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12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 10:13
6, rue Victor Hugo face à "mon" Caspar David Friedrich !!!6, rue Victor Hugo face à "mon" Caspar David Friedrich !!!

6, rue Victor Hugo face à "mon" Caspar David Friedrich !!!

En arrivant ici, en le logement Hugolien, si je puis dire, la première chose que je vis est un "arbre" empli de "corbeaux" estivaux, de fait, je me mis à écrire L'Arbre aux corbeaux, un frère trouvant le titre fort admirablement choisi, et, tout en lui racontant le sujet de mon livre, je me mis à frsisonner, me souvenant qu'un titre éponyme avait été l'objet d'un tableau peu connu de Gaspar (Friedrich), le pauvre, mourant totalement inconnu, ...

Bigre ! exalté-je, à en biffer mon titre, devenu depuis autre... (que je ne puis révéler, ici, sur mon Blog-Journal intimiste & artistico-spirituel)

 

Embrasement de gris
Mer de ciel ce jour d'hui
dessus le mont Frugy
Ciel ! Partout ciel gris,
flot qui ne fatigue point les ombres
ni les ondes à l'inégale voix !
Nuages qui voyagent partout à la fois,
quand les poésies tombent d'elles-mêmes célestes
sur les stèles d'autrefois 
d'une Bretagne profonde !
Le ciel-souris couine à l'infini de l'horizon qu'il enserre
- Convient-il au rêveur d'aller faire la guerre
au soleil qu'il ne voit ?
- Que nenni ! - Il songe au souffle de l'étonnante absence !
Nonobstant, laissez-le croire, ici, en Kemper paysanne,
qu'il mesure la PAROLE au silence de Gloire !
Ca rend milliardaire d'être un poète dérisoire !
Rêve avec les cloportes ! Songe à ce gris de Giacometti
qui enrichit toute l'âme ! Passant !
C'est à la crèche que va l'éclair !
Il n'y a point d'or sur terre
comme il n'ait mieux rêve d'enfant 
ce lieu du cœur qui bat avec tout l'Univers 
à l'unisson des aboiements
comme d'avec les trilles joyeuses à peine entendues
ici et là, partout !

Le ballet d'oiseaux noirs tournoyait dans l'espace

- Qui vient là ? - Notre part du futur à voix présente : - Biface !

 

 

L'arbre aux corbeaux

Caspar David Friedrich, allemand (1774-1840)

Huile sur toile peinte vers 1822.
Dimensions : 59 x 73,7 cm. 
Musée du Louvre
Le chêne qui semble avoir subi les outrages du temps, enraciné dans un tumulus de l'époque des Huns, évoque la vanité de la gloire du héros païen qui y est enseveli. Les quelques feuilles mortes encore fixées aux branches noueuses, les souches aux formes menaçantes et la nuée d'oiseaux noirs sont autant de signes d'adversité et de mort. En revanche, le paysage qui se déploie à l'arrière-plan sous un ciel aux claires tonalités tranche par sa luminosité, symbolisant ainsi l'espoir de la vie éternelle. La côte représentée est celle de l'île de Rùgen, dans la mer Baltique, et la ville Arkona, patrie du peintre. De fait, Friedrich part toujours d'éléments réels qu'il charge ensuite d'un sens métaphysique, l'observation de la nature restant le point de départ obligé de la démarche de tout artiste de l'Allemagne romantique.
source : La peinture au Louvre, Réunion des Musées nationaux, 1992

Mise en page 2007 PYL · Les arbres

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11 décembre 2016 7 11 /12 /décembre /2016 08:37
Ne peignez pas un Condor dessus Guernica, vous obtiendriez La Crucifixion d' un Mystique Saura
  • Date: 
     
    1979
  • Technique: 
     
    Oil on canvas
  • Dimensions: 
     
    195 x 162 cm
  • Category:  
    Painting
  • Entry date: 
     
    1988
  • Observations: 
     
    Entry date: 1988 (from the redistribution of the Museo Español de Arte Contemporáneo [MEAC] collection) 
     

     

    SUIVI  DE / 

    Antonio Saura

    Crucifixion (Crucifixión), 1959–63

    Huile sur toile

    148,5 x 171 x 4 cm

    Guggenheim Bilbao Museoa

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10 décembre 2016 6 10 /12 /décembre /2016 19:09

C'est tout simple, parce qu'ils ne savent pas le lire (ou ne le lisent pas du tout), chère Lectrice, comme de ces chrétiens qui causent sans avoir feuilleté ne fût-ce qu'une Bible d'Etude, c q f d... de la simplicité... Ce n'est pas le Coran qui tue, ni Le Livre (biblique, s'entend), c'est toujours l'arme qui se trouve au bout du bras armé du tueur sans foi ni loi... Le Coran qui ne signifie pas Soumission , d'ailleurs on dit LE NOBLE CORAN , lequel est irréformable , il rappelle la lignée des prophètes Adam, Abraham, Noé, Moïse, Jésus qui ont tous transmis "la Parole", il est donc la Première "révélation" (en Hébreu), puis la seconde (en grec), et, troisième : en arabe.. Sauf la 9ème sourate, toute autre commence par "Le Clément, le Miséricordieux", croyez-vous que Dieu fasse la "guerre" ? Sitôt les premiers temps, Allâh (nom propre de Dieu, en arabe) S'est adressé à l'Humanité (il n'a donc pas fait un tri sélectif !) en envoyant comme dit : prophètes et messagers aux différents peuples de la Terre... Les chrétiens ont dit : sur cette "pierre" l'église fut élevée, Le Très-Haut a donc voulu que Sa dernière Révélation se fasse en arabe (Jésus lui-même parla araméen, puis hébreu.... dans un pays de langue grecque) La Parole de Dieu est universelle, donc accessible à l'ensemble de l'Humanité... Ceux qui déversent le sang périront par l'épée... Qu'avez-vous fait pour Dieu, aujourd'hui, d'âme Lectrice, c'est la question que je pose à tous ceux que je rencontre en chemin, croyant ou incroyant, arabe ou autre... "Nous ne t'avons envoyé à l'ensemble de l'humanité que pour porter l'annonce et donner l'alarme " (et non la larme...) Le Livre saint de l'Islam ne s'adresse pas à ceux qui veulent uniquement tuer, sans prôner l'amour des semblables, donc, il n'est de "soumis" que les faibles d'esprit. Si "dieu l'avait voulu il aurait fait des hommes une seule communauté" - 42,8 - Il convient d'avoir une posture d'attente devant l'Alpha et l'Omega de l'Arche, Houellebecq lui-même s'est trompé dans son titre très mal choisi... "Dès le berceau, il parlera aux hommes, et quand il sera adulte, Il sera parmi les justes" (non avec les tueurs : on ne tue pas au nom du Noble Coran ! pas plus qu'avec la Sainte Bible , d'ailleurs, la Saint-Barthélémy en est une horreur à mes yeux autant que le 11/9...et les attentats récents)... Le coran : l'abandon à Dieu, non "soumission" à ... du vent , et quand on dit "abandon", les bouddhistes prononcent "détachement", c'est dans ce sens qu'il convient d'accueillir au mieux une traduction, s'il doit y en avoir une, moi je prononce : corps-en-.. Dieu ! Cela ne m'effraie en rien !.. Soumis à , ça dénote une domination, un dominateur, un esclavage à un bourreau... Dieu n'est en rien un "bourreau"...

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10 décembre 2016 6 10 /12 /décembre /2016 09:33
Baiser Rouge aux doigts roses (d'Aurore)

Embrasse-moi, idiot ! Ou je te fais un p'tit Von Dongen (à moins que tu ne veuilles du semi-deuil à la Rothko, coût quelques 28 Millions de doll-Arts, poupée ?)

Je porte blouson bleu à intérieur rouge, sur pantalon et chaussures, chaussettes noirs ; suis en grand deuil et moindre, soit : bleu-rouge, et bleu-noir, violet...

Né à rien celui qui ne choisit que son mauvais côté 

tel hérétique d'alors était arien à Rome en barbare cité -

Baiser Rouge aux doigts roses (d'Aurore)
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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 05:18
jan wandelaar (in Bernardhus Siegfried Albinus), dessin d'après Nature

jan wandelaar (in Bernardhus Siegfried Albinus), dessin d'après Nature

Il y a ça de véritablement plausible, animal-humain, végétal-souffrant, jusqu'au minéral finissant de notre état de NATURE d'être, du plein vivant au dernier degré du finissant, passant de l'ombre à Lumière au-delà de nos structures du Lugubre, telles les apparences trompeuses des écoulements séculaires décodés ainsi :

XVIIème , signifiait le sombre

avant  Le clair-lumineux du XVIIIème, débouchant

sur autre Lugubre spleen du romantique XIXème,

lequel orchestra notre quelque peu mitigé si peu clair XXème , lequel présage le noir-sombre du nouveau mouvement inverse  du XXIème...graffitisé un peu partout sur nos murs en l'éphémère du Street Art, les débris des objets et décombres jetés ici et là servant à réparer poétiquement l'ornement des fissures et "accidents" naturels des immeubles de quartiers plus ou moins salis.

Dieu, c'est l'Artiste corrigeant tous nos destins...

Rien n'est dit aujourd'hui qui n'ait été dit jadis (Térence).

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7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 07:16
Aurore Boréale de l'Amram loin de Qumrân

Qu'as-tu perçu du nouveau jour depuis la vie intérieure quand on t'a dit : ah, ce fut ferme et charnu cet arc-peau de soleil d'hiver perle de rosée à lueur d'accalmie ombre divine qui étincelle dans le lit de la rivière rosie.... Où est la nuit, où se niche le jour, où, les rêves qui nous embrasent ? Qui a envie de surpasser l'espace-temps entre les deux rives de neige voit, d'un côté de la rivière, le soleil se coucher, de l'autre versant, il touche des yeux l'aurore, tout devient boréal en son être ... touché !

Alors... Il cherche à garder le sourire de bouddha, le zen a coeur d'enfant...

Tout en lui reprend soudain le bal des lueurs...  L'arc-en-ciel demeure.

La Bible, c'est de l'Hébreu : les structures ne sonnent qu'en consonnes, il n'y avait pas de voyelles, au temps Jadis de Qumrân ; à la découverte des Manuscrits, Rimbaud ne les avait pas encore coloriées, alors les textes ne chantaient pas tant, ils dynamitaient les esprits, déjà, ils étaient dangereux pour les deux civilisations face-à-face : Assyriens / Babyloniens... Yahvé contre autre Dieu, avant l'Exode ?... 
Foi de feu ! 
Quel acte sacrifi-ciel fit donc tonner l'entièreté du Monde ?..
"L'ordonnancement patriarcal du sexe et du désir" ?...
- Pardon, où pourrais-je trouver la source du secret ?
- Grotte n°4 à droite, au fond du Wadi !
- Et, qu'y a-t-il donc bien, là-bas, dis ?...
- Ô Voyageur, tu verras par toi-même les traces de L' amram, עַמְרָם, c'est-à-dire "peuple élevé" ...
- Holalala, j'y vais...

 
On passe d'un doute à l'espérance, ô comme tout le monde, puisque la vie est un métronome qui oscille entre bien (faire) et mal (faire), on est jamais totalement pur et sage et saint, car sinon on serait plus fort que dieu lui-même, il y a un "grain de folie" qui est en chaque être, rassurez-vous !  Gardez-le vous pour dit, conservez en vous ce petit "grain de folie"-là, c'est le début du nouvel âge qui conserve toute son innocence !
 

Fermez les yeux ce n'est guère pour les "bons dieux", tous ces jeux façon d'Ange, au palais des velours d'une "dame de cour", courez, buvez, chantez : la vie est belle ce matin, fermez les yeux, rêvez des meilleurs feux sur les pieux flamboyants des hautes cimes d'enfance fière et qui butine les rêveries antiques, de toutes nos prières hors de tout cantique, courez, buvez, chantez : rêvons à meilleurs lendemains ! Nous reviendrons d'ailleurs, de lointaine galaxie.... O vie, Amour et grâce, il était déjà longtemps au confluent de Kemper, le présent était déjà couronné de tant de légendes, fermez les yeux ce n'est guère pour vous, les ignobles messieurs, dames de même, à vilaine politique, ça tique, quoique poli, fermez les yeux, rêvez nonchalamment, non châle amant, venez, lisez, ouvrez les livres qui ne sont point bréviaires, courez, buvez, chantez : la vie est belle ce matin !... Tralala lala lala, loup louve, lou lou, pa lalala di lili, lo lé, fermez les yeux, ces jeux ne sont pas pour d'ignorants en mal... Il y avait feu jadis à la fin du bal, courez, vivez, et chantez : La vie est neuve , soudain !...

Aurore Boréale de l'Amram loin de Qumrân
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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:36
Le cheveu garde toujours le même mouvement bien que la vie elle-même en change souvent !

Le cheveu garde toujours le même mouvement bien que la vie elle-même en change souvent !

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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 13:11
Arcimboldo / Le bibliothécaire

Arcimboldo / Le bibliothécaire

Des petites gens consomment les quotidiens (journaux)...  Peu lisent les enseignes... Hameçons des lanternes et lampions, tout Locronan habillée des guirlandes de la Saint-Sylvestre !... Et, en moi, au crépusculaire de l'esprit, je rêvai à tous les livres reçus et lus, lors de ces fêtes de fin d'année, sans jamais voyager que dans les contours flous de l'imaginaire... Sur-le-champ, je sus m'évader chez les bouquinistes de la mémoire, au quartier général des idées d'un temps autre !... Au légendaire esprit des magiciens, je me vis, en moi-même, éclairé des Livres immuables, les incunables et les autres Contes des mers du Sud de mon Jack London, sans que je n'écoute le monde alentours... Seules les Bibliothèques Rouge & Or, et la Verte, ça me suffisait...  Comment lisent les autres gens, voyagent-ils en Galicie ou, comme en ma jeunesse, loin des revues et VDN (Voix du Nord), au large "de l'île escarpée de Pitcairn, qui fait partie de l'archipel océanien des Pomotou..., graine de Mac Coy, chapitre premier...dudit. On ne peste pas contre les pays visités des ouvrages Jadis !

 

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4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 07:06
A l’église Notre-Dame de la Nativité d’Armancourt (Oise, 60), les vitraux de Bertrand Créac’h

A l’église Notre-Dame de la Nativité d’Armancourt (Oise, 60), les vitraux de Bertrand Créac’h

Longtemps tranquille, un rossignol

Songeur à la fontaine des couleurs

Sommeil d'aucun vitrail - Le ciel se meurt -

Nul face-à-face mais vitrail pour l'envol !

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3 décembre 2016 6 03 /12 /décembre /2016 09:14
GAUGUIN / LA MAISON DU JOUIR

GAUGUIN / LA MAISON DU JOUIR

Soyez heureuse, mystérieuse !... "Soyez amoureuses, vous serez joyeuses"... orna GO au fronton de sa "Maison du Jouir"...polynésienne, aux Marquises (mal vu des autorités locales d'ailleurs,)

A savoir que  Dès son enfance, Paul Gauguin est pressenti comme un « crétin ou un génie ». Il deviendra un génie, mais, hélas, reconnu bien après sa mort....
 

Sur le poli du cercueil ou dans la propreté des flammes funéraires, au retour de l'amour, au-delà de la sur-poussière éternelle, La vie est un retour en arrière qui va de l'avant...  Est-ce vie mortelle qui nous revient par l'enfantement ou de garder par-devers soi sa part d'enfance réellement enfouie jusqu'au profondeur de l'hypothalamus ? 

Si la pomme eût été une banane, l' Histoire de l'Humanité eût-elle été changée de fond en comble, et autrement, et ailleurs, conçu, le berceau Africain ?

La vie est un retour à l'envers qui va de l'avant : - Ici on fait l'amour (the faruru), in Gauguin la Maison du Jouir -La vie est un retour à l'envers qui va de l'avant : - Ici on fait l'amour (the faruru), in Gauguin la Maison du Jouir -
La vie est un retour à l'envers qui va de l'avant : - Ici on fait l'amour (the faruru), in Gauguin la Maison du Jouir -
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