout ce qui vous encombrait jusqu'à cet instant précis de "vivre" autrement, autre chose, totalement inouï (qui n'a jamais été ouï, entendu, perçu).... Alors, vous semblez être devenu autre, un court instant, pour vous replacer ensuite dans l'erreur de croire qu'il vous faut imiter ce que la société attend de voir en vous, de vous, sur vous, et rien que le mimétisme de ce qu'elle nous bombarde littéralement de fausses informations et images...

 

La mystique chamanique nous prouve qu'un monde de demain est déjà là.

 

Une simple balade en forêt vous rend para-normal, vous avez quitté la Cité mensongère où la résignation est toujours un "désespoir confirmé",  entrant dans la sublime Sphère de la Nature où la liberté nue est le construire de l'aisance quand la charité fait celle de la vraie Justice.

C ' est  L ' écoute subliminale dedans les fibres paranormales de quiconque se sent embrumé ou se trouve les idées peu claires, dans la brume :

 

ecoute.JPG 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 22:00

 

 

Écailles océanes qui filtrent les feuillages,

écailles et perles de bourgeons,

Le pas de plus qui te manquait,

Homme aux longues chaussures -  l-homme-aux-longues-chaussures.JPG

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 22:01

eau-foudre.JPG

Divulgue,

et ne dis pas

 

L ' esclandre de la Scandée.

 

Telle savante aux dômes verts

d'une élancée.

 

 

Chuintements d'accrocs d'écume,

et le pincement de l'air pituite

au grand réveil du creux des roches.

 

Eau - Foudre

(fluidité - Etonnement)

- cartouche en coloquinte sur les tympans -

 

 

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 22:00

Egalité sereine d'un lascis grâcieux de dunes...

 

Bâille.

Assimile la sourde grivèlerie des roulis grondeurs

par-devant la trille de l'oiseau du saule ;

Du sable juste au sable de tes langueurs,

bombe un torse sympathique, telle,

au plané des ombres lasses,

                                                      cette aile expiatoire

qui lézarde, à l'abri des roches cendrées.

 

Seulement là, détiens le repos du rocher voyeur.

 

Vieille tête de grès, en réflexion,

voilée de buis.

 

Grâce opposée au remarquable dénudé de givre.

 

Page blanche du bruit de l'air du rivage

à peine consommé de cris,

un rien menteur d' hirondelles,

et tout sommeil transversal isocèlise la vallée,

et quelconque arpent au reflet de quelqu' autre.

 

Plus vif soleil des coquelicots

L'éblouissement net de l'acier pâle des flots.

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