Le blog de Saint-Songe

COSMOS BULLE COSMIQUE

Dieu est bien trop spacieux immense pour ne rien faire que de se "concentrer" sur l' Humain et son bien ou mal-être ; dès lors rappel de Ca :

Dès lors sur la Planète "Skype"... , tout se vit en mini-milliseconde... Ultravie, ou rien, on passe à autre sphère !

Aura-t-on le temps de respirer, demain ?

C'est placer les savoirs anciens dans le vide d'aujourd'hui que de ressasser ce dont les jeunes générations n'ont que faire,

car qui va sous un arbre un jour durant réfléchir au Cosmos et à l'évolution stellaire, les petits humains pas plus gros qu'une

tête d'épingle, chaque boîte cervicale compartimentée différemment en cases d'acquis et de choses (mal) apprises ?

Tout est confondant dans la nouvelle matière diabolique des technologies, Cosmos nouveau ici-bas ! 

Le silence et le cri.

La Misère humaine sans ordi.

Joie de tous quand tout fonctionne.

Panne d'électricité : tout est nuit.

Le mental et le savoir font zéro, rien n'y tonne

que les jurons envers ce qui nous désordonne.

Pour l'athée, si dieu n'existe pas, alors le diable non plus, et pas plus les anges, rien que la technologie des chiffres et du bruitisme, la musique elle-même en a perdu la pureté de ses notes ; le silence, l'ordi et téléphone portable éteints, c'est l'ennui le plus profond, sans télévision aux programmes les plus stupides quand les sciences ne donnent plus rendez-vous avec les cultures et les arts, une philosophie en profondeur.

Le mal-ordinateur fait les coeurs de pierre.

Fenêtre ouverte sur un ciel délavé, la trille de ce jour a percé joyeusement mes tympans, et, dedans mon esprit s'entrouvre l'univers des plus justes pensées, au plus pur du divin, à toucher les nuages qui vont si doucement, sans connaissance autre que l'air et l'âme du vent dessus les vagues de l'Iroise...près des proches jardins où vont nicher les oiseaux qui, sans ordis, vivent mieux que nous sans ces "monstres" de fils et d'abus de programmes diabolisés, diabolisants.

Le bonheur sourd de nos douleurs, trop peu de vie contre un plein d'ignorance.

Cosmos de la matière.

Frustration et Violence innées dans ces connaissances si peu naturelles.

Nulle autre "vérité" que l'Homme (ou l'esprit d'amour)....

Et d'avouer, tel Simenon : "J'ai toujours été à la recherche de (ce qu'est) l'homme..."

Ô Notre funèbre oiseau noir Rimbaldien des Champs et des collines, que ne vois-tu venir qui nous vient de la mine, d'or ou de plomb, plume : mon rêve venait d'un arbre à écriture automatique, signé Pétrus (rocher médiumnique), comme de Borel - le poète dit     « le lycanthrope »  de Mostaganem : qu'est-ce que le poids d'une âme dans le corps nu d'un vivant, et, une fois le temps passé, où va-t-elle ? D'écriture journalière à message automatique, dis-moi, qu'est-ce donc - si tu la vois sinuer dans mon drainage lymphatique, las quelquefois de tant d'attente/trahisons ?

Qu'est-ce donc ? Où va-t-elle ? Au chiffre-miroir : 7337 de ce Jour..!

Avant que de m'encieller, je veux laisser un testament artistique pour que personne n'oublie que je suis Oiseau rare ! Tout humain du fond de son inconscient est un chercheur d'étoiles et d'absolu ! Body Script ! Op-Art, hop hop'Art !... Bertrand = Berthr-âme, corbeau brillant, prénom germain.

L'âme est volute de tulle quand la névrose est rupture religieuse (de contact et de lien, la névrose rompt - même sans que l'individu ne le sache - des relations quelles qu'elles soient..., par l'entrée en solitude exacerbée, non voulue, en absolutisant un Job ou autre croyance)...

Ouest /...Jour de brume Zazen
(soleil à l' Est à la baille) -  ZEN

BlueRed !

Lune et brume sans limites
Ciel dentelle en terre infinie
Blanche lumière au-delà d'elle-même
Cent mille demeures en une
Toquer à n'importe quelle porte
Dieu vous ouvrira - 

Il faudra vous méfier des propositions mirobolantes qui risquent de déboucher sur le néant. De même, certaines personnes, à l'apparence fort séduisante, se révéleront bien vides, ce qui devrait vous rappeler une fois encore que tout ce qui brille n'est pas or. Ce sont de ces ombres assassines qui rôdent sous la pleine lune tueuse...et dont la voix cajoleuse vous endort afin de mieux lui devenir proie facile.

Il y a des moments où le petit frisson de la splendeur divine vous fait trémuler l'âme et où l'on se sent exalté, projeté hors de soi-même, si loin de la banalité du monde qui vous entoure, stipule en L'Oblat, 1903, Joris-Karl Huysmans...

° Arbres à noix, les Anacardiers savent que la peur est la pire ennemie des sages-femmes (il ne faut aucun gestes inadéquats, ni plus pour les prémonopausées que d'autres parturientes)...

Entre leurs mains de Céline Damayan pourrait le faire ça-voir, film émouvant sur le sujet des naissances desquelles rêvent toute fille devenue femme, et donc aussi les sages-femmes : mettre à jour une Vie qui pousse..., qui pointe, qui...sort de la cavité matricielle toutes les lèvres du sexe sanguinolant et flasque béant ainsi qu'un Lotus...

Au fronton de chaque maternité, on se serait pris à l'idée de graver le proverbe arabe :

Mille oiseaux dans les airs n'en valent pas un seul dans la main.

Ambiance feutrée l'été dans une lumière d'automne. Qui tire sur une tête neuve extirpe avec des forceps avant deux heures officielles dans le nid d'une couveuse aseptisée, la voûte crânienne déjà mollement sculptée, sans précipitation, niche aux pensées premières (à quoi pense, rêve, songe un bébé dès les premières secondes hors cavité utérine ?..), au cri primal donné, petite fessée ajustée sur le rebondi nu dudit nourrisson : quand lui vient une conscience d'être (au monde des sauvages vivants ...) ?

Isolement et solitude, c'est plus tard ; on se donnera les moyens mystiques de les ajuster aux plénitude et bien-être, l'oreille absolue !

On peut s'étouffer sur le ventre de sa mère, une sage-femme l'ayant posé, là, un temps relatif (deux heures de surveillance accrue)...pour le bébé qui s'y repaît, le sein goûté.

Touchers vaginaux pour estimer la dilatation du col de l'Utérus juste avant la bonne position de la tête aux bosses pariétales que les mains "aveugles" doivent aller palper/chercher à la mémoire d'en être, anus distendu de la mère pour les faire remonter jusqu'au tunnel/couloir de l'utérus, ces "bosses" cabossées ou naturellement lisses, tel un Œuf mystique, sortir la tête du nouveau penseur, la tourner (dans le bon sens), sans lui tordre le cou (comme d'un canard à l'achèvement), et, flop, out le dégoulis de sang d'eau et de glaires, tout qui vient, par le cordon à bien sectionner ensuite...

IL FAUDRAIT POURTANT CONSERVER LE PLACENTA : porteur de tout le destin du dit Noyau de la Vie Une et vraie, pure, entachée de rien ni d'ordre ni de convenance ni d'institution ni de Loi (fût-elle naturelle), et, de ne pas jeter cette masse d' ADN pur à la poubelle de la salle d'accouchement, c'est nuire gravement à ce que le nouveau-né EST, et qu'il mettra toute sa vie durant à re-chercher... Bassins nettoyés. vidés, matériels rendus à neuf, pour la seconde vie d'une autre accouchée, plans de travail réajustés.

Giacometti a dit un jour que la grande aventure pour lui, c'était de voir surgir quelque chose d'inconnu, chaque jour, dans le même visage (l'aveu de Francis Bacon lors d'Entretiens avec Michel Archimbaud, il convient aussi pour une sage-femme)

On définit un style de vie en faisant sonner le glas de la musique intra-utérine tel celui de Bacon semble s'extraire de celui de Van Gogh.

BACON NAIT d'une étoile dans le ciel de nuit rose Jugienne.