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10 février 2023 5 10 /02 /février /2023 08:09

Eole en les arbres nous évoque la profondeur du temps, les siècles ne semblent jamais passer dans les feuillaisons séculaires, millénaires parfois, le vent semble si pur que les arbres en rajeunissent d'autant ; le souffle de notre esprit en devrait faire autant, non ? Zébrures et stries en vert et jaune.

 L'idée vient à la surface de l'onde ... spirituelle, 
@Apport pictural, sans titre, Zao Wou Ki, 2000

ZAO WOU KI STREACK

Ici une bordée de variations en violet et vert de Whistler, mieux qu'injures de gris et volée de bois vert...

 

ZAO WOU KI STREACK

Ou, là, Hier, nocturne en bleu et argent (du même), Whistler adouba de Vinci quand il dit : "la passion intellectuelle met en fuite la sensibilité" - "la science est le capitaine, la pratique est le soldat" - Voilà !...En voici un résultat :

ZAO WOU KI STREACK
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8 février 2023 3 08 /02 /février /2023 19:45

Baudelaire eût dû titrer "Les pivoines" car pour Proust, elles étaient les "fleurs du mal"... à faire pousser en un coin de sa chambre... Sous quels cieux de quelles nuits eût-il ses "amants" mieux qu'un mystère sans indices ? Il nous plairait au cœur que de le ça-voir..., soutenue toute nue, cette jouissance-là... La nuit sans rêves nous poignarde... On y discute dès l'aube.... Le jour en-corps loin.... Que s'est-il bien passé derrière le mur de cette "chambre 43 de la Recherche, à découvrir un homme très pâle qui s'y cachait, qui s'adonnait à la prostitution"... Qui rôde, là, épingle de cravate en corail de chez Cartier, au bruit sur le pavé de Quimper du pas appuyé par une canne en peau de porc garnie d'une virole en or avec les initiales M.P...., aussi insolites que celles, curieuses, que l'auteur d'Albertine perdue et de la Recherche qui, lui, l'avait offerte par le Marquis d'Albufera, et qu'il n'a pas, l'autre, ce voyageur croisé ce matin, retour de chez le Poissonnier...? L'auteur couchait dans un lit de cuivre, pour assouvir sommeil léger, troublé de l'asthme et par besoins physiologiques... Et, celui-là qui laisse tomber sa petite pièce de un centime, à la "rechercher" sous l'étal...aux saumons, qui avait pelisse de Proust, pour se réchauffer de l'hiver ?...Hypothèse : - Il ira rôder du côté de l'Arcade, rue du Parc, au n° 11, qui est un autre hôtel Marigny (ancien temple de prostitution de Sodoma ouvert par un certain Albert Le Cuziat, du temps de Marcel...) On ne fait pas le détour du passé pour se rendre au présent, tout se mélange sans honte. On s'y engage...Il nous suffit de passer passerelle, après le contour de la gothique cathédrale, pesante Saint-Corentin... Etes-vous gêné ?...Non non monsieur, pressons le pas... ce matin... Gardons mesure, Place au Beurre, c'est par là... Directement, nous irons entre les âmes errantes....

L'harmonie des gens vaut mieux que tous ceux qui se donnent de l'importance sans art ni vie..., qui se la jouent, en ce siècle de "pornographie" , style : m'as-tu (bien) vu ? Le monde changerait même sans eux..., de toute façon..., ce dont ils ne croient pas, pensant jouer un rôle bien plus haut qu'ils ne sont qu'assis sur leurs culs, c q f d

 

Le crime de Sylvestre Bonnard ?
Quoi, de l'art ?
Non. C'est un Anatole France, que je viens de lire...
On y recherche "légende dorée" ?
C'est cela, le Manus Christus...
Et ?
On repense aux Choses de Pérec... Toute une "valeur" désuète à quoi on s'attache... Y a aussi un Prince russe en quête d'une "boîte d'allumettes" fort précieuse à ses yeux...
J'en ai plus souvenir...
C'est un crime, ça !
Peu après les maux/ mots, je remettai l'écrire, suite aux dessins (crobars que j'avais un peu délaissés), d'un autre Ex-il que celui de ma jeunesse où j'avais peu dessiné, écrit, quelque peu lu. Je rêvais trop. A retrouver l'allant, les mots se couchent mieux que péripatéciennes de passage. Allons-y, mes blancheurs, c'est l'heure !.. Le soleil n'était qu'une virgule d'or, au ciel du décor quimpérois. Rêveur devant tant de pages universelles, je ne composai aucune formulation à l'ancienne, ni alexandrin, rien. J'ânonnai l'écriture. A me sentir sans langage actuel, je réappris l'expérience des avant mises-en-pages. La sensation de la chair était de nouveau possible. L'enfance de l'Art, comme on dit....
- Vous croyez que ça m'irait bien ?
- Oh, oui...
- Combien ?
- 34, le soutif omeva velours...
- Eh hein, 34 euros, et ça...?
- Ce joli string lise charmel rose ?
- Oui...
- 79 euros...
- Ehoh...
- Quoi ?
- Je connais quelqu'une qui n'a rien de tout ça... C'est mieux tout nu, et...goûter clémentines pour la bonne mine...
- Mais, vous en aviez envie ?
- Euh.... J'en sais fichtre rien...
- En êtes-vous si sûr, monsieur, ici c'est boutique Lingerie Fine, pas mercerie...
- Ah oui ?... Pourquoi aviez- vous des clémentines, là, alors ?
- Parce que c'est .... pour...mon fond de teint...
- Ah tiens ?...
- Triste langage sans l'espoir d'être belle, monsieur...
- Oui oui, qu'on dit, qu'on dit...
- Je verse comme il pleut, larmes de pluie, monsieur...
- Ah oui ?..DOULEUR effraie tout coeur qui ne sait retrouver l'amour...
- Voilà.... Bien perçu... Alors, je vous mets la nuisette ?
- Combien ?
- 95 euros, monsieur..
- Ehla , eh là, je reviendrai...
- Comme bon vous semble...Galbe du sein, courbe épuisée, tout le rebord est dans l'Un des partages-baisers-caresses...
- Si vous le dites !... Et, gants flanelle, vous avez ?
- Pour la Saint-Valentin, j'attends arrivage...
- Je reviendrai, en ce cas...
- D'ici là, soyez sage !
- Bah tiens ! Les anges, avec...
 
Maurice Blanchot gloussa : "La réponse est le malheur de la question"
 
Petits lieus, raie, tacaud, araignées avant la "guillotine" du poissonnier... Poissons niés ?...
Alors, en congés la semaine prochaine, vous allez où ? A la neige ?
- Non, à l'horizon...
- Non, à l'horizon...? oui §
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Thomas Hart Benton
Susanna and the Elders
Oil and Tempera on Canvas
1938
 
Thomas Hart Benton
Susanna and the Elders
Oil and Tempera on Canvas
1938
 
 
PROSAÏQUE DE MOSAÏQUES

S'il dit en plus : 'c'est une volonté de nuire' , c'est qu'il parle pour lui-même qui en connaît l'effet... de "nuire" à nous, aux autres, etcoete-rats... Il n'y a qu'un voleur et menteur qui sait reconnaître son double, voleur-menteur, etc...

 

Embrasement de viol(ence) dans les quartiers populaires... On pensait derrière nous les pleurs... Non : - constamment, nous sommes des jouets d'une politique non franche, peu affranchie de l'Union Européenne, des marionnettes de "sujet" jugulé(es)... au joug de l'industrie des pesticides "affaires "... Bruits de bang, à nos portes de vies si paisibles... Dès l'aurore, le sang - non du soleil, mais de ces viol(ence)s-là... Sommes-nous nés de la sorte, à nous saper le bonheur, la santé (le silence des organes), le moral, la morale aussi, ou est-ce bien la société elle-même, non gendarmée ni policée (polprox ôtée par Sarkozy - police de proximité, aux oubliettes de toute Conciergerie ).... On fait du rentre dedans, à l'aveugle, et invité à exaspérer nos émotions négatives face à Marianne, seins nus maquillés du sang versé de toutes les victimes des attentats (nouvelle "terreur de 93")... et de celui de ces jeunesses bafouées des cités non apaisées, chaudes, une seule rue, ou un parc seul, séparant deux quartiers en bataille qui ne débattent plus ensemble... Le policier a confondu gode et matraque ? Il traverse le bois de ses aveuglements dans la forêt des guerres civiles, via ces viol(ence)s-là... Tiens, pourquoi la Justice ne nous regarde-t-elle plus ?... L'injustice à jouir d'elle-même, partout ! Sait-on que les morts gueulent encore... On n'a rien compris de nos aïeuls qu'une guerre "sale" et intense a ôté de leurs vies ?.. Préfère-t-on les climats fragiles ? Hé, ho !..
 

Toute "certitude" est "psychotique"...

 

 
 

Toute "certitude" est "psychotique"...Le Monde est variable. Mobile. Pas de "vérité"...à finalité personnelle (tout homme / femme politique ou ordinaire qui assure la détenir pour autrui nous ment...)

 

Si la cavité est non innervée alors où ça loge donc tout ça ?...
C'est pas ça qui au-père.../opère la Jouissance...
Quelle confidence la pluie donne-t-elle au vent,
toute la sainte journée elle a parlementé souvent ?
Si le soleil d'un grand Roy commence à pâlir
Ici la tempête donne de l'éclat de voix de stentor
Grand vent dans forte pluie bousculant le décor
Si le soleil royal fond saigne et menace de mourir
Quand les elfes me firent des effets
de leur grâce elles furent aussi lasses
que ma nuit
quand les elfes entrèrent dans ma vie
Elles surent quelle voix fut leurs reflets
dedans mon âme en suspens ouatée
insaisissable en mon cœur efficace -
En pleine nuit me suis réveillé d'un rêve dans le grand vent
D'un côté la nature de l'autre La Nature tout autant
Me suis alors demandé si j'étais devant.... Dieu
Des étoiles plein le ciel de mes tout petits yeux
qui avaient froids (quel effroi ?)... D'autres yeux
me fixaient tout autant -
En pleine nuit me suis réveillé d'un rêve éveillé
Ne serais-tu plus qu'un nuage de quelqu'un qui a été
petit nu d'homme, toi, dit une étrange voix
 
En pleine nuit dans le grand vent froid -
Quoi ?
Qu'est-ce ? Où donc étais-je avec moi ?
Puis l'image évanouie dedans ma tête formulait
tout ce que je fus d'un temps où jamais ne serais...
Quoi ?
Qu'est-ce que moi ?
Haendel in my sky ?..De petits bonds musicaux
me placèrent dedans une conscience auditive, tôt,
Oeuvre d'harmonium du cœur
chassant de sa nuit la ...frayeur !
De ma peur, mon estomac fut remué, et voilà...
Immédiatement chassé, le liquide effroi....
 
Comment la réforme de l'orthographe (pour les chères petites têtes, plus au fait des snapshots 😊 leur fera-t-elle écrire : - Aggregatibacter actinomycetemcomitans Bacterium actinomycetem comitans, ce bacille-là , donc ?
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8 février 2023 3 08 /02 /février /2023 10:54
Qu'est-ce t'as à (nous) dire ?..Dis-le, micro ouvert, donc ?

Au MICRO JONASZ :

 

Jardin de Pan, villa romaine
Peut être une image de arbre
 
 
 
 
Baume du TEA TIME SOUPIR DU TEEMPS
 
 
Fra Angelico sermon on the mount (style : restez unis plus que de vous déchirer ?)
Aucune description de photo disponible.
 
 
id° (autre pan de mur délabré, peinture sauvegardée)
Aucune description de photo disponible.
 
 
Fresque romaine (ou jardin avec fontaine)
Aucune description de photo disponible.
 
 
Coiffure : un euro de plus
(Alexandra : je fais très court ?
- No no, juste les mèches voilant les yeux
- Et l'arrière, comme d'habitude, ras la nuque ?
- No no, un euro de moins que d'habitude...
- Ah, bon, je n'y touche pas alors ?
- No no...Les œufs ont augmenté de deux euros (label rouge), la laverie automatique de cinquante centimes, de un euro, le chocolat noir fourré, d'autant les pâtes, le ciné, le ticket de bus, le Ouest-France (dix centimes d'agio, tel le Télégramme, ils se sont passés l'info du mot : tout augmente, allons-y...aussi)
- Ah bon, donc voilà, c'est tout pour la coupe ?
- Oui da, ça suffit, tout noctambule procrastine, adepte des afters...
- Et après, quoi ?
- Les émois...Troubles affectifs des tifs.. Adhésion au club des acclimatations... de son environnement !)
Peut être une image de 1 personne et intérieur
 
 
Bd f picture
- On me glorifie de la pin up du Zen
jouissant du naturel de ma Nature
à l'entonné du nid
(les plus sensibles risquent de s'y égarer
et de s'y perdre complétement)
Quelque chose en nous par la voie du Cri
cherche à pousser un ouf de soulagement !
 
Peut être une image de 1 personne
 
 
 
Dufy perso 3 / J'ai mon pass-port affiché pour la traversée de la Journée, sur un bateau Dufy Perso... La branche accroche la chevelure de la femme nue qui passe (dans mon rêve, tout du moins)onde Verselin
 

Aucune description de photo disponible.

Ce matin, Grande écoute / Didascalies de Ligeti , et là : Lux Aeterna

 

Qu'est-ce t'as à (nous) dire ?..Dis-le, micro ouvert, donc ?
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8 février 2023 3 08 /02 /février /2023 10:41
Le haut du rêve poétise
 
 
le bas du monde poétisé
 
 
(poème-dessin au matinal)
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
DUFY PERSO 1 / Rien ici pour retenir l'oiseau, la cage n'est pas là.
Aucune description de photo disponible.
 
 
DUFY PERSO LES MATINAUX, rituel en pointillés
Aucune description de photo disponible.
 
 
Maurice Denis - Spearhead of the Nabis Movement
Peut être une représentation artistique de 1 personne
 
 
On s'assoupit sur le seul devoir primordial : - le devoir de bonheur
(crédit pictural@Vermeer, une jeune fille assoupie)
Peut être une représentation artistique de 1 personne, position assise et intérieur
 
 
 
 
 

 
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7 février 2023 2 07 /02 /février /2023 22:45
LE SOLEIL PEINT
LE SOLEIL PEINT
LE SOLEIL PEINT

Ville en dedans Quimper jolie
une nuit fuyant mélancolie
fus gardien des remparts
alliance à tous beaux-arts
pris
Il n'en est de plus exquis
depuis
de ces gardiennages à l'envi
qui n'a de nom que l'innommé
ainsi que Dieu dans la Cité....
d' Ys !
Vous ne trouvez pas ça joli
De fuir ainsi mélancolie
d'un rien silence d'un doux regard ?.

LE SOLEIL PEINT
LE SOLEIL PEINT
LE SOLEIL PEINT

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5 février 2023 7 05 /02 /février /2023 13:21
soleil pin parasol sous ciel mauve

La Lumière est restée à l'intérieur des coeurs, fenêtres de l'âme ouvertes sur l'azur.

Sur le chemin de ronde où vont les promeneurs à la quête d'eux-mêmes, les premiers chants d'oiseaux s'animent au matin.

Je "n'est" plus rien, l' Humanité s'éveille, quelques neuf milliards de petits " Je " bientôt...qui s'ignorent.

Petits " Je " imprécis dans la Précision des " espace-Temps "...qui, eux, s'étirent jusqu'au bord de leurs infinis percés de trous noirs dans lesquels tout l' Univers s'engouffre.

 

Le virtuel répond aux échos réels des natures.... Rien ne se dénature...sur les eaux de l' Univers. Tout un ensemble fait le monde... Personne n'est seul (en définitive), tout le monde vit seul (en général). Accompagnés, nous ne sommes qu ' Un.

Que vous soyez sur le plus petit atoll Polynésien ou  perdu dans l'ennui campagnard-sur-Barse

Vont et viennent

Viennent et vont
sur la plaine
sur les monts
Nu-âges à l'horizon
nuages sur les champs
à timbre de vent
et les mouvements du monde
au diapason

S'il y a l'amitié
il y a L'aimitié
au bien fondé
de la sérendipité
Bénitier
des sentiments

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3 février 2023 5 03 /02 /février /2023 18:11
Sur l'onde calme et noire aux orbes argentés

La démon-graphie ?

Avec un ajout dominical, prince de feu, ce confessionnal au musée !
@nell’imagine una fotografia di Luigi Ghirri Aforismi di don Bosco Guai a chi lavora aspettando le lodi del mondo: il mondo è un cattivo pagatore e paga sempre con l’ingratitudine.../....dans l'attente des louanges du monde: le monde est un mauvais payeur et paye toujours avec ingratitude ... Alléluia !

 

Sur l'onde calme et noire aux orbes argentés
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3 février 2023 5 03 /02 /février /2023 10:54
GARENNE DU LOUP Soleil en profondeur

Passe la Garenne du Loup
tout au bout de ma rue
courbant la tête
entendant les gouttes
d'une étrange pluie qui suinte
alors qu'il ne pleut pas
suinte sur la voûte de briques grises
suinte sur les parois moisies
suinte
Vulve du TEMPS
du petit bout d'un bois...
(espace Nature)
j'y passe tout en tremblotant un peu
par ce chemin qui ressemble à celui-ci
à 90% de l'effet "macabre

Soleil en profondeur

Peupliers faux-tremble, dans ma certitude, j'ai un doute... Ce matin des premiers jours de février, il fait un ciel de neige, gris mais d'une présence absence divine, qui a réponse à tout, même au question qu'on ne se pose jamais : - existe-t-il au moins, après la vie ? 1/
Je peux plier, ...je tremble ! J'ai pourtant suivi "la" catéchèse, fus enfant de chœur (cœur), puis secrétaire particulier, à Lourdes, d'un (feu) prêtre-exorciste, à l'aider à faire sa messe à l'autel même de la Grotte Massabielle, assistant à son enseignement spirituel, l'âme d'enfant dans l'âge de quarante ; qui va certifier l'assurance éternelle d'une Présence "présente" plus qu'absence-à-vide, mort qui nous ôte de ce joyau de croyance, qui va tondre nos pelouses d'hésitation primaire ? Toute catéchèse n'a rien d'une catchasse [Première personne du singulier de l’imparfait du subjonctif du verbe catcher] : on ne se bat plus avec personne, ensuite... L'existence est ainsi faite de journées auxquelles on n'attache pas l'importance d'un doute au sein d'une certitude qu'on soit seul dans l'Univers, nulle réponse fut donnée à nos multiples questions depuis Lucy, ancêtre africain de l'homme à 3 100 00 d'ici, pour nos mémoires de l'Humanité...
 

 

GARENNE DU LOUP Soleil en profondeur

1/ 

Bois de peupliers faux-tremble dans la forêt nationale de Fishlake, Utah

Ici, à Pando, dans la forêt nationale de Fishlake, dans l’Utah, les apparences peuvent être trompeuses. Au premier regard, les visiteurs pensent voir un grand bois de peupliers faux-tremble dont les feuilles dansent au vent. Mais Pando n’est pas un groupe d’arbres. C’est un seul et unique organisme vivant. Comme c’est le cas de nombreux autres bois de cette variété, ses 40 000 troncs sont des clones génétiquement identiques issus du même système racinaire.

Pando a fait du bruit dans le monde scientifique. Avec ses 6 000 tonnes, il est aujourd’hui reconnu comme l’organisme vivant le plus lourd du monde, et l’un des plus anciens. Les scientifiques estiment que son système racinaire a plus de 80 000 ans, ce qui signifie qu’il a survécu à la dernière période glaciaire et à d’innombrables feux de forêt. S’il a pu devenir aussi vieux, c’est en partie parce que l’essentiel de son organisme se trouve sous terre, où il est protégé. Ainsi, même si chaque tronc peut mourir, l’organisme collectif survit.

 

GARENNE DU LOUP Soleil en profondeur
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3 février 2023 5 03 /02 /février /2023 08:16

Les nuances accumulées
s'atténuent
aux arbres effeuillés
Des envolées
lâchent leurs plumes légères
sur l'onde que le vent remue
Envol de poésie
en laborieux miracles
Du rose nuageux
simula flamboyant miroir d'été
en mes yeux
d'ébaubi -
Le rhythme du Jour était donné
écrit comme un concept musical
au tout semblable visuel puissant :
Lord Voldemort rôdait-il par ici ?
L'impression dynamique imprégnait
sur le sable un mouvement Retour soirée
- si, et je te donne coup de vent pour le soulever
(ah, et ça, à chaque coup d'Éole, tu l'appuies de quel souffle audible pour me séduire à la surface picturale ?
- Dassin de Dasein, du Melissa Meyer, Rewriting the Lyric (2013)
[Melissa Meyer, Desto, 2013 (courtesy the artist and Lennon, Weinberg, Inc.)
John Haber reviews a recent exhibition of paintings by Melissa Meyer at Lennon, Weinberg, Inc., New York.

Haber writes that Meyer's paintings have "begun not just to dance but to jump... One can see the jumps as a lack of disjunction, with each calligraphic trace and color in its cell running up against and slightly into others. Meyer can thus play fast and loose with the grid, while making its rigor her own. She can also draw on calligraphy to move between color and works on paper in black and white, as if taking stock of her own strengths—and as a reminder of how painting and drawing can still feed one another. Her evolution has meant simplification as well, in a marvelous paring away of expressionism’s muss and fuss."
via: Haberarts
Abstraction]
Weinberg, Inc., New York.

Haber écrit que les peintures de Meyer ont « commencé non seulement à danser, mais à sauter... On peut voir les sauts comme un manque de disjonction, chaque trace calligraphique et couleur dans sa cellule se heurtant et légèrement dans d’autres. Meyer peut ainsi jouer vite et mal avec la grille, tout en s’appropriant sa rigueur. Elle peut également s’appuyer sur la calligraphie pour passer de la couleur et des œuvres sur papier en noir et blanc, comme si elle faisait le point sur ses propres forces – et pour rappeler comment la peinture et le dessin peuvent encore se nourrir mutuellement. Son évolution a également été synonyme de simplification, dans une merveilleuse réduction de l’agitation de l’expressionnisme.

NUANCES ACCUMULEES
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2 février 2023 4 02 /02 /février /2023 08:17

Renverse le souffle d'un clair-obscur
Dehors-dedans
Pierres du Temps
où rien ne dure

 

Le nouveau jour s'installe, Jeudi contacte le ciel gris. De suite, il prête à Kierkegaard le propos qu'il en dit : L'avenir n'est pas encore arrivé ; mais il n'en est pas pour cela moins nécessaire que le passé, puisque le passé n'est pas devenu plus nécessaire du fait qu'il est arrivé, mais, au contraire, a montré par là qu'il n'était pas nécessaire.
C'est un peu bizarroïde ainsi dit, mais le sujet l'est lui-même.
Nostalgie n'est pas notalgie [paresthésique. mal-de-dos] ; misogynie n'a rien de la mysogamie [Haine du mariage]
Qui adhère à quoi, sans limite non trop élevée ?
- Voici le "plan" du Jour, on va se pencher sur la page blanche des heures, l'une à la suite... Coups de griffes à ce qui râpe, racle, ripe.
Mal-à-dits ? Bouquet de symptômes.
Nosographie : on détaille les symptômes en syndromes ou mal-à-dits.
Pour les causes, et syndromes : l'étiologie vous en dira plus.
Le DSM 1 à 3 : psycho-dynamique de l'étiologie diverse... ETC.
Vaut mieux ne se trouver qu'au mieux.
DSM 4 : repérage des symptômes à définir.
 
Sororité : ce mot semble "pompeux", mais je ne vois pas qu'il y ait besoin de l'ignorer si toutes s'entendent au mieux ! Alors, l'une lui demanda de vouloir bien accepter d'être une soramie (amie entre sœurs, néologisme de mon matin Je-dis, jeudi..) Une sororamitié, ça sonnerait mieux ?
- If you want to be free, get to know your real self. It has no form, no appearance, no root, no basis, no abode, above anything, but is lively and buoyant [Si vous voulez être libre, apprenez à connaître votre vrai moi. Il n’a pas de forme, pas d’apparence, pas de racine, pas de base, pas de demeure, par-dessus tout, mais il est vif et flottant.]
(d'après Linji Yixuan ; Information on Linji is based on the Línjì yǔlù (臨濟語錄; Japanese: Rinzai-goroku)
RinzaiGigen.jpg
SORORAMITIE
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