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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 22:00

carlton-croquis.jpg

kaiserin.jpg

In Vienna, away from the keyboard (crobars A.F.K)

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16 juin 2014 1 16 /06 /juin /2014 22:00

Aubique, la meilleure aube..., dirons-nous..., mosaïque heureuse ( La Croix gagne toujours) :

Aubique à mon amie a dit que le Paradis était plus beau qu' Ys-ci,

à toi mon Lectorat, je te le dis, mais moi je le croirais si c'est un oiseau qui me le dit (L'ouie est musique des anges)...

Ange et mon Lectorat, est-ce vrai que c'est plus joli  ?

Amimula Vagula Blandula Hospes comes cuë corp-ès corporis... Qu'est-ce ?..

Gustave-Moreau---The-Young-Man-and-Death.jpg(gustave moreau, le jeune homme et la mort)

L'âme se révèle dans la solitude et le silence,...Elle s'y élève, et elle s'y révèle.

Quand on n'a plus la foi tout enclin à baigner dans le doute perpétuel, on ne croit plus à l'au-delà, à ce qui vient après...nos platitudes de vie que l'art enrichit, vie gouvernée par des forces cosmiques qui nous échappent, aussi incontrôlables que ces tremblements de peur d'être jugés après une action, ce que le stress nous bloque d'avant, les émotions fortes nous font trembloter le corps tout entier après une expérience réelle..dont le système neurovégétatif, tous les nerfs et les muscles se relâchent après l'action... / La peur de n'avoir pas dit, de n'avoir pas été, de n'être pas à la (h)auteur...

Toute l'anxiété qui nous mine, inscrite en nos rêves les plus profonds, endopsychiques, jusqu'à ne plus croire en l'autre monde..., foi éteinte avec les croyances disparues, doute qui érode jusqu'à "peau de chagrin" tous les domaines de nos espérances artistiques et amoureuses, spirituelles et laïques.

L' effort est plus important que toute réussite...qui, une fois atteinte, n'a plus besoin d'allant. On y ronfle dedans. On y ronronne...

je-medite.jpg

Je médite à l'autoportrait 2014, que je viens de crobardiser....

Comment peindre la Tendresse ? et les joyaux de Beauté intérieure ?

Amimula Vagula Blandula Hospes comes cuë corp-ès corporis... Qu'est-ce ?..

bel assemblage

Aies en toi position yogique ou prends donc cette pause aubique dès le lever, la journée sera meilleure :

Il vaut mieux être encore (en corps) prisonnier de soi-même, que de Lois !

Amimula Vagula Blandula Hospes comes cuë corpès corporis... Qu'est-ce ?..


Tel au choeur / coeur de notre corps-prisonnier de ses ombres

LE bonheur véritable, bien véridique est celui qui accepte à la fois l'adversité et la félicité.. Nul ne sait ni définir ce qu'est l'amour ni le bonheur, on est heureux soi-même afin d'être heureux avec autrui, sinon comment se sentir heureux avec quelqu'un lorsqu'on l'est pas de...soi-même, déjà !.. L' Univers m'aime, je suis empli d'Amour (dis-je en marchant, ce matin, allant-revenant de tréboul à douarnenez, soit 4 kms, faciles !)..

Amimula Vagula Blandula Hospes comes cuë corp-ès corporis... Qu'est-ce ?.. Saturez-vous de rêves !

zen-winter.jpg

ça test ma voisine fait du yoga.

Arte de la Pintura, ZEUXIS


Zeuxis y las cinco elegidas de Crotona
(óleo de Edwin Long, 1885)

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15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 22:00

Qu'est-ce que ces attributs , ici là, qui vont là, ils m'ont dit...plus que des chinoiseries telles ici calligraphiées jolies :

辨道話

最上無爲の妙あり。、すなはち自受。
この三昧に遊化するに、端坐參禪を正門とせり。この法は、人人の分上にゆたかにそなはれりといへども、いまだ修せざるにはあらはれず、證せざ、一多のきはならつ、縱横きはまりなし。佛のつねにこのなかに住持たる、各各の方面に知覺をのこさず。群生のとこに使

Ils m'ont dit :

L'instance divine peut-elle être désignée ? Le ciel se désigne lui-même par l'absolu de ce qui est vu (par tous, mais combien lèvent la tête vers Lui, sa pleine Lumière non mentionnée ?...)

Ils m'ont dit tout cela qui meut et qui nous chicoune (enfant, mien néologisme pour signifier la chicane d'amour, selon que j'en interprétais alors, et quotidiennement, enfant de choeur, qui plus est, le Souffle en moi de Celui qui nous aime mieux que nous puissions L'aimer ; la main féminine pardonne plus que la main masculine sur l'épaule du prodige)...

La Révélation du Jour. Le Qualificatif de nuit.

Aval d'âme de l'Unique. 

Qui vient au matin apporter le message forgé de tous les silences ?...

Al' y - là.

Le très nombreux Nom.

Le Cent Moins Un. Celui qu'on ne peut s'approprier. Al' y Là.

Le Mainate Manath, comme je l'appelais dans la volière du parc de mon enfance. Jardin Public où sont les cygnes sur l'eau près d'un moulin sur un tertre Hazebrouckois.

Le Mainate Manath était mon seul ami du dimanche, quand nous allions en promenade familiale.

Je ne le nommais pas, je le voyais tout en couleurs voler parmi les créatures volatiles à côté des cages d'autres animaux.

Tradition enfantine personnelle. Le tissu de la trame de mon âme même.

Et quelque aspect Shôbôgenzô qui se définit pour moi dans le Zen.

A Dieu appartiennent tous les Noms aux divers caractéristiques.

Qui s'élève en nous lorsque nous sommes si faibles, paresseux, ou très fatigués, la Joie nous fige toute peine en laissant libre cette mention caractéristique et qui L' amène sera -  Apprendre Comprendre Engranger du bonheur, puisque selon Hugh Downs : 

Être heureux, ce n'est pas vivre dans certaines conditions, c'est cultiver certaines attitudes.

Les nuages défilent les uns sur les autres comme tous ces noms de Dieu qui s'égrènent dans la bulle lointaine des oiseaux où Lui naquit de Lui-même...au-delà des montagnes et des villes qui ne furent qu'encore que déserts dans sa bouche.

A l'impaire litanie émotive des grains du chapelet des nuages psalmodiés par le Vent qui les égrène en les nommant dessus un champ d'épis de blé et de roseaux voisins proche la première rive du monde marin, une plage déserte non loin du Premier Lieu du Très fort (puissance parfaite de toute Force d'extrême exaltation Jour-Nuit en une Aube Une)...

 A moi la nudité douce où rien ne se passe et où il n'y a rien à faire !  B.

禅的

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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 22:00

VERITE.jpg

Cela tournoie en soi telle une sphère étoilée

La solution d'homme n'attaque pas le féminisé

dans le cycle des Harmonies

aux traces et tracés

des premières "natures"....

Dynamisme : - Work in progress, process.... Action de la Contemplation.... Souffle dans l'Agir du non-agir.

Réinterroger la Nature humaine.

La Vérité (n'existe pas plus que la perfection dans un monde en continuelle évolution) - 

Joyau philosophico-mystique du dedans à trouver dans le sens de la dignité de la vie humaine, au dehors.

Homme autoconstruit par le souffle créateur.


Une pince clique, claque, et sectionne le grillage des marquages stellaires dans tout l'entour de la terre.

Inspiré par la "puissance créatrice", mode "phallique" de l'allant, de l'élan qui se trouve déjà dans l'amour de la Nature qui appelle à la vie, qui la donne, à commencer par le plus de CAS / Connaissance Amour Sagesse, pole de la conscience et du Cosmos... Qui s'approfondit, s'élève.. Rien n'est achevé, le Temps s'invite à travers l'Espace, chaque matin, toujours de façon diverse...Dieu ajoute et agit dans le continum sans préjugé fatalisme (l'encre intérieure, au fil de la plume qui tisse l'écriture quotidienne, inspirée par le Souffle divin)...

Quelque Dieu veut s'en échapper ? Il nous revient en Présence, partout où l'acte crée une modeste existence, cheminant à l'intérieur... Chercher la Connaissance - de ton coeur - jusqu'en tous les mystères de la Connaissance de Dieu, au plus lointain de soi-même... Chercher la Présence en ce cloître intérieur où l'expression vitale est le silence profondément spirituel.. Silence élargi en gouttes de sapience jusqu'au Cosmos, legs de la pleine solitude des âmes.

Tous les "corps" dilués :

eau-terre-feu-air, au thuriféraire son de l'Infini. L'un fini.

Les échos porteurs d'encens qui vantent et qui éventent à l'infini

tous les vents d'un angle à l'autre de la terre et de l'espace épousés :

- Je m'intéresse à la tendresse.... (conscience plus haute de son rapport à l'Univers et à la Nature et aux Animaux)

Il s'entendait cela dans l'espace vieillissant dessus la mer vieillie

et les océans tourmentés.

On se crée donc tel que l'on veut être... La clé du destin est un ciel bleu.

L'octave du ciel de La Nécessité.   B.

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 22:00

Bonjour sans fumée, en Tamoul : வணக்கம் ... (à moins que vous ne préfériez l' Ukrainien : ПРИВІТ ), la poésie est langue étrangère qui parfois prophétise... Et, dit de Cézanne : "je vous dois la vérité, je vais vous la dire" (en peignant, pour lui)...

Delille , ce 18 Décembre 1885, Le vénéré poète prophétisait .... LA VAPORETTE actuelle !...Face à la gare de Quimper, une enseigne de local nouvellement installé : "La cigarette électronique"....;

" Voici quelques détails sur l'objet tout entier

En dévissant le bout on trouve un tube en verre

Dans le tube, une brosse, et voilà le mystère....

On oint l'extrémité de goudron, on remet le tout en place et puis

comme si l'on fumait on aspire à grands traits les vapeurs de norvège "

      S ' évaporer dans les rêves de l'eau soit dans la fumée de vos vaporettes par défaut de cigarettes menthe à l'eau

soit dans l' espace d'un livre-lavoir où tout lecteur plonge en "miroir" immobile s'évaporant de tous les tableaux

de son MOI-PEAU..

Chacun est l'artisan de son sort (Appius Claudius Caecus).

 


 
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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 22:00

 

Quel monde demain, si celui-ci s'engouffre de plus en plus ?

Les malaises prospèrent.

Les enfers.

Les éditorialistes ostensibles racollent la nov'langue qui devient vide.

Les libéralismes féroces...  Flaubert : 

" l'avenir est ce qu'il y a de pire dans le présent"...

- Moi, suis Bouddha sous mon Bodhi (Body, arbre-corps où trouver l'éveil), 

et de percevoir les piquants parfums des fleurs dans le soir, et de voir et percer-voir

le défilé des fourmis dans ma cour... toute simpliste.

Et, d'apprécier le bleu du ciel, le blanc des nuages, le vert lumière des feuillages...

Ai pensé alors à l'ami qui pleure comme à ce qui pleure en mon coeur  :

Si entre exilés on ne s'entraide pas, l' Humanité est bien morte

(ici, j'en connais un qui se prend pour mieux qu'autrui, les toisant

du fait d'avoir connu l'histoire de son pays déglingué, et, qu'il en a échappé,

se prenant alors pour le "roi" de notre peuple n'ayant pas vécu la guerre, ni civile ni ethnique)..

Seulement ici : - Vie / Emploi / Amour des communautés meurent.

Quel monde dans ce monde des banlieues-gruyères surdimensionnées ?

Quelques Marchés de drogues ont remplacé le marché de fruits et légumes.

Smartphone, REINE/ROI des commercialisations-consommations.

On tue à petit feu les petits commerces.

Et, de tous ces peuples anciens, de ces "générations disparues", quel est

donc le nom de cette "crise" mondiale pour qui ne peut s'acheter les produits dits de "haute technologie",

survivant à rase-mottes des populos... ?

Joue-t-il de la guitare pour sa bourgeoise lambda, celui-ci assis à même le sol, un chien pouilleux entre eux deux, à la ramasse, faisant la manche, ne recevant pas même un billet pour l'amour ?

D'ailleurs, il n'y aurait qu'une chose qui fonctionne à la SNCF : - La grève ?

Il n'y aurait qu'une chose qui s'encolère dans les intermittences du "spectacle" : - La grève ?

Quelle nouvelle "Société du spectacle", sinon la probité de son marasme ? Ca nous grève !

Plus personne ne peut jouer un rôle qui n'est pas le sien, puisqu'il n'y a plus aucun rôle à jouer sur cette grève, large plage du monde en déshérence, la prospérité du marasme le rongeant de part-en-part, jusqu'à devenir "peau de chagrin" ruinant les esprits et les piètres foutoirs de rues.

Je l'ai soufflé hier : - L'humanité ne sait plus où elle va, elle ne sait plus rien ; à preuve qu'elle a déjà oublié le sang de ses nombreuses victimes collatérales et militaires, la guerre reprend de plus belle en Irak, pis que les assauts de Ben Laden, tandis qu'oubliant la pauvreté brésilienne, et le travail au noir quand il n'est que peu rémunéré pour certains enfants et adultes, que dans les favelas on loge sous des tentes de fortune, parfois sans pouvoir se loger, des milliards de dollars fêtent le "ballon rond" brésilien dont je boycotterai l'ensemble des matches, pour les raisons données (et si elles n'étaient fondées, il n'y aurait aucune "grève" au pays jaune-vert...)

La bannière de Ferdinand Denis devrait flotter sur tous les pays :

La tempérance est un arbre qui a pour racine le contentement de peu, et pour fruits le calme et la paix.

icones

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 22:00

NOLO SE  NOLO SE.... L ' HUMANITE NE SAIT PLUS RIEN...

 

NOLO SE NOLO SE L'HUMANITE NE SAIT PLUS RIEN....

JOURNAL IMAGINAJOURNAL DE 6HIRE DE 6H30


 

.... No lo séNo lo séNo lo séNo lo séNo lo séNo lo sé... L' HUMANITE NE SAIT PLUS RIEN... 

NESCIENCE / NO LO SE / L' humanité ne sait plus rien de rien... Ni d'où elle semble née. Ni ce qu'elle peut bien être. NI OU ELLE VA surtout...

No lo sé  : Aucune connaissance de rien, ignorance de tout. La feuille contient l'arbre qui contient la forêt qui contient le sel de la mer qui contient le ciel qui contient les nuages et le seul feu solaire doublé dans la lune dont on ignore même l'autre face, No lo sé...

A se taper violemment le front, sur le dessus occipital, à bruire de rage son No lo sé : qui suis-je, qui est dieu, quels sont les anges, et la saveur du vent, et d'où il vient, et vers où va-t-il, et le fleuve dont je suis des yeux l'infini horizon d'un lointain inimaginable, No lo sé;

ah , grand dieu : No lo sé !

Axion estin / Axion-estin.jpg

Sans conscience, le fou sait plus que le savant, et l'aveugle, plus que le voyant, mais personne ne dit rien sur tout ce qu'il avance comme fausseté : No lo sé... Tous les mots avancés depuis les premières écritures, ils ont été démentis. Nescience vaut plus que conscience et bien moins qu'ignorance.                B.

noir-reinard.jpg

r e i n h a r d t                   Ad Reinhardt, 1913-1967


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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 22:00

1112J.jpg

L'être humain est en permanence en transformation intérieure, comme d'avoir des menstrues mentales constantes, limite psychédélique...

 Et, du féminin dans la virilité, pour l'homme, de la masculinité, en toute femme, et pour l'enfant, la joie de se connaître en "correspondance" filiale, en émotion constructive de revoir père et mère, l'un après l'autre, ou les deux.....        

Avec l'âge et le temps, les qualités diminuent et les défauts s'accumulent...       Je prône pour la contemplation silenciaire.

L' air pur convient à mes idées précieuses...  Androgynat de F ' âme de L ' Etre, suis-je...         

Pour fuir le réel bruitisme, sans être marin navigant sur les mers et océans, l'espace du silence nous unit...

Une femme nue se roulerait dans les herbes hautes (et folles) et accoucherait d'un épi de blé lumineux qui éblouit...

et puis, et puis... L'épi, et puis....LE Rêve d'une rencontre au gré de dires secrets, en sourdine, à l'oreille du silence de nuit.

La rencontre du rêve et de la réalité, qui fait qu'aucune couture n'existe entre ce rêve qui devient réalité, et la réalité le fil même et constant du rêve...  Du Novalis dans la vie Kafkaïenne où l'ombre ne rejette pas la lumière ni la lumière ne soit l'opposé de l'ombre. Tout est dans tout et avec tout, cette Beauté de Lautréamont qui fait la rencontre d'objets insolites sur une table de dissection, par exemple... Et, de ce bleu du ciel qui serait notre terre, et, à l'inverse d'aujourd'hui, la terre, notre vie céleste. Les Anges nous veillant dans un total et immense non - Lieu, quelque plageraie où serait venu débarquer L' Insolite rencontre du ciel et de la terre au Paradis premier de l' E d e n. La chute n'aurait pas eu lieu, et donc, aucun Amour-Propre ne serait né. Il n'y aurait que l'Amour en Soi : l'amour-soi, qui n'a besoin de rien d'autre que peu et du nécessaire.  

Rêve : deux doses de même quantité de sperme de mâles différents injectées en une seule ovule d'une seule femme, et demain, le rêvalité sera là, né, qui était déjà dans mon avant-gardisme pragmatique, l'idée s'actant d'elle-même, comme un être fait vivre l'Amour partout où il passerait... sur l'immensité d'une plage bleue entourée de fougères, une femme nue accouchant entre eux.

Non-LIEU /,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

BLEU-NEUWMAN.jpg

(BARTH NEWMAN)

11264« Born in the Wild » montrent des femmes qui donnent le jour seules dans la forêt.Photo Getty Images

Toujours plus DE VIE EN NATURE NUE...........

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9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 22:00

Toute nature humaine recherche son reflet où l'amour divin forme un lieu où la sérénité repose.

C'est là quand le feu du sentiment ne s'éteint jamais sans que personne ne sache où le trouver.

En toute saison, à toute époque, et par tous les temps, à sa juste mesure, nous en cherchons ce qui a été

dans ce qui sera de ce que présentement s'émiette le jamais passé.

Toute nature humaine en toute nature céleste animale ou florale... et la meilleure pour être marginale.

Toute nature en la main du Régisseur cosmique.

Car toute beauté ne commande pas à l'Univers de la forger comme telle. Toute vie éclose.

Toute vie morose. Toute vie : - égale.

Où se meurt le passé, s'épanouit l'instant.

Juste ça : être juste.   - Z A Z E N -            B

 

Improvisation sur aurore

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7 juin 2014 6 07 /06 /juin /2014 22:00

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Sors de ton lit. Prends tes douleurs, tes failles narcissiques. Va suivre l'hirondelle qui ne fait plus le printemps. Au bord de l'océan, va écouter le chant des vagues et des oiseaux de mer. Le pullulement des mauvaises pensées sont les mercuriales des maux psychosomatiques et / ou purement physiques, au composite dream de la femme mère/mer intérieure de chacun-chacune. Que fait la lune du soleil, en toutes nos nuits, à travers nos corps endormis, que fait-elle, la lune ?..

Cause-t-elle nos bactéries inconscientes, la lune ? Le Destin subit est une douleur atroce et durable, à quand, le jour où l'on choisira soi-même tel espace de vie et tel lieu d'amour et tel autre à aimer ? Et non plus devoir à tout prix vivre dans le survivre, un surnuméraire de la mort à petit feu jusqu'à fermer les yeux sur tout ce dont on n'a rien vécu de "pleine conscience" !!!

Ouvre grand ton esprit à la pureté céleste, ton corps en sera d'autant plus guéri (gai ri) - Oublie ton "nu", défragmente-toi de tout ton corps, implose spirituellement, forge ton propre ciel, dissolve les grisailles anciennes. 

La mouette silencieuse observe au bout du toit d'où elle se dresse, observe tout d'une aisance princière, jusqu'à avancer de quelques petits pas à l'autre extrémité du toit sur qui elle avait pris l'assise de Bouddha, puis d'un envol, elle se désintéresse de son propre domaine de sécurité, soustraite à celui-ci pour tout un espace méconnu en qui elle met toute sa foi en le ciel !... En le corps du ciel.

Elle s'est démise de son engourdissement quand bien même princier, statuaire, et sortie de son corps lourd, elle s'allège en le vide, à la force de ses ailes par la force cosmique en qui elle se donna, entière et nue, sans corps quasi.

Ainsi l'homme nu annonce à son rêve : - Je me suis défait de ma mal-à-dire, je me suis démis des fonctions laxatives pour des volontés roboratives, j'ai démissionné de toutes mes lourdeurs psycho-soma-tiques et tocs.

Tendre vers le ciel et son pouvoir de "guérison", c'est la défragmentation de toutes nos nudités, hors statut et  loi hémorragiques ! Ainsi la démocratie sera-t-elle toujours libre, hors ses maladifs assujettissements.

La mouette mit sa puissance "phallique" dans tout son envol, délaissant la pesanteur du toit qui la retenait ; à son image, que votre nu "bande" vers tout l'effort de vous sortir du marasme dans lequel vous pouvez être. Sortez de votre "nu" !

Rêvez l'Ailleurs Ô vous tous, Gaspard de la nuit !...

- Vous faîtes quoi dans la vie, vous ?

- Rien ... Absolument rien... Pourquoi, il faut faire quelque chose ?

- Non, mais....

Ecoutez-les tous   écoutez-LES bien ils sont en train de vivre ils ne sont pas là pour rien, LES ANGES....

Ils sont voix de réconfort en nos moments de lassitude, de tristesse et de douleur plusieurs.

Ah là ...secourir les coeurs peinés qui disent nos transes et nos tracas les plus sourds, ils sont  encore émerveillés de vivre où les quérir  où les aimer  où les quérir en vie pour tout à fait les comprendre  ils sont tous à milliers désespérés pour nous alors aussi aux aguets pour nous  ils sont là   pour vivre comme s'ils vivaient au-delà de nos soupirs  ne les abandonnez pas  ils sont tristes les anges  méconnaissables  étrangers mais en liberté : gais;...

Comme si nos tombes de nos délires à les tenir en haleine en corps si dilués pour nous les aimer tendrement pour les quérir quand nous pleurons  comme si pour eux nos tombes corporelles par nos âmes s'ouvraient...

- Ah, mais vous pleurez ?...

C'est la pluie de l'âme en larmes comme d'habitude qui me trahit, mais... Ils sont là ... Ils m'ont sauvé, vous entendez, ils m'ont sauvé... En toute liberté, vrai.... Ayez pitié, ayez souci... ils sont si attendris, qui a dit qu'ils étaient morts ou partis ?.. Ils sont si attendris, les anges sont contents, et attendris, ayez pour eux, attentifs, au gré de nos pleurs, là, ils sont si contents, ils sont si contents, et attendris, ils sont si contents et attendris, .... que nous n'avons pas le droit de les abandonner.... depuis nos cavités foetales d'où ils nous parlaient déjà, petits poings fermés et les yeux clos, le corps si recroquevillé dans sa nudité vulnérable et fragile, ils sont là encore, dans le mental brusqué par un monde fourbe, violent, méchant, cruel, et si peu angélique, si peu artistique, si peu .... humain !!!

Je ne pleure pas. C'est la pluie de mon âme .... Je ne fais plus rien, absolument plus rien...

Où sont le son de la voix flûtée et l'écho attendri ?.. Je suis, là, en ce dimanche .... si peu là, rien, ... mais humain.

Seul.

NU.

Où sont les ANGES.... ILS SONT DOUX.... Où sont les ANGES, ils me plaisent.... LES ANGES DE DEMAIN ET D'aujourd'hui si fragile, ils me parlent de ceux qui ne sont plus que pleurs en nos larmes de joie de les savoir si près de nous...

Où SONT LES ANGES.... ?.... A la nuit, le jour est moins vif ; ils m'ont dit tout ce que j'ai pu entendre, à vous l'écrire, là, nu, libre, seul, et sans travail aucun, je ne fais rien, je regarde les nuages, le vent, la pluie, et les ANGES.... Tout passe si bien, dans les espaces tranquilles, qu'aucune voix ne sait rien dire d'autre que : sans amour, on ne fait ni n'est....

R I E N.....

 

 

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