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27 mai 2018 7 27 /05 /mai /2018 17:53

Fête des mères ?
- Ô Mam, Ô Mam,...
Freud clame :
"Celui qui est aimé par sa mère sera un conquistador..."
(je cherche en-corps)
- Dis, Mam, dis Mam,
Qu'est-ce que les voix profondes de la nuit me déclarent ?
Je dormais
(ai-je dormi 
en plein jour, comme de nuit ?)
Puis me réveillai-je d'un sommeil si profond ?
Si profond le monde qu'il n'y semble matrice...éclairante...
Et plus profond que le jour peut saisir voix démente...
- Qu'ai-je bien entendu venir de si profond ?
Ô Mam, Ô Mam...
En quelle profondeur songe la voix du cœur ?
Joie plus profonde que n'importe quelle peine...
Ni que vive douleur sincère...
Ö Mam, Ô Mam...
Malheur dit au-delà du malheur d'être enfui !

Qu'enfantent bien les rêves d'être un jour fêtée : mère ?

Etre digne d'éloge vaut mieux que d'être loué (Syrus).

PS / Suspension/fermeture de la maternité de Chateaudun (par mesure administrative) : allez donc accoucher à Chartres ou à Orléans, tamponna le ou la Ministre de la Santé ! C'est estampillé, dès ce mi-nuit : maternité fermée.

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27 mai 2018 7 27 /05 /mai /2018 04:44

CLIN D’ŒIL aux Impedimenta qui vous empêchent en tous points d'exister librement, sans précipitation (à Truffaut aux constructions strictes, on lui reprochait : trop littéraires, vos Mistons, trop romancés vos "400 coups" - aux problèmes d'identité/paternité, tel à Clouzot : trop compliqué, trop écrit - votre Enfer, votre Corbeau...bref, suite de l'amour à vingt ans, baisers volés (trop égoïstes, les jeux d'Eustache de J.P Léaud/Doisnel et Lonsdale, trop de mimétisme à la Godard ?), ceux qui dégainent le sabre de l'injustice oublient qu'ils seront tués par lui) :
Ne vous plaignez pas des maux dont vous souffrez : "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse" (Vigny).
Idem à l'éditeur qui vous refuserait pour une aberration injustifiée : 
"Bonjour cher écrivain

J'ai lu en grande partie votre texte. Il y a trop de choses, trop de mots, de métaphores pour moi. Cela dit, sans juger de la qualité de votre écriture et de sa nécessité. Trop fort.

J'espère donc que vous trouverez meilleur accueil ailleurs.

Bien à vous, P TD " (ce qui équivaudrait à un : bon, tchao Pantin, bye, ptiot !)

Pis que pendre à cet ingrat, l’Écrivain lui rétorquerait à ce grand décor-homme, qui aurait son dernier quart d'heure :

Bien le bonjour, cher éditeur,

Amusant cela que ce "trop" de mots pour trop de maux, peut-être.
Vrai alors ?
Il y aura bientôt plus de créateurs/écrivains que de population mondiale ?
Cependant, vous m'en flattez, d'une mesure autre, et certaine, car à MOZART, on lui rétorqua, Salieri-le-jaloux en premier : trop de notes !

Pour Joyce, l'essentiel fut "le travail", lui-même en multiples confusions de langages... Pour Proust, mazette : trois pages forment une seule ligne,Gide lui envoya ce mot : illisible...
Mille pages de Correspondances intimes pour les Mitterrand/A.Pingeot & actuellement, Camus/M.Casarès... : trop de sentiments ? trop d'amour, et de mot/maux d'amour ?

Deux fois, vous me flattez... Respect d'auteur !

Ma foi est égale à celle de Laforgue, pour ce qui est de cette poétique soulevée, relevée... en ma petite défense de la littérature.

Quand le vain (vin d'avant) est tiré, il faut le voir (ou le boire)... Du Daudet révisé.

Oui, premier éditeur soulignant mon trop de mots alors qu' Ulysses contient deux tomes, Le Voyage Célinien autant de pleins que de creux (ou vides), Homère à L’Iliade/L'Odyssée bien plus de schèmes/thèmes que ma petite littérature soumise à ce point que le nom d'enseigne de votre "maison" convenait bien pour la définir...

Et, du pays Kafkaien d'où je reviens,
si tragique d'un côté révolutionnaire,
si posthume qu'il voulut tout brûler-jeter,
si paradoxal qu'il en fut tout radical,
si marginal, si pathétique, que rien ne lui était que bris, brisure, altération autant que "verdict à colonie pénitentiaire", donc souterrain,
amusant oui qu'un bon éditeur dise à un écrivain (en herbe), pour motif d'un refus : trop de mots...
Ah, Muse - en ?... Oui, fort amusant ! Bizarre que la matière d'un écrivain, les mots/maux, à meilleure forme intellectuelle, lui soit ainsi si reprochée mielleusement, sa "nuit américaine",
idem à un fieffé du bâtiment, le patron dirait : trop de ciment, trop d'équilibre à vous positionner sur l'échelle (acteur, cinéaste ont leurs angoisses & difficulté d'âme)...

Grand merci monsieur l'éditeur, votre rejet rajoute à mon exil part d'une paresse - vérité effective de l'homme, autant que oisiveté d'un éloge à la Russel duquel j'ai prénom idoine.
- ah oui, aussi :
je croyais qu'un manus christus ne pouvait jamais être d'emblée un livre réussi en sa totalité, et que c'est pour cette raison qu'il y a des correcteurs chez les bonnes maisons d'édition, et qu'un éditeur-travaillait main-dans-la main avec ce qu'un auteur lui apporte en filigrane d'une échine d'un an, ou trois..
Mais je veille au grain, Je veille au grain, de moi-même, un soir,
que l'orage pût s'annoncer à l'Humanité finissante, 
suite au finir de la Littérature dès 1960

Votre dilettante, et néanmoins lecteur de vos collections (qui comportent pourtant autant de glyphes que mien ouvrage soumis),
Bien à votre continu-homme éditorial, P TD !
Je retourne à ma rivière "américaine".... Clap de non-fin !
Puisque l'échec vous booste à l'année quand une "réussite" n'est qu'une joie éphémère d'un jour tout au plus.
Pépin lui-même publia son éloge de l'échec... par trop de... "vertus" ?
Reste qu'un "homme marche dans la ville"... B. LE RENTRAYEUR  * (à se construire un monde où il se fait roi, déçu par ce monde-réel qui le bloque, tel fait en sa forteresse celui de Citizen Kane) ; le progrès est dérisoire...face à la Créativité même !

 

La pensée semble être tirée vers le bas...

Quid du Bien, du Beau, du sublime ?

 

 

 

 

* rentrayeur, selon Littré /...Ouvrier, ouvrière qui, dans les manufactures de drapier, répare les pièces d'étoffes qui ont reçu pendant les apprêts quelques déchirures.

 

 

 

 

 

LES SALADES DE L'ART-MORT (éditeur-écrivain se démolissent aussi vite qu'ils se séduisent !)
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24 mai 2018 4 24 /05 /mai /2018 05:21

Retour dans le sanctuaire
de Quimper
sous le vocable de ...Bruine
Confusion des ciels en soleil mêlés de dentelle de pluie bretonne, crachin ou chagrin ?
Voile de l'amer, voici pesante nappe
Autant houle profonde de l'océan invisible
ici même désigné
Aiguillon de tourment de la mouvante écume
de nos pensées troublées
Voilà notre existence à l’œil de l'esprit qui s'échappe
dès l'étoile du matin - tout éveil à la nuit 
inaccessible peine au creux des heures si faibles
- Cessez, mélancolie,
coulez les tranquilles ténèbres naturelles,
ciels, cessez, coulez, quoi d'autre en notre végétative vie,
qui flotte au lointain remué de la Nue... ?
Quoi, quoi ?
Voici que nous allons vers notre Liberté !
Cessez, bruinez, déchirez vos dentelles de pluie...
Soyez...Nue ! Beauté nue, ciels bleu-outremer sans l'amer...
Suspendez le temps dans l'espace ininterrompu...
Nous venons au-devant de vous quêter meilleur insolite doux.

Il y a de ça....

RETOUR KEMPER SUITE A PRAHA (Il y a de ça....)
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22 mai 2018 2 22 /05 /mai /2018 19:44

D'une congestion pulmonaire, le grand souffle de l'esprit Français s'éteindra, le jour de la Sainte Juliette, étonnant ! Ad Deo Ad Deum - de Dieu à Dieu, il croyait à Dieu, sans être jamais d'aucune église, si bien qu'au jour de sa mort, le cerceuil passera devant Notre-Dame sans y entrer non plus...

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22 mai 2018 2 22 /05 /mai /2018 13:48
POYA, c'est la fête à Bouddha

Le Frère François me rappelle que c'est l'anniversaire de Bouddha, fête à Bouddha, Poya c'est.

So you don't think your may back to joy ; you're open to it.

Cœur ouvert à la Joie même loin, surtout que le coryza n'est point mortel, même le rhume des foins, d'où besoin du pollen, car si meurt l'abeille, si toutes les ruches n'étaient plus, alors l'on sait l'humanité viable sur seulement quatre petites années ; toute godria demeure par ailleurs, puisqu'il est toujours là, Lui, l'apôtre du Christ, Paul, sur notre chemin de Damas il peut nous éclairer autant que le sourire de Bouddha rivalise de paix avec celui de la Joconde !

Joie, il y a encore des pollinisations, de fleur en fleur, l'abeille butine.

Joie, les fleurs s'ouvrent, c'est le joli mois de Mai, mois de pleine lune, anniversaire de Bouddha.

Par l'aveu de Jean-Jacques Servan-Schreiber, "la science progresse désormais à la vitesse de la lumière tandis que Sagesse et bon sens n'ont guère avancé en cinq siècles", c'est dire que la réflexion méditative aide à l'allant de l'éloge de la Lenteur dans un monde virtuel des hyperconectés (de 50 à 200 connexions Jour/nuit), qui, actant, en définitive, sont plus isolés et seuls que jamais, un moine en 9 mètres carrés plus heureux en solitude, Orchidée de sa plénitude, que nul autre car d'être déconnecté, en réalité, nous re-connecte au...Cosmos, à la beauté des choses, à la Nature entière (je viens encore de l'expérimenter, sept jours à Praha, sans ordinateur aucun...,)

Prague aux reflets de sa Moldau surlignant Leçon de SHECHEN GYALTSAP (1871-1926)

Les qualités de l'Éveil, quant à elles, sont inhérentes à la conscience mais peuvent longtemps rester imperceptibles. La nature ultime de l'esprit, la vacuité douée de toutes les qualités suprêmes de l'Éveil, est donc toujours présente en nous, mais demeure latente aussi longtemps que nous ne l'avons pas découverte et que nous ne nous sommes pas familiarisés avec elle.

Extraits de rdo rje theg pa'i thun mong gi sngon 'gro spyi la sbyor chog pa'i khrid yig kun mkhyen zhal lung rnam grol shing rta, (Le Chariot de la complète libération, transmission orale des omniscients, instructions applicables à toutes les pratiques préliminaires du Véhicule Adamantin), vol. 7 de "Collected works of zhe chen rgyal tshab padma rnam rgyal," Paro, Dilgo Khyentsé Rinpoché, 1975 à 1994, p. 361

Joie, que de le ça-voir, à relecture du même.

Poya, entre montagne et mer. 

Le ZEN, c'est le désordre dans l'ordre - des choses, et du temps de l'impermanence car il n'y a qu'une chose qui ne change, c'est justement L'impermanence !

Poya (Bouddhisme)

En corée du Sud, ce jour :  Le 8e jour du 4e mois lunaire, les bouddhistes fêtent la naissance de Bouddha. Les temples et leurs abords sont décorés avec des lanternes de papier multicolores en forme de lotus. Les lanternes sont portées au cours de grandes parades. 

Ce jour est appelé 부처님 오신 날 (Bucheonim osin nal) qui signifie le jour de la venue de Bouddha ou Seokka Tanshin-il, soit le jour de la naissance de Bouddha. POYA !!!

Poya Bouddha !

 

 

 

 

POYA, c'est la fête à Bouddha
POYA, c'est la fête à Bouddha
POYA, c'est la fête à Bouddha
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10 mai 2018 4 10 /05 /mai /2018 06:20
ENVOL POUR PRAGUE / ET, SURFER SUR LA VAGUE (des émotions, des Cent Clochers)

Le grand nettoyage est fait
Départ de la page FB.
- Envol pour Praha/Prague
Et, surfer sur la VAGUE

(des émotions, des cent Clochers

Kafka-Rilke en poésie ajoutée !)

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7 mai 2018 1 07 /05 /mai /2018 16:22

D'un intérieur flou
trouver la Lumière en soi
Telle Bretagne éclairée
par un ciel douteux

Quiconque ouvre un livre y peut toucher sa mort
Qui écrit aura sa plaie ;
Taire, ou publier, s'oublier,
qui vitupère, mords -
Celui qui rompt, l'a fait !

INTÉRIEUR FLOU DANS UN MONDE FLOTTANT
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6 mai 2018 7 06 /05 /mai /2018 06:30
BERTRAND DELPORTE, à l'instant....Blancheur Mystique
Bertrand Delporte, deuxième cas n'a pas d'orge et...

Quiconque ouvre un livre y peut toucher sa mort
Qui écrit aura sa plaie ;
Taire, ou publier, s'oublier,
qui vitupère, mords -
Celui qui rompt, l'a fait !

 

Blancheur Mystique
(sans vertige de la "page blanche"
ou de l'écran "blanc" pour l'écrivain se levant
du Levant à l'Orient de son petit moderne-"tragique")

Spiritualité accessible à tout un chacun, tout autre monde

BERTRAND DELPORTE, à l'instant....Blancheur Mystique
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5 mai 2018 6 05 /05 /mai /2018 06:04

Prise page au hasard
Prière pieuse
La science infuse des grands silences de l'Art
Mascaret de la conquête du Vivant
Souffle sur mon âme la sagesse du vent
tournoyant
Vent tournant du mourir-hier
afin de vivre mieux Présent
chaque jour au jour la nuit faisant
que c'est magie de l'Univers
de redonner vigueur à ce qui n'en avait plus
Certainement ça ne manquera pas de piment
au renouveau du gynécée 
Sérail de l'ennui Corail
du fond de Soi
tout essaim de beautés dans le noir de la Nuit
telle aromathérapie réveille tout les sens
d'un corps endormi de longtemps !

Où donc est la Vérité divine ?

Elle est déjà avec toi !  Eloge du spongieux silence
(ne quittez pas trop vite, si vous l'écoutez,
c'est ...un monde flottant, tel un haïku charmant,
musical, soyez...."patient", cultivez la lenteur !)

Ce fut vite fait 
un air de flûte..
au frais, au fait,
coin très tranquille 
sur les quais
à découvert...
p'tite Lucille ! 

Un tel matin il fut le soir
(du moins, dans mon histoire
perso, à cette année-là, dans le noir) 

Etrange qui plus est : 
on rougit de l'offense qu'on reçoit, 
et jamais de celle qu'on commet,
soi ! Etre ; Ange.... Inter-Mission...
De même, qui touche au corps
retire toute mal-à-dits par l'attention
où rien ne dort car si on soigne le mal par le mal
remédie-t-on à la beauté par plus que nue beauté ?
Privée du "bonheur" de séduire, que serait l'humanité ?
Untel vieillard peut-il déceler l'art d'une femme qui ne la montrerait, ou de bonne civilité, tel autre mâle ?
Subject : no regret no rejection 

- Curieux qu'on se promette toute la vie de (se) rechercher Le bonheur, certain de l'atteindre, jusqu'à même l'extinction du "dernier homme", comme si le bonheur (nous) fuyait sitôt entraperçu, ça et là... Est-ce condition humaine de nourrir des illusions (fussent-elles perdues), afin de gagner cette ataraxie, absence de tout trouble et de toute douleur, cette fameuse "tranquillité d'âme" qui donc aurait peur de vivre à "se cogner au réel" inévitable, ou expressément provoqué, pour éviter de sombrer dans l'ennui de nos plates habitudes, à Paris signifiées par : métro-boulot-dodo ; ici, ailleurs : bonne fatigue sitôt rentré d'un travail exténuant, parti à 7h le mat'..., rentré à 23 H, une mère à la retraite obligée de faire le ménage, de passer l'aspirateur, pour aider au soulagement habituel ? 

Vivez à fond
l'expérience virile... :
- Soyez une féminine
Queen of your stone âge !
Au temps des cerises
rien ne se perd en l'humain...
sous ciel de la Vérité-Une ;
vérifiant qu'il ne manque rien
enlevé le Tout !
Le soleil prit de la hauteur
en le ciel des auteurs...
Quiconque fait régner la paix
ordonne la Justice
femmes de bien autant que vrais
hommes de dieu
dévoués à la cause du Juste
organisant toute cité du bon-heur
par la Voie menant à multiplication heureuse
de cette "Vérité qui fait épanouir
l'Amour et la charité Yin-Yang entre les Hommes"...
Loin de toute obstination butée qui pousse le fondamentaliste
a vouloir par orgueil braver un "péril" sans "nécessité réelle"
Loin de même toute traîtrise par la ruse malsaine
et surtout loin de toute ingratitude qui ne vise
que les défauts des uns sans y voir les qualités du même 
(de cette fâcheuse propension à ne jamais savoir gré de rien à personne ; et, grevé d'envie, goûtant au déplaisir de la réussite d'autrui... qu'il ou qu'elle jalouse-rait)...!

 

 

PRIÈRE PIEUSE
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4 mai 2018 5 04 /05 /mai /2018 05:56

christian-hopkins.jpg

© Christian Hopkins

EGON.jpgEGON

lee-miller.jpgLEE MILLER

lee-m-par-man-ray.jpglee miller par MAN RAY

 

 VOTRE CORPS-ESPRIT ET VOUS ETES EN UNE RELATION HARMONIEUSE...........

" Vivre en harmonie avec votre corps semble vous tenir à cœur. Vous avez sans doute réussi à pacifier votre relation avec lui, en prenant soin de vous. Votre bel équilibre dépend avant tout de votre bien-être et vous y consacrez du temps. Vous semblez savoir intégrer au quotidien et en douceur les bons gestes pour décompresser, et vous ressourcer. En bonne intelligence avec votre corps, vous le traitez en partenaire !

 

Plutôt que vous épuisez à courir derrière l’image d’une silhouette parfaite, peut-être vous êtes-vous accepté tel que vous êtes. Sans doute avez-vous été aimé et choyé étant enfant. Un rapport sain au plaisir a peut-être été encouragé très tôt. Un travail sur vous a pu également vous rapprocher de ce corps, devenu compagnon intime. Aujourd’hui, en vous mettant à l’écoute de vos besoins profonds, vous savez y répondre et alléger ainsi le poids des contraintes inhérentes à notre mode de vie.

 

Prendre soin de soi est avant tout un état d’esprit ! Vous avez sans doute une manière bien à vous de vous occuper de vous : marches en pleine nature pour s’oxygéner, bains délassants,  massages enveloppants…  Pour aller plus loin, vous pouvez explorer vos cinq sens et déployer votre sensorialité. Ou encore, miser sur des activités corporelles d’expression de soi, comme la danse… Autant de pistes pour enrichir votre langage corporel ! "

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