Rayons de Septembre, ni trop fin de l'été ni plus début automnal, soupir d'un rien banal en épigramme Martial - tout le monde romain de l'époque Marcus Valerius Martialis - car le voici revenu, le jour sublime, où pour le monde et nous le soleil brille tel un éclat de bouclier aveuglant tout hypocrite ennemi, le voici revenu, et bienvenu, à toi, Ô Soleil vénéré par les roucoulements de colombes et tourterelles, face à ma fenêtre qui bée comme humain en prend l'air avec la bouche ouverte, veillant à l'entrelacement des boutons de rose parmi buissons éclos des enclos alentours... Bienvenu, quelle heure est-il à la Lumière de nos douces philo-Sophies ?
Voici la gare, et voici la brume, quelle est l'heure du départ en quelle ville belge, déjà ?.. Qui refuse d'entrer au chemin de l'amour reprend celui de l'école (de la vie !)
A la pointe de la Lampe (d'Aladin ?)
Traverser flots béants sous de vastes ciels noirs du petit jour au soir ; baratine l'écume aux vagues de l'amer ; Horace connut moineaux moqueurs, Racine passe à parler en disciple de Corneille de tel amour galant qu'emplit les cieux rivaux, et l'Humanité, hôte des forêts sombres, à moins d'esprit que tout oiseau, chagrine, façon morose, d'un hallier où une fourmi s'y cache, qui n'était qu'ombre d'un fétu.
Ce matin, je vois choir les premières feuilles d'arbres.
Chère Part-à-dits faite de terre et de chair, bienvenue au Ciel des idées claires -
( procédé de tirage Fresson pour les couleurs )
Amour, Lumière, Confiance, Unité prouvent bien que... nous étions unis dans une ronde immense et révélions notre Lumière.
Les ressentis intérieurs, bien présents.
Traverser flots béants sous de vastes ciels noirs du petit jour au soir ; baratine l'écume aux vagues de l'amer ; Horace connut moineaux moqueurs, Racine passe à parler en disciple de Corneille de tel amour galant qu'emplit les cieux rivaux, et l'Humanité, hôte des forêts sombres, à moins d'esprit que tout oiseau, chagrine, façon morose, d'un hallier où une fourmi s'y cache, qui n'était qu'ombre d'un fétu.
Hopper opère au senti-mental
Vêtu d'un Tommy Jean'$ - tissu sombre, le pauvre mioche chantonne aux étoiles, oh ! qui donc se remémore les "beaux jours" Beckettiens annonçant belle journée quand tout débutait si mal ?.. L'astre solaire manquant au ciel gris du matin sans pluie, cependant la nuit agacée d'orages tus ; qui s'en souvient ?!.. Onze Septembre déjà loin. Laps bien vite filé.
Tourner la page, on lit : au gré du vent, la forêt voit ce que l'homme ne saurait croire y voir dans les ombres qui se dénudent, sorcières courbées sous le poids des ans d'un diable caché en elle, la morve à la lèvre ainsi qu'un fil d'araignée détaché de sa toile par une mouche luciférienne (sans ailes) en proie à une folie nerveuse, à tutoyer les horreurs de ce monde en disgrâce depuis bien trop longtemps pour que l'Homme (dans son ensemble) se corrige hardiment !? Quoi, quoi, ben quoi !?.. Chérubin tremble, prenez garde !...Il a lu ..DANTE, chat qui sait... Brigand des Mers !
Médusée, la simplicité cache sa beauté intérieure ; lumière éternelle dévorée par les pleurs -
Corona méduse quelles Gorgones, elles sont trois dont Médusa ? Gardien, tête de Médusa décapitée par quel autre Jason, chenapan au ban (c) des Médusé.e. s qui se servit de "sa tête" pour troubler/tuer Le Léviathan ? Qui regarde quoi, en raccourci de soi, durci comme de la pierre sous l'effet de certains regards....
Nous ne sommes pas qu'un ...numéro...de sécurité sociale, si l'Etat pouvait un peu songer à notre grandeur d'âme, à notre nature profonde, il en sortirait autant que nous, lui-même grandi, serein, évitant chicayas sur bisbilles inutiles de basse-cour ; entretenir les cycles de la haine fait vieillir d'autant tous les peuples à les violenter, et la Terre avec, en souffrance (en sous-France chez nous)...partout !
Jean-Michel Dunand médite sur : "La Croix : énigme du Christ, qui brise nos représentations de Dieu" ; et vous, comme moi, vous méditez sur quoi ? Qu'avez-vous fait pour Dieu, dès matin, tout ce jour de prévu ?... Dès 9 h, ce matin, ne me suis pas rendu au R.V du Pascal de la Ruche-Yves Philippe un peu spécial, planifié de psyché autre, style d'un corps qui ne sait ce que l'esprit prédit, prévoit, postule.
Venez ; glas de pluie, avant-hier, soleil d'automne, un chouia frais, aujourd'hui, quoi demain dans le vent porteur, éole atao, agitant les primevères et les œillets, les impatiens, les tourterelles y donneront de leurs majestueux roucoulements aux engoulevents, il y aura dans les menhirs jeux de mythes et de théologies, à moins que dans les cairns, graines de poésies auront poussé en divers receuils de Genet (poète, nom de fleur aussi), à l'ancolie, toute mélancolie du Château d'Argol, château-fantôme s'il en est (aux dépens des touristes venus de loin photographier ce qui n'était rien qu'invention de Gracq) ; pensées aux mouettes et fous de Bassan, cabans de vents chargé de poèmes éventés, leurs ailes, leurs plumes noires d'encre à l'encrier des mers déchaînées, rimes intimes à l'éclat des amers ; veuve Bretagne de tant de péris en mer, corps et biens, d'autant de poètes, inconnus ignorés, ou connus oubliés ; romance de partance, démence d'inconscience ; sauve-qui-peut, la mer, toute vague est porteuse d'écume emplie de secrets des profondeurs, sauve-qui-peut, oiseau rare aux ailes déployées dans l'enfer baudelairen des Albatros flippés ; ivres de poésie(s), les oiseaux des mers se laissent porter jusqu'au rail de l'azur... Riche solitude des pauvres engourdis.