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A travers la grisaille
le filet des nuages
Le Peintre qui rêvait les ...ruines ; vue imaginaire de la Grande Galerie d'Hubert Robert [1733-1803) obtint de séjourner à Rome dix ans [1754-1764-5] grâce au soutien du futur ministre, duc de Choiseul, l'ambassadeur d'alors, Stainville ; familier des Fragonard, Piranèse, Pannini, il devint le peintre d'architecture français des plus célèbres du XVIIIème.. Retour à Paris, il est reçu à l'Académie Royale de peinture et de sculpture. A s'engager dans l'expression du naturel et dans la poésie des....ruines.... qui en "philosophe" (caractérise) l'influence des Lumières sur le sentiment artistique dit "classique". Effets pittoresques d'atmosphère et/ou d'animation particulière que donnent à voir des "groupes de petits personnages" - jouant sur le contraste évident de la grandeur et la gravité des "monuments écroulés"... Enfer en paradis, thème souvent peint :
Qui cherche midi ne trouve quatorze heures
Alors la voix redit le midi mou en l'attitude
et la cherche en la radio au-delà de la moue
Qui cherche l'amour trouve le retour à plénitude
A briser tout attrape-caribou
sur fauteuil d'osier Osez le Tout
Adios : see là-bas la mer oh rive Amour SEA - si cela se pouvait la mort pour Adios adios ravis de te revoir s'aime dit-là Adios la mort Adios et so la répartie affronte tes fruits amers, sea-là, see, voici la vie d'au-delà Adios adios la mort Le Printemps refleurit , si la mort leurit Adios la mort Adios l'hiver s'est replié où est-ce que c'est qu'on la dédie Adios la mort Adios, les jonquilles et les fruits sont notre Venise Good Bye good Bye c'est dit...Adios la mort adios
Ah je pense au zen qui définit la musique d'Eden La Mystique...
KIEV ABSIDE STE SOPHIE
Voyage, voyage (avant chaque voyage était un rêve tranquille... Depuis c'est tout un bazar chaotique et au petit bonheur la chance ...)
Ciel de profondeur marin, ou le cosmos à l'envers...
Nager ou décorer les murs
Marcher poser les pas plus sûrs...
Sur une...terre qui dure...
Rain and tears, it's love to play again... How many times ?.. Pretend : no war !
@.. Par le Roumain Corneliu Porumboiu, in LES SIFFLEURS, too
L'Art-mour Platon pour dire : Une main lave l'autre !
Alors :
- Détresse, fuis donc !
Détale parmi les ajoncs...
Va-t-en demander congé
aux ombres de la cité
Puisque d'humeur chagrine nul n'est
Le Printemps vient d'éclore
Le Printemps intérieur est arrivé...
Nos yeux s'ouvrent...
C'est le Printemps de l'âme :
- Volonté, Amour, Humilité...
Honte à ceux si le beau don
ils le retournent à piloris !
C'est le Printemps du cœur :
- Vivacité, Amour, Élan du ris...
Congé demande à ciel ouvert
L'Art-mour, Seigneur d'angle d'air...
lorsque tout mal est découvert
il en apaise le tourment
chacun en témoigne le doux présent
que je m'en viens de croquer-dessiner...
à la hâte du crayon de couleurs
du cœur...
dessus un tissu de papier...
Ne pas plier !
A faire volonté de l'Enseigneur
Que l'âme soit à qui le corps sert.
Et toi mon âme que veux-tu
avec le corps que j'ai ?
En la compagnie des Elfes,
....A repenser à un plaisir que j'ai procuré à autrui, et donc, à fortiori, à moi-même.
Je décide d'allonger la liste d'amis que j'adore.
Je m'autorise à être heureux car il convient de l'être, souriant, face à quiconque reste dans (sa) (la) peine...
Bouddhiste celui dont l'esprit aime tous les gens... à décider toutefois de cultiver l'amitié des aimables & optimistes (on ne peut changer l'esprit de ceux qui ne veulent pas changer par eux-mêmes, pour eux-mêmes et pour autrui, donc)...
En compagnie des Elfes,...
A sourire dans un miroir, c'est la réflexion de cette gaieté qui m'est ainsi renvoyée, ce sourire... Parfois, faisant l'inverse, ah, curieux, le miroir a gardé mon sourire (la banane comme on dit), et ne me renvoie pas la sale tronche (ah, curieux, le miroir a plus de joyeuse mémoire que moi, pris dans les courants contraires de ce réel blackboulé...)
C'est dit : - Chaque Lundi, je fais la liste des petits plaisirs que je me suis octroyés la semaine précédente...
En compagnie des Elfes et fées, l'effet diffère...bien meilleur qu'en soli-terre ...
A faire la paix en moi, je suis paisible avec le reste du monde.
Si, tel aujourd'hui comme hier, le ciel est à la grisaille, en moi, je fais toujours le beau temps.
Car je sais : le soleil est derrière tous les plus lourds et noirs nuages.
Tel Nietzsche, chaque jour, je m'approche un peu plus de l'être que je suis vraiment, du joyau spirituel, profondément ancré à mon rocher de valeurs naturelles... que, déjà, mon foetus portait... et que les aléas de la vie ont souillé de leurs marées noires et haineuses, si bien que je me le récure, et que me le nettoie, afin qu'il brille au mieux en mon plexus solaire & troisième œil.
En digne compagnie des Elfes....
Tel Pessoa, de mon intranquille, d'un côté zen annonce : "non, je ne veux rien, je vous l'ai dit, je ne veux rien..."-"L'abîme est ma clôture, être moi n'a pas de mesure" - " Plutôt l'oiseau qui passe et ne laisse pas de trace / que le passage de l'animal qui laisse sa marque sur le sol"...
ALORS....JE SUIS PLEINEMENT PRÉSENT A CE QUE JE FAIS
L'amour de la vie n'est-il pas une illusion ? La crainte de la mort n'est-elle pas une erreur ? Le départ est-il réellement un malheur ? Ne conduit-il pas, comme celui de la fiancée qui quitte la maison paternelle, à un autre bonheur ? (Tchouang-Tseu).
Par la fumée, le parfum du nard, ambrée à l'eau parfumée, elle lava la chevelure de l'élu, santal, benjoin, parfum du bois debout... Prière, femme, parfum... Les sens de l'essence des fleurs, de l'adoration et de l'Amour. Encens de bois et de résine. On sent le désir exaucé. A travers et par la fumée, Parfum performant. Rite égyptien des moines pour le Pharaon. Du sacré au profane, jusqu'à Grasse, ville des princesses sans être Cléopâtre chacune. Signature olfactive au-delà des Fleurs.
Les arts n'ont pas changé le monde. Les livres n'ont rien fait de plus. La sculpture n'a bâti aucun Paradis d'ariens (fils inférieur au Père) ni de Nicéens (fils égal au Pater, consubstan-ciel). Les athées se sont autant trompés que les croyants. Aucune pensée nouvelle n'est venue à bout de l'être de langage et de soi-disant "liberté". Rien n'a changé dans la nature, les saisons se suivent sous un ciel muet. L'Homme évolue dans sa spirale évolutive jusqu'à regagner le centre de lui-même, qui est le re-commencement du Tout. La sphère éclata pour ordonner l'agencement planétaire, et la Terre, via tous les autres satellites dans le cercle de nos intériorités, à défaut du carré de la raison, matière du XVIIIème, et de l'étoile sacrée de l'aveu de Voltaire qui se résume à :"La vie est un enfant qu'il faut bercer jusqu'à ce qu'il s'endorme..."
Aucune musique n'a su altérer les pleurs sourds de l'Humanité : après, c'est quoi ? Encore du chinois ?..
En physique, c'est toujours l'énergie de l'autre qui crée l'action, l'agir, le devenir "soi" ; je me suis retranché de tous, au nom d'une Passion qui vit mes "mains de blanchisseuse" si j'ai de l'homme aux semelles de vent, la rébellion...
Puisqu'Hugo révéla son secret : "je veux être Chateaubriand ou rien", Schiller avait déjà tranché sur son sort préromantique : "Je veux être un Shakespeare allemand", Rimbaud reprit la cause d'un "il faut être absolument moderne" , qui nous plaça tous dans une stupide utopie comme ces vers latins qui ne se montreraient pas plus au Verlaine confessé à Metz qu'à nous tous, culture-nature , avoués par Robbe-Grillet dans :"l'homme qui ment"..., ou par Wilde, d'un :"la nature imite l'art"...
L'art tuera l'Homme qui aura voulu le créer pour universaliser une autre religion.
Sa croix, et son épée de Damoclès dessus son crâne chauve... Malthus, ou Balthus ?.. Il aura oublié l'écho du proverbe indien : "ne confie pas au loup la garde du mouton" (de Panurge, ou non)...
Mais avant que de fuir ailleurs, au tiré du ciel de Bobin ( nrf du 24 Août 2009), par l'ultime journée, il poussera sa pépite de confession :
"Quand je serai mort je serai chez moi ; pas d'infini sans clôture ; la folie est dans ce monde plus seule que le Christ ; on vole d'erreur en erreur, jusqu'à la vérité finale ; un diable sort du coeur des enfants humiliés ; le simple ignore la mort ; chaque fois qu'on simplifie on attrape Dieu ; Écrire - voler la bague en or au doigt d'osselets de la mort ; les yeux des pauvres sont des villes bombardées ; même en enfer il y a peut-être un ange ; le soleil est le grand maître..."
Ainsi la terre rebrûlera-t-elle après être issue du Soleil.
Tout retourne au vulvaire, Vesica piscis... La grande Ombre !
La grande Ombre brûlante et liquide ainsi que Jupiter n'est pas plus solide qu'une vasière gazeuse, avec ses seize satellites dont quatre galiléens !!! La grande et profonde Ombre humide, ignée, aspirée par l'immense trou noir...aux mille et une renaissances hermaphrodites... La grande Ombre nocturne où brillent des joyaux insoupçonnés... La grande bouche d'Ombre violacée !.. La grande Ombre....
Chou vert, que d'Octobre à Mars, mon chou, la poésie dramatique grec & latin n'y suffirait pour te calmer, Les suppliantes - Les Perses - tu rejoindrais à relire Les sept contre Thèbes autant qu'après - Prométhée enchaîné - te déchaîner contre Aristophanes Werke...übersetät & Lysistrate, mon chou ! Parle, ton fantôme te suit , et, se faisant, de service, il t'entend jaser à toi-même, oui mon chou, lance-moi la réplique, que je danse itou, une crise à la fois qu'il nous faut donc sortir, eh quoi ! V'là, l'ai retrouvée, la boîte de portraits à musique ! Une ballerine au fond de la bouteille de Génipi, en tutu, et de voir tout, si tu "prends" à la renverse, ... Elle nous chante : de fleuve, de rivières, un grand voilier d'argent pose son entregent sur un oiseau de neige, et, des pantins sont venus, ils nous ont bâti la cage de verre trans-lucide : cette bouteille de Génépi, des pantins sont venus faire un oiseau de rage Trans - Lucide, troisième genre du Nom aux marches du palais, à la Villa Triste des Résistantes y étaient bâillonnées, dévêtues, pour les bourreaux nazis, une fleur de poison pour les soldats du Fou, c'est la même chose partout, car v'là que le chinois arme la Russie en invitant à la Paix, sur l'monde ils balancent : si vous voulez la paix, recommencez à préparer la guerre, nouvelle boucherie !.. Lance la musique que j'danse, d'espoir : je n'ai pu ! Tout bu le Génépi ! Bouteille-cage de verre et cerveau vide : la chaîne des sots, la contrepointe passée de l'une à l'autre en même temps à chacune au long-large tissage de l'espace avec sa première maille invisible et sa dernière insoupçonnable Fin du Monde...
Inutile béance, désormais, "de désormais en désormais", attendre ; il y avait tant de monde, et puis, plus rien, nous sommes dépouilles allant-venant, sans être attachés au nombre des lieux et des êtres que nous avons connus, esclaves aux pieds nus, sans le sexe, corps asexué des allongés qui nous sont proches en-corps (encore, parmi les justes et les saints, dans toute chair de mémoire dénuée de tout désir et de tout déni), dépouilles du moindre souffle de la finitude sacrée dans un soupçon de clameur ; une absence, personnage du Livre, personne de rêve en images inachevées, sous la dictée des Anges de l'encre d'une plume porteuse des signes dans la composition en friche d'une Histoire de vie, réécrite, nous sommes ceux qui passons sans le savoir....
- Qui nous lira, sauf la mort, il faudra savoir répondre à la "dépossession" de l'Amour..?
Quelqu'une voix de pleurante nous relisant : "La disparition".
En la vie, zen à la mort, dès l'amont par l'aval de nos silences élogieux, grandiose espace d'un temps qui n'en compte plus. Au-delà de la durée légale, sous aucune domination ni influence. Temps identique pour tous comme dans la Rome antique, par-delà les cités, au-delà les ethnies, entre les Rois et les Mystiques.
Monde thuriféraire d'une autre Macédoine !.. Rome sous un deuxième temps (plutôt que siècle), mise au pillage, Olympie et le Pénopolèse (Europe) dépouillées, héritage de laudateurs-louangeurs, thuriféraires hellénistiques.
Ex cursus de la chétive Humanité qui n'aboutit à rien, poids et mesures, monnaies en commun dans la même enceinte, au pied des Arts et Lettres qui contribuent à l'Histoire, sous antithèse divine.
La gargouille est le sexe, l'unitaire du corps est intérieur, ça qu'on laisse, une fois que nous devenons dépouille(s).
Sans une seule attache d'enceinte défensive pour abriter âme et esprit.
Carence d'un passé très lointain d'une concorde entre les Homonaïades (néologisme que je crée, que j'aime à définir comme Naïades d'une Humanité d'homos...) Ethnos d'un troisième genre. Les deux sexes séculaires en adhésion face aux tyrans qui abdiquent dans l'Argolide de nos revers péninsulaires sous tutelle des spirales d'échecs des couples récalcitrants ; à l'époque ancienne de nos parents, le souci du "divorce" ne se posait pas, chacun se supportait, même dans les pires incompatibilités des moeurs ; aujourd'hui, un vent de travers, et l'un l'autre paient le renoncement après long temps de vie commune ou courte union ; rupture dictée par une persuasion des douleurs, au Nom des principes d'une autre conduite de vie prise d'assaut... dépouillés du souffle de tout ce qu'on a eu et connu...
Chère Klimtoridienne,
Nous alimentons de très mauvaises idées, nous ne savons pas ce que nous voulons.
Nous fabriquons du rêve, des choses déjà faites, par ce lourd passé dont nous avons
peine à se défaire.
C'est trop facile de se bâtir un futur impossible, plus difficile est de se satisfaire du pré-
sent que nous offre notre âme, souffle d'une vie meilleure.
J'ai besoin de m'ouvrir à d'autres horizons que ceux que nous fabriquons de toute pièce.
Qui embrasses-tu sur mon visage, quelqu'un connu de toi, en ton inconscient, et que tu
reverrais (à travers miennes lèvres) ou mon être entier, si particulier ?
Moi-même, à travers ta posture, ainsi assise face à moi, trop d'aspects me ramènent à
l'ancienne, qui s'installait dans ma vie de la même manière.
Me reviennent à la surface de ce vécu pénible, mal bâti dans un ensemble maladif de
"délices d'omphalopsychie", elle avait ton assise, et elle avait tes formes ; va-t-en !.. °
Qui de toi, sinon elle, verrai-je en toi me re-venant, va-t-en !..°
J'ai mal de devoir t'annoncer que ma venue n'est qu'amicale, si j'avais à dire oui...à ton
invite ; qui de moi a écrit cela, déjà ?.. en un 14 Novembre .... 2000 ? (21h30)
Jung m'avait répondu :
"L'homme mérite qu'il se soucie de lui-même car il porte dans son âme les germes de
son devenir"...
° / ce "va-t-en", dans le sens positif et spirituel du "va pour toi, pour ton bien, va vers toi"
ainsi que Dieu le dit à Abraham en Genèse 12,1 :
"Va-t-en" : de la terre, de ton enfantement, de la maison de ton Père
"pour toi" : vers la terre que je te montrerai
Abraham : père d'une multitude qui, dans le but du visible, découvre Dieu par lui-même.
Blake (L'ancien des jours...)
"La moitié de ce que nous écrivons est nuisible, l'autre moitié est inutile"
(Notes d'album . G. Crès et Cie ; Henry Becque)
"Le canon a tué la féodalité. L'encre tuera la société moderne."
(Napoléon Bonaparte qui ajouta :
- "Les grands écrivains sont des radoteurs estimés.")
"En général, je ne commence un livre que lorsqu'il est écrit."
(Propos d'Art et de Cuisine, Cas de conscience ; Alexandre Dumas, père)
"Ce n'est pas ma faute, si, en écrivant, mon stylo se transforme en scalpel."
(Peau d'ours, gallimard ; Henri Calet qui affirma en Préface de Jeunesses :
- "On a tendance à regretter ses vingt ans en quelque contrée qu'ils se soient
perdus..." - Le dilettante, 2003)
"Écrire, c'est une façon de parler sans être interrompu."
(Journal, Gallimard ; Jules Renard)
"Banqueter en souvenir de nos grands écrivains est notre manière de les honorer ; ils ont pensé pour nous, nous mangeons pour eux."
(Almanach des Lettres Françaises et étrangères, 31 mars 1924 - G. Crès et Cie ; Ferdinand Brunetière)
"Les gens de lettres aiment ceux qu'ils amusent, comme les voyageurs aiment ceux qu'ils étonnent."
(Pensées, Maximes, Anecdotes ; Chamfort)
"Les sources d'un écrivain, ce sont ses hontes ; celui qui n'en découvre pas en soi, ou s'y dérobe, est voué au plagiat ou à la critique."
(Syllogisme de l'Amertume - Gallimard ; E.-M. Cioran)
"Les grands écrivains n'ont jamais été faits pour subir la loi des grammairiens, mais pour imposer la leur et non pas seulement leur volonté, mais leur caprice."
(Positions et Propositions - Gallimard ; Paul Claudel)
"Il y a des écrivains dont tout le talent ne fait jamais rêver au-delà de ce qu'ils écrivent. Leur phrase emplit l'oreille d'une fanfare, c'est tout."
(Journal - Flammarion / Fasquelle ; E. et J. de Goncourt)
"Les écrivains médiocres rendent leurs idées, mais ne les expriment pas."
(Hérautl de Séchelles)
"Les vrais grands écrivains sont ceux dont la pensée occupe tous les recoins de leur style."
(Victor Hugo)
"L'individualité la plus répandue parmi les écrivains ne consiste-t-elle pas en ceci que chacun a une manière tout à fait particulière de cacher ce qu'il a de mauvais."
(Journal, traduction Marthe Robert - Grasset ; Franz Kafka)
"Un écrivain est essentiellement un homme qui ne se résigne pas à la solitude. Chacun de nous est un désert."
(Dieu et Mammon - Edition du Siècle ; François Mauriac)
"On devrait considérer un écrivain comme un malfaiteur, qui ne mérite que dans les cas les plus rares son acquittement ou sa grâce ; ce serait un remède contre l'envahissement des livres."
(Humain, trop humain, traduction A.-M. Desrousseaux - Mercure de France ; Nietzsche)
"Il est des écrivains profonds à la manière des puits ; au fond de tous deux, il n'y a que de l'eau claire."
(Jules Petit-Senn)
"Ecrivains, ceux pour qui une phrase n'est pas un acte inconscient, analogue à la manducation et à la déglutition d'un homme pressé qui ne sent pas ce qu'il mange."
(Littérature - Giraud-Badin ; Paul Valéry)
Sources : Avant que d'écrire j'ai lu ces auteurs, et Gabriel Pomerand (Librairie Générale Française, 1962)
@F.C/Franz Kafka en 1917, une photographie de la collection du Musée de Prague ©Getty - Heritage Images