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25 juin 2017 7 25 /06 /juin /2017 06:53

I.E vaut mieux que l' E.I
(l'intelligence émotionnelle nous aide davantage que l'Etat Islamique, ça c'est sûr : - à l'écoute de l'autre, on gère mieux son corps émotionnel, lequel, nourri du non-verbal, développe créativité/spiritualité, et non la guerre des chefs et des clans séparatistes-fondamentalistes, lequel aussi s'améliore au quotidien en travaillant sur la manifestation (moins conflictuelle qu'un mai 68) des émotions dès l'apparition des premiers signes, positif/négatif, dès l'origine des humeurs, passagère et/ou contraire, à en faire ainsi extraire la cause primale, tel un cri d'alarme en notre être menacé, profond, menacé ou cajolé, selon le subtil langage de cette Intelligence Émotionnelle dont le corps est l'instrument principal, la peau-du-moi/je suis...)
Ecouter autrui, c'est s'efforcer de le comprendre (sans efforts, cela est paradoxal, je vous l'accorde), et, surtout d'être tolérant avec soi-m'aime (sans narcissisme exagéré) puisque la guerre constante de son E.I (contre son Etat Inintelligent ; contre soi) engendre de nombreux conflits internes, déclencheurs de maladies sourdes, voire cancer (quand sers-je ?) ou crise biliaire (je n'ai pas écouté mon désir profond, la bile se crispe la Foi - le foie a failli), toutes ces émotions négatives qui tuent, à la longue, le superbe ciel émotionnel, notre I.E (Inspiration Éternelle) -
BONNE JOURNEE, B. (I.E.B / Voix-e de réalisation qui permet d'atteindre ma propre nature ; L'Arc-en-ciel de Soi(e)...)

Le kyūdō de l'I.E (弓道, litt. « la voie de l'arc » Émotionnel)
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24 juin 2017 6 24 /06 /juin /2017 20:26

- Qui est dans la Pierre, Michel-Ange ?

La lampe sourde estudiantine
au point du soir du coin du jour
a retenu dans l'ombre de mes pensées
La seule lumière qui y dormait
L'étude encore
L'étude toujours
Mais vous savez de quoi parlaient
Les anges avec moi qui dansèrent
tout nus dans le silence de mon séjour
Et il n'y a point de glace où les reflets se perdent
L'haleine au souffle au gré de quelque place
où joue l'enfant solo avec ses jeux d'adulte
Les livres ont plus de trésors que ne contiennent les banques
Et les images dedans m'amènent en mille voyages
sans même bouger d'un pas nourri d'horizons sages
Qu'entendez-vous sur les mers quand il n'y a point de vent 
Et dans les forêts les arbres vous parlent-ils d'oiseaux
de nuages ou de chants
A l'absence d’Éole 
Alors qui a raison
Le poète enchaîné à ses pages de mots
ou le voyageur éreinté par monts et par vaux
qui en revient sans rien avoir vu du monde visité si vite
Le poète enchaîné 
L'errant de tout chemin
Lequel des deux semble meilleur humain
d'une vie réussie à ce qu'il faut la rendre demain
Lequel
Celui qui a des ailes
ou cet autre qui va
rebelle 
- Lequel ?
(ouvre ton cœur, et ne réponds pas....)

Questionnement du Soir d'été pluvieux
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24 juin 2017 6 24 /06 /juin /2017 06:57
DOUTER DU VENT SOCIAL
Douter du vent social
Etre : non-être
Ombre/Lumière
Rien
Ne pas croire en le savoir aveugle
Non-connaissance (nommer par négation, d'une théologie négative - sur/pris par le visage du
Ça : Beauté, Lucidité, Persona, Posture du masque et voilement d'un corps dont on ne voit que les yeux qui ne voient plus rien du monde, voiler c'est dénuder, monstration de ce qu'il ne faut pas voir, donc tout le contraire de ce qu'un voile tente d'imposer à l'autre qui ne s'érotiserait qu'à supposer "voir" en l'autre ce qu'il ne "montre" pas, jamais, si peu...)
Là où l'on est on est rien : - Fluidité de la vie.
Je cherche un moment qui sache dire l'autre entièrement, et dans toutes les Langues.
La Négritude n'est pas tout.
La blanchitude, en-corps moins.
Jaune, le Soleil répond aux ombres malheureuses de la nuit sans couleurs.
Vers l'ignorance. Contre tout langage établi.
Chacun va son chemin escarpé.
(Photo d'hier, Visible du Jour d'Huis (clos passage)...
Démarche : La nuit - Transfiguration - Etat de Vie - Paroles : absente, et celle qui divise - Plénitude - Miséricorde (cordes vocales misérables, miserabilis corda : Silencio !)
Écoutes : de son être intérieur, des non-dits de l'autre qui (se) parle, et qui ment pour dire "sa" vérité..., du rien et du tout rassemblés...)
Physicien-Métaphysicien-Poète-Philosophe : La Source dominatrice de la Lumière, et les ombres d'où elles découlent
Artistes en tout beurre qui fond dans l'infini
de l'oubli des Mémoires
Sans conscience d'être : L'idiot, n'être plus personne
(qui le montrerait d'un doigt accusateur, celui-là ?)
Les Prophètes sont des fous : états d'inconnaissance
(au s'âme dit des poètes qui s’encolèrent d'un monde sans conscience)
Ce qui fait événement ? Le non-pressenti.
La Joie était la pensée qui ne se connaît pas : - FUSION !
Avant que la confiance ne soit née d'une con-fusion...
L'intérieur du vide embouché de l'impasse du fond contient ce que l'extérieur exhibe à tout l'entour de soi...
ENFANCE : vertu d'être présent en l'ignorant destin.
Au-delà : Chant de l'oiseau matin.
L'ENFANCE et l'Idiot se répondent : c'est le maître-espace.
Source-Don-Image-Contre-don des langages
Louanges !
Méditation une : union avec le divin.
Battement d'ailes d'une colombe de paix dans les feuillaisons de l'arbre de nos pensées...

 

Le Poème passe par une colère
à refaire l'heure 
qui bat de l'air
pour apporter un peu de bonheur
à ce qui n'en a plus

L'oiseau de jour
a tué
le papillon de nuit
qui n'aimait
la lumière qui dansait
dans le ciel sans bruit

Above the rainbow out of there liveDe l'escalier d'avant

 

Alors même que je pouvais choisir de ne m'occuper plus de rien, à pouvoir croire qu'elle ne voulait plus me visiter la psyché, voici qu'à l'inspiration - malgré tout, je me disais que rien n'habite plus un écrivain que ce souffle venu d'ailleurs -, totalement bannie de mes pensées singulières, ordinaires, voire banales, voici que je pouvais lui dire : - je me livre entièrement à tes désirs d'après-midi, d'autant qu'il fait moins chaud, et que l'orage lointain menace, petite fine gouttelette expulsée d'un jet nuageux - jamais elle ne s'opposait le moindre fantasme ni rêve, ou ne cherchait à se dérober pour me quitter d'un trouble occasionnel ou de m'embarrasser d'un avis contraire - tant que vos bagages culturels ont poids de souvenirs, mon ami, je ne vous lâcherai les dispositions de naguère, quand bien même dussiez-vous trembler à la chose évoquée -, lors la voici à me certifier constant de la revoir dessous la chair du hâle et les nerfs des synapses, c'est ainsi - pourquoi lutter contre ce que l'inspiration ramène à la surface de l'empan du jour ?... J'en conclus, moi, qu'à vous transmettre d'elle quelques saynètes écrites tout à l'heure, elle ne se détacherait d'aucun lien me liant à Elle, l'inspiration née d'un trauma d'enfance, c'est sûr, au bord des laisses, sur le rivage, petits pieds menus dans les remous moussant... des jets de vaguelettes aux chevilles pommelés d'algues brunâtres et filets d'écume...
De sorte que, si incorrigible psyché, à refuser de lui promettre de m'amender d'un spasme, d'un élan d'envie, ou d'un possible lâcher-prise, à la pulsion m'en pardonnais, à l'émotion en poursuivis l'allant, et tandis que je m'obstinais à l'écouter vibrer en ma profondeur d'âme, elle se tourmentait tant et si bien de mon plaisir, qu'elle disparut... 
Fut-elle jalouse ? De qui, de quoi, serait jalouse une Inspiration ? D'un réel conclu ?... D'un regard autre tourné vers la paix intérieure, à la voir mourir à jamais ?...
Elle en mourut. 
Pour mieux renaître, même si j'avais d'elle disparu, moi-même, elle en mourut, puis en revint...
Alors seulement je fus au fait, et compris la perverse cruauté de son Jeu de houle...
Cooollll ! Cool, ne coule pas ! Allume ta bougie, et tiens ta bougie, ... droite !
Écris en-corps !...
Je te suis...

 

DOUTER DU VENT SOCIAL
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22 juin 2017 4 22 /06 /juin /2017 08:36

sultats visuellement similaires

Aux jours les heures s'ajoutaient, sans qu'il fût un moment célébré plus qu'un autre. On se divertit comme bon nous semble, et à le pouvoir, on l'oublie dès le lendemain. Combien en ce monde il est des gens heureux en un seul tenant sans ruminer de sombres pensées ? En nos temps on ne chante aucune louange durable, à ne servir de souverain que rien... -, sauf de temps à autre, aux soins les plus attentifs de nos dons - ce service intérieur de soi qui serait "souverain", gardait, sous le bien naturel, l'être entier, qui n'est pas le cerveau, dès la plus tendre enfance (curieux qu'on dit "tendre" cette part d'enfance), mais bel et bien, à cet instant même, il nous arriverait encore de la revivre toute et une, cette zone neutre, innocente, pure. L'enfance.
De beauté comparable à celle de la Nature.
Eau Zen d'Eden...
Là. On nageait tous dans le Bonheur total.
Yin-Yang en UN.

FILER LA MÉTAPHORE...,

Dis : y est - Die - dis, hi hi, yeah - Di-y-y est...DIE...
Eleison quant à garder nos âmes....
Naturellement d'ici...
Laissez-nous en délivrer...
pour y croire avec...
Die dis y est !... Claire eau douce de l'esprit !!! 
 D I E .... E L E I S O N.....

Farine d'orge (plutôt souple)
avec des céréales
- Un Viking !
(Voici monsieur le client, merci lycéenne-la boulangère en stage d'été)...
Que personne ne croie désormais à l'abri 
(nous sommes en tant de guerre, les Présidents ont dit)...
en sûreté (quand il est question de combattre la faim en justifiant de ses moyens, mieux que de se servir d'armes apostoliques)
afin qu'un beau matin remporter la victoire (sur soi-même, déjà,
pour gagner sur les vilenies, gabegies d'autrui)
et de jouir d'une paix sans trouble, aussi souple qu'Un Viking au palais sui generis, au sortir d'une Boulangerie bretonne... ou sont "enrôlées" les jeunes lycéennes, en période d'essai ou de remplacement estival (songeant aux mesquines chouanneries d'antan)...
Sur ces paroles de l'Apôtre, reprises par Plotin, Saint-Augustin nous murmure à l'oreille interne : - "Je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux pas" - est-ce humainement curieux, ça ?...
Aucune vie d'un homme juste n'est donc un triomphe !...
- Et, avec ceci ?..
- Quoi ?..Euh, pardon, ça sera tout, mad'mzelle la boulangère, excusez, je rêvais encore...
(Rêver en corps, c'est ne pas être dans le présent du sien...
Pourquoi se plaint-on donc de la répugnance au Bien ?...
Bayrou lui-même vient de sortir des clous, lui qui vantait tant l'équité...Quoi, on ne devrait donc plus voter pour personne, si c'est dans la nature universelle que d'user des eaux de basse-fosse de son inclination au mal ? Maintenant quel cri de guerre lasse, sans relire Sagan ?..."Je vois dans mes membres une autre loi qui est contraire à la loi de mon esprit, et m'assujettit à la loi de la concupiscence " - biens immobiliers pour Ferrand, pour le maire palois des soupçons de conflits d'intérêt ?.. - " qui est dans mes membres...")
- Fait moins chaud, aujourd'hui, c'est plus supportable !
- Oh oui, ai quitté Avignon, ce n'est pas pour retrouver 40°c en Bretagne sud !... Et factus est et pace locus egus...
- Ah ça j'ai pas, c'est quel pain ça ?
- Le Pain du Christ, enfin du Saint-Esprit, psaume 75,3 : "Dieu Jugera le Monde " - viens visiter ces lieux (d'humanité) qui sont toujours en ruine"... (à Rome, j'ai vu ça.., le Vivant près des voûtes mortifères),.../... au jour que j'aurais fixé... lorsque viendra le moment que j'aurai fixé (a dit L’Éternel ..." - à qui , au fait, a-t-il dit ça, et pour qui, si personne n'écoute que Mammon, dieu du fric au point que d'avoir beaucoup, ben, on en veut encore davantage, jusqu'à ruiner l'ensemble, à l'appel d'un Jugement (dernier ?)...
Mais il s'entend les chants de triomphe uniquement quand notre corps mortel sera d'immortalité ! (on le sait, pourtant, no ?)...
What about it, what about that ?

Eau Zen d'Eden (What about it, what about that ?)
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17 juin 2017 6 17 /06 /juin /2017 15:12

Résultat de recherche d'images pour "klee portrait of miss p in th" KLEE /

PORTRAIT OF MISS P. IN THE SOUTH

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15 juin 2017 4 15 /06 /juin /2017 05:03

Des feuilles peintes de bruine
font ciel calligraphique Quimpérois
Support des images
à leur gré beaux nuages
Raffinement de l'arrière-ciel breton
qui creuse l'intérêt des rouleaux cotonneux
Intime contemplation
de cette version
moderne de l’empan du Jour qui se lève
dès lors que l'éclaircie
qui des vents l'éveille
à ne laisser la nuit
transmuée 
quand lune enfin se coucha
sans jamais avoir été
vue de moi
au séjour de la fenêtre des rêves
déjà des nues 
dévêtus
(et, pour la rechercher
- s'il était un mécontent de moi -
du moins pris-je peine à questionner
les ombres d'un truchement
- toute beauté comparable à celle des défunts
qui vous viennent frôler la tempe en souriant -
Livre posé plus bas sur l'oreiller des songes
à nouer les fils d'or à mes cheveux défaits
pour toute la journée 
commençant à peine bien qu'affadie
j'engageai aux premières écritures-ci
le lien d'avec la vie nouée de Poésie 
- Marbre-balai du ciel - )

Nul ne sait vraiment conclure que d'un profond soupir

 Lien d'avec la vie nouée de Poésie  - Marbre-balai du ciel -
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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 05:36

Non point bretonnes, les côtes islandaises...Mais l'envol dessus les marées du Fulmar Glacialis...dit "arctique", il capte notre aisance à se glisser dans le sublime naturel... des danses de l'esprit dessus nos vides mouvants...

Slowly-slowly-slowly   (vu / écouté sur Lille Piano (s) Festival, avant hier....en compagnie de Cassadessus....en la salle de l'Opéra du Nouveau Siècle) - Music is god, my love  (CHASSOL)

Envol de Chassol la mouette musicale dessus le sable noir de l'Humeur sombre humaine

Quand on enseigne qu'il faut réduire sa fascination pour les choses de cette vie, cela ne veut pas dire que l'on doit renoncer totalement à ces dernières, mais qu'il faut se garder de la tendance naturelle à passer de l'exaltation à la dépression au gré des hauts et des bas de l'existence, de sauter de joie dès que l'on réalise un gain, ou d'être prêt à se jeter par la fenêtre si l'on n'obtient pas ce que l'on veut à tout prix. Être moins préoccupé par les affaires de cette vie signifie garder un esprit vaste et stable face aux aléas de l'existence.

Enseignements oraux donnés à Schvenedingen en Allemagne, 1998. Traduction de l'auteur.

FOURTEENTH DALAI LAMA, TENZIN GYATSO (b. 1936)

 

Fulmar Glacialis, Chassol en vol musical dessus Falaises et sable noir de Dyrholaey, islande 2014 (M. R)
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12 juin 2017 1 12 /06 /juin /2017 08:22
Photo : M.R

Photo : M.R

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30 mai 2017 2 30 /05 /mai /2017 08:03
QI... ROMA / VILLA MEDICIS

 Il n'y a de famille heureuse que lorsqu'une mère est saine, et élève ses /son enfant(s), à ne pas lui/leur inoculer de la poisse et de la haine, car sinon, ce ne sera que des gens porteurs de haine et de poisse qu'ils attireront - qu'il attirera -..à lui, ces types de personne, en manque d'amour eux-mêmes ou jalouses perverses narcissiques qui ne jouissent que de voir tomber ceux qui ont ce qui leur manque, à les acheter en disant que c'est de l'amour, or que ce n'est qu'une forme malfaisante de folie non gérée, non soignée, non assimilée, en tout cas, ce n'est pas de l'amour qu'ils ont à donner/offrir, puisqu'on ne peut donner que ce qu'on "possède" soi (à s'aimer d'abord soi-même) pour ne pas "posséder" psychologiquement autrui jusqu'à lui siphonner toute l'énergie absente d'eux, à les phagocyter, les réduire à quia...et, de s'en ré-jouir (ils n'aiment qu'en faisant du mal à l'autre, qu'ils voient en peine afin de leur dire : "vois, je t'aime").. De plus, donner jusqu'à la mort, c'est le seul amour qui convient.... à Dieu.... Donc. Rarissime toute personne qui s'efface entièrement devant un(e)tel(le) qu'il aime vrai-ment... Car on pense à autrui qu'on aime avant de se placer en avant d'un "je t'aime" qui s'aime/sonne faux ; à relire Barthes, on devine déjà que "les sentiments amoureux" sont quasi peu naturels. Fragmentés... D'un discours hachuré, et celui du Lundi ne ressemblant déjà pas à celui du lendemain, du surlendemain, etc... Comment s'y retrouver dans un tel défaut (des faux) d'amour ?... Alors qu'une fois donnée sa "parole" d'amour, on ne devrait jamais revenir dessus !.. Bref, l'amour est mot si simple, qu'il en devient humainement maux bien compliqués (pour chacun des partenaires, chacun n'était pas "seul avec ce "je t'aime", mais porteur de toute une histoire familliale de haine / amour, ça fait beaucoup de monde à contenter !!! ... On ne constate ainsi d'une femme qu'elle aime, qu'à la façon qu'elle a de vous embrasser, de vous "étreindre" dans ses bras (il y a "bras" dans em-bras-ser), à défaut de quoi, ce n'est rien qu'à peine une petite amitié, si peu Amistat (amitié amoureuse, que j'appelle ça), pas même de l'Eros, mais du Pathos, pas davantage Philia que Porneia, guère moins le Storge qui est toute tendresse (douceur et tension ) : de tendre vers l'autre, être attentif, fort attentionné sans "calcul" de sentiment de retour, tant l'amour se donne gratuitement et sans attente du même, et, guère moins cela que si peu Charis ou Agapé, ce dernier : seul amour qui vaille, puisqu'entièrement tourné vers Dieu, le seul Etre entier qui ne vous trahit jamais - étant donné que c'est un amour éternel, de l'amour divin des mystiques, car il est don - de soi -, en une seule part in-con-ditionnel.. jamais semblable à ce premier amour d'une mère possessive, narcissique, castratrice qui vous aurait dit : bon, si tu me fais ceci dans l'heure, je t'aime... Et, d'avoir mal fait ce qu'elle attendait, allant vers elle quêter ce baiser d'amour, voilà qu'elle vous gifle d'un "mal fait, recommence" !.. Mère, ou père, ou les deux, d'ailleurs, bien évidemment. Votre amour dépendra-t-il ainsi de la façon que votre surmoi (l'image de l'amour de vos deux parents) aura reçu l'attendu ou "manque narcissique" : d'un narcissisme de vie dépend le narcissisme de mort...m'est humblement avis. Je te hais-me... ou je t'aime tel que tu m'apparais ?.. Je t'aime tel que tu es ou tel que tuer ? Ceci, bonne journée ... amoureuse, de vos côtés merveilleux à tous & toutes !

QI... ROMA / VILLA MEDICIS
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29 mai 2017 1 29 /05 /mai /2017 14:57
Une bonne mère saine et qui élève ses enfants donne une "famille heureuse", sinon : non (à mauvaise mère, mauvaise femme)

Une bonne mère saine et qui élève ses enfants donne une "famille heureuse", sinon : non (à mauvaise mère, mauvaise femme)

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