Le stress, c'est comme le vent, il faut le laisser passer...
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Le stress, c'est comme le vent, il faut le laisser passer...
INDIVIDU / CE QUI N'EST PLUS DIVISIBLE : au bout de l' Humanité est...DIEU
LUEUR D'AUTOMNE / Pleine lumière pour aller chercher au loin de moi l'oasis et la source des couleurs de l'Amour, sans les bois morts ni les fièvres colériques, mais l'autre côté des étés flamboyants caniculaires aux rougeurs de poivron. Ajoute le sermon du feu d'aimer aux herbes sauvages au-dedans nuit et jour ! L'âme-Our !
Tout s'ouvre sans jamais plus se refermer sur le terrible ego, tout s'ouvre ! Don de Dieu, et de la Nature entière !
C'est ainsi que la pureté de l'esprit ne s'échauffe plus aux farcissures scolaires du tout-apprendre-par-coeur-sans y rien comprendre, qu'à se raser le crâne, on devient bouddhiste à apprendre par-Le-coeur une connaissance du monde comme d'un jeu d'enfant à qui on a donné La Parole, et du sens à notre question : - Toi, mon enfant, dis-moi ce que tu en penses des "grands" si peu intelligents qui, au lieu de faire l'amour aux mots et à la Nature, les détruisent tous deux en leur faisant la guerre, style d'un paternel qui giflerait son môme d'un : ah, tu veux l'amour, toi, eh bien moi je te fais la guerre !...Dès lors, oui, ainsi que dit le bon philosophe : une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue !
Elle est un pronom réfléchi autant prénom de quiconque "entre en lui-même"... Ambre, elle répond au prénom de Ambre...
Ciel montagne bleue
Connais-tu cette patrie qui ressemble à une promesse de HUGO en EXIL..? Sans personne à ses côtés,
le plus grand des génies
sombre dans la mélancolie...
L'évanouissement parapsychique, après ...
Hugo dessina en exil ruines et lugubres labyrinthes...
Ses "misères" devinrent Les Misérables ...
Exilé à Bruxelles, Guernesey...
Terre au-delà des eaux où le soir nous interroge
abandonné à soi-même au fin fond d'une forêt
sur l'autre rive où demeure l'antre de nos secrets ;
tu la connais ?
Cette terre là-bas de nos chansons anciennes ...
Évanouissement intrapsychique...
JUSTICE HUMANO-DIVINE !
Dans le miroir : on cherche quelqu'un qui n'est pas là, mais qui s'auto-perçoit (on se perd soi ?...)
EDF LUMIÈRE / On cherche Dieu, pour l'heure : aucun résultat trouvé... qu'un feu Koala de bois
Depuis la route Crozon, Horace stipule : Hâtez-vous toujours vers le dénouement quand d'un proverbe persan l'on devine qu' : "une main douce conduit l'éléphant avec un cheveu" même loin de quimper, côté Gannat de l'Allier... Faut la lier, la vérité de soi aux autres identités, 8 milliards d'inventitiés sur terre, désormais..., évitant les fous à lier.
On (se) corrige à n'en jamais finir d'écrire, de crier : je ne veux pas finir...ni mettre un point final à ce qui ne se peut jamais finir pour de vrai, pour de bon, pour ...sombrer dans l'ombre éternelle d'une profonde nuit sans étoiles. Serions-nous en dissolution totale qu'il conviendrait à renaître quelque part, non ?.. On se replacerait ainsi dans une autre vie d'indéfinis désirs, non ?.. On se maintiendrait en des formes irrésolues... Pensées, Emotions, ça n'est que ça une vie, un corps-de-pulsions qui nous place(nt) hors de soi tout en rentrant en soi, comme de revenir en notre "chez soi", un logis quelconque à moins qu'une maison avec jacuzzi ?
Quel est bien alors ce "moi"-écrivain dans un corps de l'homme-poète qui dessinerait aussi ce qui n'advient en mots/maux réels ?
Il faut un gant de crin après un bon sauna afin d'enlever au mieux les vieilles peaux usées, inutiles et peu sûres.
Proust avoue : "Laissons se désagréger notre corps, puisque chaque nouvelle parcelle qui s'en détache vient, cette fois lumineuse et lisible, pour compléter [la connaissance spirituelle], au prix de souffrances dont d'autres plus doués n'ont plus besoin, pour la rendre plus solide au fur et à mesure que les émotions effritent notre vie, s'ajouter à notre œuvre"...
Reproduction d'Annibale Carrache (1560/1609) / La Pêche (1585-1588) / La Renaissance italienne [pendant à la Chasse, donnés à Louis XIV par le prince Camillo Panfili, en 1665 - figure à l'inventaire Le Brun, en 1683]
"Je peins la neige", disait-il enfant (trempant pinceau dans le pigment noir, puis adulte : Le brou de noix ) : L'art est son Refuge d'alors, d'abord... Hommage dans le lieu de La cour Carrée / Creuser en soi.
Segalen / Char / Reverdy = Soulages
DON UNIVERSEL inaliénable
Pour se reposer l'âme et l'esprit de tous ces bruits ténébreux du monde d'un peu partout menaçant/menacé, Bach s'impose !
Porte de la sacristie du Queen of Holderness, St. Patrick, Patrington, Yorkshire - La Lumière (de l'esprit) est intérieure ; l'ombre de nos vies (cachées ? menties ?) à l'extérieur - ce qui me laisse à penser que si Dieu a fait l'homme à son image, celle-ci n'est qu'intériorisée, qu'une image intérieure...que trop de pensées assombrissent...