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14 septembre 2023 4 14 /09 /septembre /2023 05:31
Palimpseste universel, Éosphoros (Ἑωσφόρος / Heōsphóros, « porteur de la lumière de l'aurore ») brille la première dans l'obscurité restante de nuit, sortie de l'écrin du Kosmos qui en sourit telle une Joconde sur les lèvres de notre Monde brutalement secoué par de nouveaux fléaux, du Maroc à la Syrie, sans compter nos propres pyromanies et inondations interrogatives, dès les roucoulements de tourterelles, à l'aune du nouveau jour ; ce matin, au tournant des Heures qui fait croasser, corailler, les corbeaux sur les cimetières du Big Crunch tectonique, dans les taillis mondiaux de la vive esquive du Temps (qu'il nous reste/rait) ; et, c'est en sciant que Léonard devint scie
face à Mona Lisa dont les mains de l'ennui
prouvent que l'art est long brève la vie ici
- Eh si !
Aucune description de photo disponible.
 
 
Nous la laisserons telle quelle. La Nature !
 
 
 

2 / 

11°c - Temps dégagé, sympa le site ! De l'anthracite à l'ébène, à cet endroit précis, la nuit, sur les bords planétaires, dégagée elle d'autant, tenue à l'écart du Jour d'ici, tombée de l'autre côté du rail (l'horizon d'une ligne instaure notre finitude) -
Peut être une image de océan, plage et horizon
 
 
 
 
 
 
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13 septembre 2023 3 13 /09 /septembre /2023 10:10

Saint-André-de-Cubzac
n'est pas un cul-de-sac
quoiqu'un peu la campagne
bordelaise

Dos d'ébène

Un temps de chien

depuis la Médiathèque

de

Fouesnant-Les-Glénan

Textes en cave

(cavale excave)

Poids de soi :

- C'est lourd, les souvenirs !

A petit feu d'esprit, ça décroche les étoiles

(Paix, Océan, Etoiles nous protègent de l'intérieur),

cette Nature qu'on a - de l'âme au cœur -

objectifs premiers comme d'un art primitif

(donc "premier")

ODE A LA VIE ODE A LA VIE

rien n'efface notre fol "cri" :

ODE A LA VIE

REPEAT THIS HISTORY

ODE A LA VIE

A L ' INFINI

(dans vos yeux se lit le mot "intelligence"

quand vous demeurez en silence)

ILES DES CIEUX

ODE A LA VIE !

ODE A L' envi...(e)

 

(à l'ère du « One more thing » (« une dernière chose ») phone 12 "épinglé" pour toxicité !
Peut être une image de 2 personnes, téléphone, lecteur audio numérique et texte
 
 
 
 
 
 
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13 septembre 2023 3 13 /09 /septembre /2023 07:36
Reprenons un peu la brigade légère... des mots de langue étrangère..., Fortuna Homines Monstrum hominis, même avec la lumière du soleil, y voit-on quelque chose, œil aveuglé très ébloui, dynàmis ! Cela, parfois, dès que l'un approche l'autre qui se pointe par signaux réflecteurs, il tente bien d'en traduire les non-dits de la cause, ah, c'est quelque chose, ça, pas question d'y renoncer : allons-y, c'est le retour de De Haan, les heures et les jours, quoiqu'ensoleillés, ils n'ont pas la même signification, Zee-de-Haan, coq-sur-mer, la fête vacancière n'est pas achevée, loin d'être close, tout repose sur le bien trempé de l'acier de l'esprit, et des yeux, le beau regard sur ces dites mêmes choses, non d'une pipe, mais qu'est-ce qu'il a de remonté, lui, le temps du "ne m'oublie pas" - dans lequel le règne archaïque animal joue "son" rôle déterminant (vu qu'on a tous-tes un animal caché en soi..., et toi, De Haan, c'est ton Coq bien délivré à Esculape, pattes-ergots bien plantées dans la suintance boueuse du monde !)
° / J'ai pour vous inventé/créé le mot "suintance", ici, au signifiant d'une vache qui ne se connaît mieux qu'en levant la queue (hier, il pluvina comme vache-qui-pisse, enfin, un peu)
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
Doit-il être dans les nuages
celui qui ne part en pause
ni fait escale en quelque chose
qui se bâtit en chaque page
à l'intérieur du corps de rêve ?
 
Saint-André-de-Cubzac
n'est pas un cul-de-sac
quoiqu'un peu la campagne
bordelaise
 
 
 
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12 septembre 2023 2 12 /09 /septembre /2023 08:31
RETOUR DE HAAN
En sortilège : non ; et ; sans moindre trouble, une main ne tremble, à mesure que s'écoulent les ans ; retour depuis De Haan, cité balnéaire niçoise belge, là même où Einstein aimait se promener (comme je fis) sur la digue et en sous-bois, là aussi où venait s'inspirer pour peindre (comme j'ai dessiné) ..Ensor.. dans ce monde ...Clownesque à volonté !
Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’ERRY’
 
 
 
 
 
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12 septembre 2023 2 12 /09 /septembre /2023 05:26

Un arcus s’est formé au-dessus du ciel finistérien samedi 9 septembre.7H24 / lever dans la moiteur d'un reste de nuit, et, cri d'Art Tôt : sans le venin du numérique, que serions-nous donc bien que de n'être là à ne rien faire du tout, déconnecté des gens, en simili d'avec les actuels marocains en détresse, dépourvus de tout même de leurs propres logis, à dormir à la belle étoile, entassés entre villageois du Haut Atlas, comme si, brusquement, constatant que "son" Humanité ne bouge pas d'un iota face à la panique climatique, cause humaine pour une grande part de j'm'en foutisme, Dieu lui-même (Hallah y's'barre d'ici) , alors poussant son "cri" d'Artaud en remuant la plaque tectonique d'Afrique du Nord dessus le plancher des vaches occidentales..., avec possibles redites du même désastres, en duplicata d'une réplique, héquoi !..On n'écoute ni les oiseaux (qui nous en alertent), ni les animaux, papillons, ni plus les arcus (spectaculaire gros boyau de rouleaux d'œil noir de la colère divine, blackboulé sur les régions françaises et européennes, nuages de la démence céleste (versus celle Arturienne) , Dieu alors se fâcha net ! Il ne parlait pas,....il criait...Un Munch littéraire, en quelque sorte, que cet Artaud-là !

ANTONIN ARTAUD, 1896-1948, POETE ET DESSINATEUR, THEORICIEN DU THEATRE, ACTEUR, ECRIVAIN, ESSAYISTE.
PHOTOGRAPHIE PAR DENISE COLOMB EN 1947.
La poésie, la mise en scène, la drogue, les pèlerinages, le dessin et la radio, chacune de ces activités a été un outil entre ses mains, un moyen pour développer son art.
Toute sa vie, il a lutté contre des douleurs physiques, diagnostiquées comme issues de syphilis héréditaire, avec des médicaments, des drogues. Cette omniprésence de la douleur influe sur ses relations comme sur sa création. Il subit aussi des séries d’électrochocs lors d’internements successifs, et il passe les dernières années de sa vie dans des hôpitaux psychiatriques, notamment celui de Rodez. Si ses déséquilibres mentaux ont rendu ses relations humaines difficiles, ils ont aussi contribué à alimenter sa création. Il y a d’un côté ses textes « fous de Rodez et de la fin de sa vie », de l’autre, selon Évelyne Grossmann, les textes fulgurants de ses débuts.
Inventeur du concept de « théâtre de la cruauté » dans Le Théâtre et son double, Artaud a tenté de transformer radicalement la littérature et surtout le théâtre. S’il n’y est pas parvenu de son vivant, il a certainement influencé les générations de l’après Mai 68, en particulier le théâtre américain, et les situationnistes de la fin des années 1960 qui se réclamaient de son esprit révolutionnaire. Il a aussi influencé le théâtre anarchiste Living Theatre, qui se réclame de lui dans la pièce The Brig où il met en pratique les théories d’Artaud.
Dans son œuvre immense, il fait délirer l’art (comme Gilles Deleuze, grand lecteur d’Artaud, fera délirer la théorie autour du corps sans organe). Son œuvre graphique est également importante. Il a fait l’objet d’un legs important au Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou.
--------------------------------------------@Image-ci-dessous.-------- : Artaud (Joubert)
APRES LA CANICULE, le cri d'ART Tôt
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29 août 2023 2 29 /08 /août /2023 06:52

Toussaint fin Août
éternuant toussant
sans vent
Petite pluie
Nul ange au pied
du jour
Le galeriste se demandant
quel sens ça a d'ouvrir
L'Etat prenant
sa part de 30% sans coup férir
Autant aller à Canossa
par la Route Napoléon
Seul à souffrir dans une galerie vide
Les gens ont peur de la Beauté qui s'expose
Si par hasard leurs enfants veulent y
entraîner leurs parents par la menue main
L'un d'eux dira : - non, on va pas là...
Si par un autre hasard un couple y passait "voir"
Chacun sur son portable scrawlerait
Leur écran
et en sortirait sans même ni voir
un seul tableau mural
(dix secondes immobiles devant)
- pas même un bonjour ou hochement de tête
au dit galerie attablé au fond du local loué
(à la diable)
C'es la case 33 au doctorat d'histoire de l' Art
à Strasbourg
qui classe les candidats sans pré-détermination sociale
sinon : prêtre-artiste-prostituée
(de sort qu'il y ait autant de galeries que de boulangeries
qui ferment !)
L'Art est dans le pétrin !
Ainsi Attal replace-t-il les Mâthémas au programme qui tique !
A commencer par la méthode Hénoque ?
"Poèmes mathématiques" qu'Olivier Hénocque, version 2020
Oui, ça n' aucun sens en soi d'ouvrir un espace où on décroche
avant d'accrocher (ce qui demande un effort physique constant)
"L'inconnu me dévore" conclut Grall en son Graal d'Eternité !
Le jardinier tond sa pelouse, étête les branches pourries, rase on buisson. casqué d'un anti-bruit sur les ouïes ;
voilà, thuyas, y'a plus non plus...., monsieur le galeriste en galeria (galère) qui se plaignit : Galerie de Bretagne !...
Quasi personne, au financier sur trois mois : Nada !
Tout pour l' Etat...
On ferme !..

Priez pour nous, pauvres artistes....(il décrocha aussi le cadre de l'entrée : une inconnue en prière dans le RER des Arts : Rien En Réalité)
Peut être une image en noir et blanc de 1 personne et train
 
 
 
 
 
 
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28 août 2023 1 28 /08 /août /2023 08:00

Je ne la place pas, vous la connaissez, sa tronche de "Wanted", ça lui ferait une pub de mugshot en plus, cette " petite photo qui vaut très cher. Le mugshot de Donald Trump, du nom de la photo d'identité prise lors de l'inculpation d'une personne aux Etats-Unis, a déjà rapporté au milliardaire 7,1 millions de dollars (6,58 millions d'euros) pour sa campagne présidentielle en seulement trois jours, a affirmé l'équipe du candidat au média américain Politico. " ; plus vous êtes truand (en tout), plus vous réussissez, voilà l'état du Monde quand plus rien ne vaut au Matrimoine des œuvres de Patrimoine au goût du naguère : -¨Petra (en Jordanie), par exemple ou dentelles de pierres du Mont St-Michel,, cité de Carcassonne (tremble, Carcas, ton patrimoine divin, menacé, sonne - aux pillards moderne du surtourisme tel que Maupassant de Notre cœur détailla pour le Mont sacré mi-normand mi-breton, selon les saisons des humeurs humaines ), Notre-Dame a perdu son "généralissime" re-bâtisseur des plans, les Bouddhas de la vallée de Bamiyan (trois monumentaux, debout, aux reliefs excavés, contés pour un par les Cavaliers de Kessel (1898-1979), d'Ouroz (le tchopenoz, joueur de Bouckachi - univers du sport national afghan) - quand les "bancs de l'Abbatiale de Conques, la nuit, sont occupés par les anges", selon "Le cœur" de feu Bobin [dont le chant actuel reste celui d'un oiseau rare - mais qui l'écoute en-corps ? ] ; ni plus riche celui qui vénèrerait Angkor (que déjà par cupidité mutila Malraux, il ne nous suffit que de relire La Voie Royale - Goncourt 33 pour "la condition humaine" - pour s'en convaincre d'un possible mea culpa (ce que Trump ne fera pas, trop bouffi d'orgueil à gonfler le visage !) - son personnage Claude Vannec est l'alter ego de lui-même, ministre de la culture d'alors, gonflé éhonté tel un vulgaire voleur-pilleur de Banteaï-Srey "la citadelle des femmes", temple brahmanique, ni plus nanti que radin, le contempleur la grotte où est né le Christ, par l'itinéraire de Paris à Jérusalem de Chateaubriand, ou bien de Marquez (de l'amour et autres démons), diable au corps à Santa Clara - de Carthagène des Indes -, contempteur idoine, de l'écrivain colombien (1927-2014), dès l'incipit intrigant, livre d'un sulfure romantico-tragique du milieu du XVIIIème (là où Marquez place son héroïne Sierva Maria), une enfant de douze ans, aux très longs cheveux roux (marque de la couleur du diable ?), mordue par un chien enragé, envoûtée, possédée (?), sitôt enfermée dans le couvent de Santa Clara, dès l'abandon par ses Marquis de père, et mère (ha ! indifférence ou "mauvaise" mère ?), et visitée qu'aussitôt séduite par un...exorciste qui tombe en pâmoison devant cette fragile exubérante aux seins qui meuvent d'âge, presque emmurée vivante dans une cellule qu'on devine crasseuse, ohoui : y a-t-il encore de la Beauté de Matrimoine, là, en cette Colombie de La Carthagène évoquée ? Le Phénix du Pavillon d'or de Mishima pourrait lui venir en aide, si les œuvres pouvaient s'entrecroiser, au défilé de nos lectures ! Sculpteur-architecte-peintre-urbaniste, Le Corbusier s'est bien ému devant le... Parthénon, lui ! Quelle mémoire du temps, à Samarcande, flotte en nos esprits à devoir consulté le "manuscrit trouvé" ?
- Etes-vous archéologue ?
- Non.
- Passé votre chemin, "le dieu de la mort réussit à nous tromper" "l'imaginaire, souvent !
- Oh que diable !
- Comme vous dîtes .... Vous en seriez le premier occidental, à l'image de David-Neel qui ouvrit les routes spirituelles à ...Lhassa, consulter les pages de son non moins fameux "Voyage"... d'exploratrice bouddhiste française...
- Bon j'y vais...
- Où ça ?
- Chez Proust, ...là, Venise et Combray s'entremêlent ! 

Et, de vos Voyages, pourquoi pas Baudelaire ?...
- Le poète pleure trop le vieux Paris détruit... Le Cygne (LXXXIX)
- Vrai, déjà énigmatique, le Sphinx devant L'éternité, aux yeux de Flaubert ! -L'Alhambra, alors ?
- Je lui préfère l'amour éternel du Taj Mahal l .. Puis. Le rêve est andalou ; l'exquis du fruit, le délicieux de l'abricot, hé Grenade, et mille et une nuits, il m'en faudrait plus !
- Gourmand ?
- Gourmet, nuance ! N'oubliez jamais votre nuancier quand vous faîtes face aux anciennes fragilités des Beautés !
- Merci du conseil, je m'en vais à mon tour....
- Et où cela donc ?
- Chutttt, c'est un secret légendaire !
- Polichinelle, va, je le sais !...

Voltaire (les trois manières), ".... le vrai sous les traits de la fable"

Nous voyons maintenant dans un miroir de manière énigmatique ; mais un jour nous verrons face à face (Saint Paul, Cor.1, XIII,12)
Crédit photographique de L'ultime décade@Iché, Père & Fils
 
 
 
 
 
 
 
"Le pouvoir exige des corps tristes. Le pouvoir a besoin de tristesse parce qu'il peut la dominer. La joie, par conséquent, est résistance, parce qu'elle n'abandonne pas. La joie en tant que puissance de vie, nous emmène dans des endroits où la tristesse ne nous mènerait jamais"@G.DELEUZE
ps : « Un cœur joyeux est un bon remède »
Prov 17:22

 
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27 août 2023 7 27 /08 /août /2023 22:06
IT ' S TRUE
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26 août 2023 6 26 /08 /août /2023 05:42

Je cherche la quiétude Je trouve l' harmonie - du matin à mi-nuit ;

que n'ai-je su trouver que de ne l'avoir pensé ou pris 

Je cherche l'harmonie et en trouve le cri

Je cherche la quiétude voilà un tas de bruits :

einfüll : remplissage d'échos et de vols au passage des Oiseaux indécis...

Assoyons-nous cul nu sur le Livre de la Vie

Approchons du jour chaque mot du récit  : eh, oui !

Lumière faite sur une anthologie :

- C'est une ascèse que l'on sert... que l'on se soit servie ou (à l'inédit) : 

lancée au fusain du dessin d'un matin surpris 

d'incessants allers-retours

au réduit des bris qui mécroient au récit

Bab-Là du blabla ! Remplissage : einfüll !

EINFÜLL / PALPER LES AMERS

O NI RO MAN CIE.... !

Hé-Oui !

KIKI l'a dit : qui l'a dit ?

- ... Souris !

La mort passe telle Ophélie !

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25 août 2023 5 25 /08 /août /2023 13:13
Je les ai vus accompagner, suivre les péniches ainsi qu'anges des eaux lustrées belgo-flamandes !
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Cygnes de...Givet : so to be so cool ! Douceur de son Swan Song !
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Doris Ferrin
 
 
 
 
 
Cygnes de...Givet : so to be so cool ! Douceur de son Swan Song !
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Doris Fer
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Cygne/signe que le monde est....Zen-Cool loin du déclin de la Russie
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Bruine flamande que je vis tel un Rothko sur l'Aa et l'Escaut
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Rive de peupliers que je voyais à Bléharies, près de la douane maritime Et, les péniches, aussi...
 
 
 
 
 
 
 
Plus de laine, que de l'haine ; et, comme nous le précise Fedor (Dostoïevski) : - Le plus intelligent de tous, à mon avis, c'est celui qui au moins une fois par mois se traite lui-même d'imbécile.
[Encore, l'on sait : "la rose est sans pourquoi"... : autant de douceur que d'épines]
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Claudia Camarena de Obeso
 
 

 
 
 
 
Plus de laine, que de l'haine ; et, comme nous le précise Fedor (Dostoïevski) : - Le plus intelligent de tous, à mon avis, c'est celui qui au moins une fois par mois se traite lui-même d'imbécile.
[Encore, l'on sait : "la rose est sans pourquoi"... : autant de douceur que d'épines]
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Macron nous avait sermonné d'un: "finita l'abondance"; euh, sauf que les petits salaires n'en ont jamais eu loisir d'en goûter, donc pour eux, en sous-France quotidienne et régulière ...? Itou d l'Item, idem, Finita la.... redondance (verbiage aéronautique qui laisse planer le doute politico-économique , Bercy nous berce d'illusions ?)
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