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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 10:11
C'est après le Bauhaus le Précisionnisme des années 20
de qui a vu le Chiffre 5 s'inscrire partout en tous sens
Le Grand Chiffre de la voiture des pompiers (non de l'art du même nom) fonçant vers le lieu de l'incendie (la terre en son entier ?...)
Planète Cubiste-réaliste, à vie esthétique de la machine, que
nôtre flambant neuve, et rien qu'incendie à répétition (même ce Demuth découle de l'art américain des années 1920, le courant moderniste emportant tout sur son passage) : du futuriste emprunté, manie appliquée à l'iconographie locale, on dira des tags, on dira du street-art monumental (j'en vois plein sur Quimper, des murs qui me font re-penser à ce j'ai-vu-le-chiffre-5 précisionnite de Charles (Demuth)...! )
Les demandes sont faites en mairie sur un cahier de doléances par tout habitant et commerçant désireux à ce que les services de nettoyage adéquats viennent effacer tout ce qui s'apparentait à un semblant de style pictural quasi photographique, visible de loin, et Quartier de la Providence Cosquer-Pontigou du Moulin vert d'où je vis aux hauteurs de Quimper, du Frugy-Prat Maria jusqu'au-delà des lieux de fontaine anciens de Kerfeunten...
L'émancipation de l'Humain ne se fera pas par la production de masse de ces tags muraux, crédiou, ma doue beniget !
On efface !
On recommence...
Sur leurs trottinettes à 699 euros l'une, la jeunesse file à travers les rues en pente et pratique leurs sauts depuis les blocs de ciment face au géant Cinéville qui vient de dévorer les deux cinés Arcade-Art et essai Dupleix, quai de l'Odet, au demeurant des eaux saumâtres.
On peint sur les murs d'usine, les machines, on dilapide la dignité.
Au soi-disant nom de l'aspect méga-monumental des Compagnons de France ayant élevé la haute noblesse des cathédrales & édifices anciens, on part de rien des fondations de soi à un certain réalisme des abstractions simplifiés d'un chômdu en peine de se reconstituer quelques lignes et surfaces nettes de sa vie d'Internet...hors cadre de l'hyper réalisme d'un présent non vécu.
On se prend des idées de Pop-Art et de minémalisme.
On se soigne à l'hypersensibilisme des années hyperéalistes 70 and suite des majeurs américains Reiston Crawford (1906-1978), des airs de Georgia O'Keeffe (1887-1986), quand celui-là se dit Charles, il n'est ni Demuth ni Sheeler (1883-1965) mais, à l'air de Baudelaire, une lueur d'assombrissement de son médium peinture-photographie, ça : L'Héautontimorouménos-copique et cosmique "bourreau de soi-même" : - es-tu prêt à vivre un voyage hors de ton corps ?
- Il plane !....Il est déjà dans l'ère suivante...d 'un Art déco loin de Lempicka... Ah lala... Il n'est déjà plus là, tout en étant là, parmi les gens en terrasse, évoquant encore l'apparition de leurs 5 sens, à fleur de peau pour d'aucuns, étouffés, refloués pour d'autres.
@gravure de Charles Demuth : j'ai vu le chiffre 5
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NUMBER FIVE (mais non le 5 de Chanel)
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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 10:06
Une commerçante d'Institut de beauté m'a offert un méga-bouddha...
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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 09:45

L'utilité de la psychanalyse freudienne n'a pas pour but de servir à être heureux, mais de passer, selon Freud lui-même, d'une souffrance névrotique à un malheur banal...

 

Sans la "peur" l'humanité ne vivrait pas longtemps...
Vaincre "sa peur" aide à mieux vivre cependant !
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Florence, de la Joconde
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Lui ? C'est un stressman, il ne sait pas parler aux clients, fait n'importe quoi, ne porte pas d'Amoena...
- D'A-...quoi ?
- M'enfin, petite culotte et autres lingeries fines d'Amoena, quoi, la marque, quoi..
- A h ?... Ca lui assouplirait mieux le caractère ?
- Ah ça pour sûr, aussi vrai qu'une encre sur un vide de Zao Wou ki..
- A bien y regarder de près, on y serait au bord du précipicede la vertu, âu regard stoppé net sur son corps à chercher es maux pour calmer nos compassions...
- Et, silence des regards sur ce qu'il nous montrerait, entre psychorigide qu'il fut à ce fou-rire qu'il a, devenant réceptif à sa propre féminité, le commerce irait mieux...
- Oui, du premier sens du mot, échange verbal, que fut le moyenâgeux commerce... Dans l'espace territorial de l'acquiescement dès notre : alors, quoi de neuf, depuis ?...
- Oui....
- Etre là, sans se maintenir ailleurs, les yeux touchant d'autres touchers plus nus que légèrement vêtus les uns que tous, la vue devenant nos semblables regards d'étonnés : vous, ainsi ?
- Eh oui...
- Holalala...
- Toute surface de vie que nos vides, à territoire de feuille blanche, épure du vide, du lieu, aussi actif cependant qu'une encre Zao...
- Wou-ki, ooui...oui-oui...oUI DA...Son silence créant notre arrêt réceptif plus que ses actuels stress, commencement d'une origine avec fumée de bois taillés au feu du désir-Sex... Pinceaupour l'union d'avec la rainure-cire, à modeler tout ce khôl, sexe unissant l'encre et mouille, eau de l'acte originel qui se prépare en tout foyer banal.
- C'est fatal, ...
- Et, fractal !.. L'accompagnement de tel geste à l'acte se peaufinant d'un espace autant pénétré que pénétrant(le papier de la peau pénétré d'encre blanche à mouvement de seicheéjaculant son encre pour se protéger et se cacher tout en profondeur de l'océan : taches-points-lignes du vide creusé de la matrice, d'ombre en luminosité orgasmiques, eux en lumière des yeux qui brillent à l'imperceptible traversée du corps autre, accueil du vide, à chair quasi mentale, lavis deLa Vie qui se coagule, au retour de l'espace matri-ciel... )
Oui, un pareillement Zao Wou-Ki : geste, trace, percée du videet de l'encre...La pensée se passe-t-elle d'énergie ?
Pensif RAYON AU BOUT DE LA FORCE DE L'UNION DES CORPS.... Giclée sur la pierre creuse. La touffe se mouille, et la feuille de papier sur le sol du matelas, à la merci des postures liantes.
Ainsi que feuilles de Bambous - XU Wei (1521 - 1593) !!!
- Parfois, j'ai un faible pour lingerie-fine façon peinture à l'huile de Zao sur toile de format Wou-Ki 130×195 cm, réalisée en 1998 ci-dessous visible)
- Pas la même pensée, oui, donc pas la même vision, ni lamême attitude ni plus le même caractère, si fait, la boucle est bouclée...
Tiens, il vient de placer son affichette pour attirer sa clientèle :
ICI PRIX TOUT DOUX A L'INTERIEUR NOS LINGERIES...TRANSTOUT-horizon XL
 
 
 
 
 
 
L'encre au levain du vide et du rien
Ecrire ou peindre au vocabulaire du silence
Se tenir au ceci pour en donner cela Matin
Midi soir Un terreau de si peu de l'au-delà
à l'eau de l'encre en gradation du presque rien
sur presque tout dilués ensemble et sans raison
Tâches de jour sur traits de nuit
Pâleur nocturne sur diurne noirceur
Clair de lune ou de pensée
Soleil d'esprit
soufflant à l'aération de l'aérienne
porosité de l' Idée
de peindre de dessiner ou de lire-écrire dès matin
en mienne Journée Entière !
@Crédit Photographique : ZAO WOU KI (né en 1921) Composition, 1990
Aucune description de photo disponible.
 
 
r
 
 
Heure du repas, non repu ?
Assiette Maheut que voilà...
Mathurin Maheut design...
@Mathurin MEHEUT (1882-1958)
Assiette du service de la Mer
en faïence polychrome.
Diamètre : 24 cm.
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
 
 
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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 09:37
LE SILENCE N'EST VIDE : il est empli de réponses

SILENCE isn't empty It's full of answer :

There is no path to happiness

Happiness is the path *

 

* / 

Il n’y a pas de chemin vers le bonheur

Le bonheur est le chemin

LE SILENCE N'EST VIDE : il est empli de réponses

Vivre dans le confort, endors ! Vivre dans le peu rend heureux...Et, dans l' Infiniment peu, on vit infiniment mieux ! Sans voiture, je sais depuis longtemps que "La marche" est le summum de la simplicité ; le "moi" n'existant pas, inutile de le chercher, vivre l'instant et, si la seconde est "pauvre" par rapport à l'heure riche de minutes, au moins elle existe 60 fois dans 1 minute. Puis, savourant 60 fois la mort à l'heure, ainsi vit-elle et survit-elle 3600 fois et l'heure, une seule ! Qui plus est, sortir marcher sans même se fixer un but et un chemin, aller au petit bonheur la chance d'un : on verra bien où cela mène correspond pile à la formule judicieuse : " ne lui indique pas le chemin, il risque de...ne pas se perdre ! "...Comme le chemin se fait en cheminant/marchant (en sa tête, au temps du confinement)...

En ce réel pitoyable, quelle "liberté libre", sans La marche lectrice ?

 

N'avoir poussière livré qu'un ...signe
insigne moins fier qu'un cygne
gavé de prestance
Lumière-Amour pureté, il est temps de...mûrir
plus que de mourir
au désencombrement de la terre-poussière
où chaque silence reconnaît l'horizon aux entours
à mesure d'espace-temps moins fier
qu'un cygne glissant sur l'eau noire à l'intérieur
de nos nuits en plein jour défini
Cela qui en signifie
L'ombre-friche de l'instant -
@photo A.C
Peut être une image de nage
 
 
 
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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 07:19

Tous les carnavals sont dépassement de soi, maquillage(s) et tatouages, mamelles de la curiosité studieuse de sa vie intérieure, on est alors "soi-même un autre" nous convie à le croire, Paul Ricoeur ; don de quoi faire ? Désir d'écrire ou rêver d'un rituel par habitude de contre-pouvoir ?.. A dix ans, ne peinai ni à lire ni à dessiner (concours de dessin, je fis des chats...), la table de la véranda parentale en ludothèque ou, parfois, fort immobile, penché - mutatis mutandis - sur la page granulée Canson bien appliquée sur la nappe de l'imposante table de bois du séjour.., cette fois-là, autre dessin de réveil des sens et de fécondité renaissante, à faiseur d'interrogation plus que d'embarras, y dessinant des nus.. de tout bord, me causant quelque trouble cependant au sujet de la rainure d'Origine du "corps des femmes"... Nul jugement ni limite, en dessin carnavalesque.

Espace paisible
Contemplant l'horizon
Quiet repos

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29 mars 2021 1 29 /03 /mars /2021 18:27
OVIDE, l' Exilé
Ovide a dit : - Où est ton messager ?
Qui est en toi, qui est ton apôtre,
Les faits d' un homme, et puis les fées songeaient :
Ö dieu qui nous fit ce défi ?
Séduis la femme ou la fable
Il est un feu qui nous renouvelle
les faits notables...
Qui est dormant, les nouvelles, les apôtres,
de jouer aux dès maints songes qui se content
Il est azur, un feu qui se renouvelle...
Pour peu rien qu'un chant - plus de livres -
De jouer aux dès son feu qui nous délivre !
Ovide a dit : si le messager a de la peine,
Ô dieu qui mit au défi nous refait sable
si même la beauté qui est dormant notable
Et puis les faits sont là...
Ô Dieu qui est au défi séduit la femme ou la fable...
Maintes choses nôtres notables....
Et malgré nous c'est pour que vous soyez
Séduits des faits et tromper l'escorte forte
qui n'est point véritable
En joie En amour et choses nôtres notables - B
(Phaeton de Gustave Moreau, crédit photographique / F.C)
Son pseudo Naso vint de son curieux nez...
rigolo ! qui lui fut présenté par son reflet...
S'envaginer encore, intérieur/extérieur - en corps
L'égoïsme court toujours
"base de notre édifice social, l'hypocrisie en clé de voûte" !
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29 mars 2021 1 29 /03 /mars /2021 18:12
Il y a trois ans déjà, avais préfèré lire "le cabinet noir" de Max Jacob, plus que de me farcir le lourd pavé qui tombe en librairie "place Beauvau"... - qui se vend mieux qu'un torchon de ramassis ou qu'un ouvrage de Mathieu Ricard, c'est dire l'étouffement des systèmes dans le Système.. (idem, ce Valls comme du précédent Beauvau, du "pas une goutte de sang français" (écho du titre emprunté à Gary) - qui, plus que l'autre, restera(it) en mémoire tandis que de Jacob, il y aura signification prosaïque meilleure dans l'écartement du rideau des souvenirs moins anxieux...à nous indisposer qu'à leurs façons, les politiques qui se croient devenir une importance d'écrivain, à comprendre qu'ils n'ont aucune ressemblance avec l'esprit du Poète Quimpérois dont on recueille plus d'une intonation intelligence et de beaux vers au point qu'ils approfondissent notre propre intimité... Les deux politiciens "brisés" dans leur soi-disant carrière, ils auront aussi brève durée dans leur espoir littéraire devant le décor des salles vides...
- Passez-moi votre lorgnette, j'en perdis mes lunettes au verre grossissant, lunettes-loupe. (ai dû les égarer)...
 
Faire le ménage, ouvrir les fenêtres, balayer-ramasser poussière et, par mains de la coiffeuse, se faire ratiboiser le crâne moins chauve que moine, c'est faire entrer la Nature chez soi, en soi, partout en le corps aéré de quelque rêve symboliquement Jungien ; me voici à rêver que je suis en forêt de Brocéliande, j'avance jusqu'au fauteuil de Merlin l'enchanteur (haute pierre creusée tel un crapaud, mon fauteuil ici), et, je vois de dos quelqu'un en prière, yeux couverts des deux paumes de main, doigts repliés sur le devant du front, et lors m'entendant à l'amorce du pas, il se retourne, et, voici que le yogi en méditation profonde c'est moi : il était à me méditer, or, sursauté-je lorsqu'il se réveillera de son rêve qui est mien, je n'y serai plus nulle part, ni en mon rêve, ni en ce méditant, yogi me ressemblant ?
How (to ) do (comment faire, le Web a son clitoriel., ma souris chauffe & vibre ! )
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
FAIRE MENAGE nettoie la Psyché (remuée), même si le vent de l'esprit ne s'exprime plus qu'Eole ne s'accroît au jour ensoleillé, quel travail (intérieur) !
 
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29 mars 2021 1 29 /03 /mars /2021 18:11
Hummingbird, aller avec le flot...
Goûter la joie du colibri
ne cherchant que la goutte d'eau
qui lui apporte toute la Richesse de la vie
Aujourd'hui, par ma foi, c'est la fête au ...Co-li-bri !
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L'école de Paris (v.1918-v.1940) coïncide avec la communauté internationale d'artistes modernes vivant donc à ...Paris (à l'égal de celle de Pont-Aven qui en elle-même n'a pas de sens, puisqu'il n'y a pas d'école...) C'est qu'à l'après-guerre, LA Capitale était métropole artistique de fond et de fait...jusqu'à l'orée de la seconde guerre mondiale, par conséquent ni mystère ni énigme symbolique de l'internationalisme ambiant du tout Culturel. Modigliani avec son nu assis ou Brancusi, ou Soutines, ainsi que Chagall, ils ont casé le Catalan Gonzalès parmi eux, repérés à leurs intenses palettes & factures violemment expressives.
Ici, via Gonzalez , les structures métalliques excentriques !
Cui-cui Caramba, "petite danseuse" que voilà !
Eh quoi, eh quoi ! Pequeña bailarina vint ensuite le Bauhaus après toi !
@sculpture, Julio González (1876-1942)
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29 mars 2021 1 29 /03 /mars /2021 18:06
Ah oui donc ! Reste « le germe de la tyrannie » toute puissance politique, déraisonnablement mauvaise, l'iniquité non loin, l'iniquité et la dangerosité, Montesquieu appuyait là où ça fit déjà mal, à l'époque :
« Comme dans les démocraties le peuple paraît à peu près faire ce qu’il veut, on a mis la liberté dans ces sortes de gouvernements ; et on a confondu le pouvoir du peuple avec la liberté du peuple » ; « mais la liberté politique ne consiste pas à faire ce que l’on veut » ;
« c’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu’à ce qu’il trouve des limites. » ( De l’Esprit des Lois, livre XI chap. II, III & IV ).
Au rajout de nos réflexions actuelles, proches d'États despotiques, « les hommes y étant tous égaux … », « tous esclaves… » ( De l’Esprit des Lois, livre III, chap. VIII ).
Ca dénote une certaine résonance qui voudrait bien irradier
- où est le temps ?
L'aube marque le souffle dès la rosée.
Ferveur du matin.
Dedans la clarté des sources.
L'énergie des poussières dans l'espace.
Innombrable exaltation des envolées.
Nous n'offrons qu'un petit chant.
Souffles sur le lac.
Visages de flammes en mantras du silence:
- Tout serait Brahman (la Réalité Ultime).
- L'illusion fondamentale (maya) serait la perception d'une discontinuité dans ce tout.
- La discontinuité appelée "ego" serait la source de la souffrance.
« Rien de trop », mesuraient les dires grecs sans mesure en bonne mesure.
Sans besoin de saluer 108 fois le soleil, agir en non-agir via une douce pratique de hatha yoga, douce mais régulière, goûtant une respiration adéquate (plus abdominale que thoracique ou claviculaire) dans les postures comme dans la vie, et, sinon manger moins de viande que de laitue espagnole, telle nourriture végétarienne et une éthique (yamas et niyamas, notamment ahimsa et aparigraha), ces généralités devraient amplement suffire pour atteindre - une concentration naturelle (dharana), une cohésion pour méditer (dhyana) et de s'avertir même peut-être - un jour ? -connaître le grand silence (samadhi).
Ça vous dit ?
Jour à jour, ...via notre inconscient collectif gréco-judéo-chrétien !
Méditer, c’est ôter le plus de strates de masques entre ce que nous sommes et ce que nous voudrions être. !
Adepte de la non-dualité de l’observé (le monde) et de l’observateur (la conscience du monde), n'accepte de donner naissance à une terre en souffrance davantage... L'homme, qui n'a rien observé jusqu'ici (ou si mal), a déjà bien maltraité sa mère-terre...(terre-mère à l'envers de ses respects pour elle), nous avons toujours la possibilité de ne pas reproduire ailleurs un monde aussi dévastateur que le nôtre..., qui plus est en conscience de maltraitances envers soi d'abord, autrui ensuite, La Nature enfin... Rêvons d'un calme intérieur, déjà ! Poétisons ce rêve...
(crédit photographique / Patricia Nation)
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ET DONC ON a changé d'heure....
oui donc, ce week-end, on a changé d'heure, est-ce la dernière fois, d'autant qu'on nous persuade ce que Th. Fuller ne dément jamais : - "l'heure la plus sombre précède l'aurore" ; merci monsieur le savant...à qui je dis :
Si tu veux la Paix
 
prépare... Le Zen !
Tempera et stuc doré sur bois
"Cultivons nos étrangetés" nous creusait Char comme idée
de véritable méditation du Soi : un disciple alla chez son maître...
- La Sagesse, celle qui passe par le rejet des choses fort inutiles et, gagnant le contre-courant, atteindre la rive d'une méditation quotidienne
- Comment faire face aux chaînes physiques jusqu'à styliser les formes de l'Esprit pur
- Savourer la "vérité suprême" qui permet de la confondre dans la conscience universelle
- Et, telle Sagesse perpétue l'envoûtement de la profondeur de l'océan (riz dans le bol, eau dans la tasse, et quoi ?)
- Voici la voie, dit le maître, mais à toi,
disciple,
de t'y engager...
- On tend l'oreille, et aucun bruit ; on ouvre les yeux, et...Personne !
Bien longtemps ensuite un voyage méditatif, intérieur, comme de ne jamais bouger de chez lui, ne cheminant que par la pensée et l'écriture quotidiennes, heureux d'une petite trouvaille sous une pile de papiers pelure, une fois grande ouverte la fenêtre, pour aérer la pièce de laquelle il n'a jamais bougé, assis en lotus sur son zafu, l'air vicié nettoyé, refermant la fenêtre, la Nature invitée à fleurir la quiétude du soir, le disciple montre son médaillon au maître qui ne s'en étonne.
- J'ai cherché longtemps, la voie, et voici.
- Qu'est-ce ça ?
- L'une face, naissance ; l'autre, mort, mais c'est même médaillon, ô Grand Maître... Rien ne nous sépare.
- Voilà !.... Je ne désire jamais ce dont je n'ai ! Tel pan de la Sagesse de l'Eveil ! Quelle heure est-il désormais ?
- Pour l'éternité : il est l'heure d’Été...
(Botticelli_- Gravure _Portrait_of_a_Man_with_a_Medal_of_Cosimo_the_Elder)
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29 mars 2021 1 29 /03 /mars /2021 18:03
Une ombre passe dans la nuit...
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POING MORT ?

 

 

 

 
 
UNE OMBRE PASSE DANS LA NUIT...
Printemps au poing, ou à point ?
A chaque fois que je vois son slogan, je m'illumine le Verbe Rimbaldien dans la gorge sèche ; arrivé de nulle part, je puis donc aller partout (Vendredi Paris, prochainement, pour vous le redire), et, de voir, affiche de Macron dans ce petit vers :
"Un coup de ton doigt sur le tambour décharge tous les sons et commence la nouvelle harmonie.
Un pas de toi, c'est la levée des nouveaux hommes et leur en-marche."
- Curieux, non ?
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