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25 février 2022 5 25 /02 /février /2022 07:56
Sans verser dans l'anathème, tout "fou" a sa logique, donc même brutal (seulement, de caractère ?..) Poutine se prend pour l'ombre d' Hitler envahissant la Pologne, il vient d'ordonner le bombardement de Kiev, à quoi le chef armée ukrainien demande d'infliger un maximum de perte russe, dans cette "nouvelle" guerre asymétrique, quelques jours après la fin des J.O d'hiver Pékinois où le Poutin(e) a été reçu par l'autre dictateur... Et, banni le sommet d' Helsinki 75 : "choisissez vos alliances comme vous le voulez", informait leur décret signé entre russes et ukrainiens..
Et oui, de lire la terrible et angoissante situation, que veut Poutine, rien qu'annexer l'Ukraine, et s'il y arrive, il sera à la frontière de....la Pologne, et qui a envahi la Pologne comme le fait en ce moment Poutine ? Hitler !...Ceci prouve quelque peu cela, à vouloir gros, il veut dévorer l'Europe avec l'Ukraine qui, bien, a un visage tournée vers l'Europe, quand l'autre face regardait jusqu'à hier encore : la Russie qui se dit être les "grands russes", face aux "petits russes", ces Ukrainiens que déteste Poutine, qu'en langue russe, là-bas, s'écrit : Putin... C q f c et d ! ..Gardez moral, tous deux ! Tintin est allé enquêter en Moldavie, euh, à craindre que Poutine passe par là aussi !
LE LIVE D'UN FOU FEROCE ET BRUTAL, PUTIN DE POUTINE
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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 16:44

Naître à l'éveil promis, source de fraîcheur, quelle douce présence meut dans sa beauté ?... Pose, sans trêve, l'écoute assurée. Flocons de bienfaisance, duvet de bienséance... Multiple bienveillances, loin sur la mer. Et, toute trace, au-delà de l'horizon, instant de lumière au cœur des souvenirs...autant éblouis que chaotiques. Jusqu'à l'oasis, refuge de la Nuit.

Est-ce si grande blessure narcissique que d'admettre que la terre n'est plus "au centre du système solaire", qu'on recrée à l'infini des concepts tout en écrasant des fourmis, en détruisant les abeilles, en maltraitant les animaux domestiques et sauvages, en polluant les fleurs et les océans, en embrassant les forêts par jalousie de savoir plus grand le soleil, centre d'absolu-ment rien du tout, et que milliards de galaxies-étoiles-quasars et autres trous et matière noirs dépassent notre entende-ment ? Ah, blessure de NARCISSE au plus mal de son reflet, sans Echo qui plus est, enfuie bien avant lui au sein de cet Espace-Temps pensé tel un Chemin de Damas, radicale conversion et retournement sur soi de tout ce qui fut jadis rituel quotidien et cheminement de pensées, plus fausses les unes que les autres, comme d'avant la relativité d'Einstein ? Ah oui, profonde faille narcissique, donc ?.. Ne peut-on plus déterminer un possible présent puisque le gouvernement est démembré lui-même, dépassé ?... Jadis, au Nom d'une Révolution (bien française), on tranchait physiquement les têtes (de turcs ?), bientôt assisterons-nous à un autre gibet, couperet tranchant du symbolique, à renverser Guillotin dans sa tombe, en étêtant l'Etat, et tout le toutim avec ?... Surprise au demeurant, on ne sait pas plus ou va l'univers que notre pays moins basé sur l'eudémonisme (du désir-sujet libre et égal en droits de "sa" liberté d'agir et de penser) que l’homogénéité de nos espaces hexagonaux

Quimper, sous un ciel grippal d'une heure, puis nuages-coton blanc, gris souris qui pleure au lieu de couiner soleil revenu... Eh bé, temps de Février fort incertain aussi !

Pour garder son calme :

 

Retour à l'Île de Cadlao dans l’archipel de Bacuit, Philippines ?

Le soleil couchant jette des tons ambre et indigo sur les eaux transparentes de la baie de Bacuit et fait passer Cadlao d’un vert luxuriant à une silhouette sombre. L’embarcation au centre de notre image, qui ressemble un peu à une libellule posée sur l’eau, est un bangka. C’est un bateau philippin aux origines lointaines, qui prend en général la forme d’un canoë à double balancier. Les bangkas sont un moyen idéal de sillonner le patchwork d’îles et d’îlots calcaires qui constituent l’archipel de Bacuit, dans la région formidablement pittoresque d’El Nido.

Cet archipel regorge de lagons cachés, de plages de poudre blanche et de sites de plongée magnifiques sur les récifs de coraux. Parmi toutes ces îles, Cadlao a de quoi se distinguer : à plus de 650 m d’altitude, son sommet est le point culminant de tout El Nido.
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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 14:51
- Bonjour monsieur, vous auriez une pièce à dépanner ?
- Non...
- Merci, bonne journée, monsieur...
- Sinon, vous écoutez quoi, là, dans votre baladeur ?
- Oh, ... Armanet... Juliette Armanet...
- Alors vous pétez le feu ?
- Ah, non, je le brûle, monsieur, c'est son nouvel Album : "Brûler le feu"...
- Ah tiens, je le connais pas, vous le prêteriez ?
- Non !
- Bravo, un partout, balle au centre du foyer...
- Quel foyer ?
- Ben de l'âtre, quoi, là où sont vos braises...
- A l'aise, domphe, oui monsieur !
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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 10:20
BAC 8...CONNERIES DE PUTIN ° /...
Putin de Poutine
Tu vivras comme ils vivent
Tu verras ton enfer
Tu mourras comme tu les fais mourir
Tu n'as pas de coeur sensible
Ton coeur de pierre t'aveugle
Il faut des yeux de femme pour voir les beautés du Monde
Tu es dans la logique folle du toujours-plus (de terreur, donc de territoire)
Tu as la psyché imbécile du désir-manque, toujours à se remplir d'attente
Ta femme ne sait pas t'aimer
Quand on a l'amour on ne cherche pas à déclarer la guerre mais sa flamme même à son ennemi
Devant la haine le mot "amour" détient tous les "pouvoirs"
Tu n'es pas un puissant, te prendrais-tu pour DIEU que celui-ci rigolerait de ton avanie crétine
Tu n'as rien qui ne t'appartienne
Réellement tu viens de signer un pacte avec les forces du mal qui entraînent déjà ton âme noire dans les cercles infernaux de l'Hadès où elle errera avec celle d'Hitler et autres imbus de leurs petites personnalités à se la jouer dur comme fer
N'as-tu fait qu'oublier les leçons de l'Histoire
que seul l'Amour vainc les horreurs de ton acabit ?
Putin de Poutine, la maladie du siècle, l'Alzheimer, tu l'as,
façon Ail-Z'hitler.. !
Des établissements de longue durée ne te prendront même pas en charge ! Ta maladie du cerveau-lent (cerf-volant) reste du domaine de la neurologie démente. Tu fais montre d'un être calme, en fait, tu es carapaçonné dans une armure de haine contre la liberté heureuse et la démocratie en paix. Triple buse, chef du Cas j'ai Bêtise.
En faveur de ce qui est devenu fin de l'après-guerre, 45-2022, tu t'es cru un nouvel oligarque frappé... (des mal-à-dits du cerveau lent)..
Lobe frontal : zéro neurone. au plan d'aller envahir l'Ukraine, programme général, évolution du pire
Lobe pariétal : dépareillé (incomplet)
Lobe occipital : voie du "où" j'erre, fou j'erre dans les fougères du "quoi", zone du lobe Temporal où tu n'as pas même le BAC.8 du Bacuit, Île de Cadlao dans l’archipel des Philippines
L'oncial occupa ton trou du vide intérieur de l'intuition, zone blanche.
Tu oublies encore l'effet boomerang. Questionne les faits hitlériens, ils seront tiens, cause du petit garçon qui, au lieu de jouer au tank en plastique sur une mappemonde de fortune, perdra fortune et grâce aux yeux du monde qui déjà te condamnent à plus outre. Foutre de guerre, plus que feu de dieu ou foudre...d'une telle, meurtrière, la guerre est toujours assassine..., criminelle, lâche, veule, boueuse.. Un charnier. Ta Russie d'an-pire ! Contente-toi de ce que tu as, tu ne mendies pas dans la rue des tiens : une p-t'ite pièce, msieur-d'âmes, vous auriez, une petite pièce de plus pour mon palais-crème-lin ? Cas de là-haut ?..Tu n'auras pas la paix de Cadlao, triple buse !
Ci-dessus, poético-spirituelle image de Paix, in Bacuit, Philippines = île de Cadlao...
 
°/
Titre poigne-arts (poignard) contre l'effet Poutiniste...actuel... qui me révulse autant que plus d'un pays entier, ethnies, ensemble de peuples sains d'esprit et d'âme..

Déjà, un crash d'avion militaire, un adolescent ukrainien, mort à 16 ans - dégât collatéral dont Poutine se fout, etc... La vie humaine ?..Il parle d'état militaire et de défense ukrainiens à supprimer, niet niet... Il veut fermer la livraison du gaz russe, pour manger froid ?.. Et, quid des pétrissages si les boulangers n'ont plus de ...blé ?

Bon, on fait quoi, dans le secteur ?.. Si nous sommes naïfs, nous sommes bien plaisants, et, à ne point l'être, ne vous fâchez pas (à l'échelle inter-nationale), l'anticyclone regonflé au-delà du ciel de traîne, les idées nous passent, nuageuses, au réveil, cause que l'autre ne connaît plus les bonnes règles de base de vie ensemble, au meilleur des peuples, à rester en situation (s) sartrienne (s), identique... Serait-ce peut-être d'être un nigaud quand vous n'avez guère envie de soutien amoureux ?

Dormira-t-il mieux sur ses deux oreilles, ce fou, n'ayant pensé ni aux enfants ni aux femmes d'innocentes victimes futures, assurément ? L'homme seul, entouré par d'autant oligarques fous. Jeux d'échecs et Mat !? Les écrivains, artistes, russes et ukrainiens, ne peuvent rien, évidemment... Une plume, un pinceau contre kalachnikov et tanks, évidemment, peu d'égalité !

Ce matin, à l'annonce qui me révulse : - (nous sommes en 2022, pas chez les Tsars !...) ai-je failli lui transmettre au K.G.B.. : Kalash. Generalissime Bombardement !

BAC 8...CONNERIES DE PUTIN ° /...
2001-2025 : Hécatombe, selon prédiction de Nostradamus ; 2026, Résurrection = renouveau spirituel / X.74 : Au revole (ancien français pour retourner) du grand nombre septiesme (septième millénaire, qui a(urait) commencé en septembre 2001, le 11, à ce que l'on a su) Apparoistra au temps jeux d'Hécatombe ; Non esloigné du grand eage milliesme (mille ans de l'Apocalypse, pendant lesquels Satan est enchaîné ; tiens, l'antéchrist serait déjà sur terre ?.. Quel visage a-t-il donc ?..Cherchons, cherchons un peu, cherchons mieux...) - Que les entrez sortiront de leur tombe (apparaîtra un temps de massacres quand ceux qui étaient entrés dans leur tombe en sortiront (Le Christ fit allusion des Pharisiens les signifiant comme des sépulcres blanchis, selon l'évangile de Matthieu) : annonce alors d'un renouveau spirituel (pour une paix universelle (enfin !?) 2026-3000....) Après, ils verront bien, ceux et celles qui seront encore là. Pour l'heure, nous assistons à la démence d'un tyran (un simple citoyen qui s'amuserait à déclencher des bombes, il serait aussitôt interné, enfermé avec camisole de force, toute "blanchie" aussi, tiens donc... ! PAX ET BONEM !
Baroque à l'extrême, contre-plongées suivies de grands angulaires, quelques lentilles déformantes vissées sur l'objectif de la cyber-attaque russe, plans inclinés de tirs meurtriers (vers des bases militaires, mais atteignant ainsi immeubles civils), ça scandalise à l'immédiat, telle furie pour danger monstre, tel un sujet d'Ipcress...aux sévices d'un Dracula Putin....
NB/ Ipcress, danger immédiat (The Ipcress File) est un film d'espionnage britannique réalisé par Sidney J. Furie, sorti en 1965.
 

GRAND RAPPEL D'IMPORTANCE :

Vaut mieux offrir des fleurs que des....armes... Curieux, on ne fait jamais la guerre avec des... fleurs

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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 08:15
PLOUEZOC'H...QUOI ? FIAT MOTEUR !

Ô Touarn de Plouvorn, de nos subconscients acquis à Eros, Thanatos semble en faire sa part belle !

Comme si, à chacun ou chacune qu'on se rencontre, on leur demandait, absolument, et immédiatement, de guérir nos plus profondes et pires souffrances d'abandon d'enfance, illico presto, rapido, fissa, qu'elles disparaissent d'un bisou ou d'une parole, fissa, voilà, oui car les forces obscures de Thanatos agissent plus vite et aussitôt sur le "ça" isolé au grenier Jungien de notre Inconscient, ça c'est sûr, encore expérimenté hier, ô, Touarn de Plouvorn, que fous-tu désormais à Plouezoc'h alors qu'on avait rendez-vous d'Eros aux alentours de...Trèfle à Ouessant, Treflaouenan ? Nan ?..

Fiat moteur ! Contact avec Gens....

Je suis bien dans le cadre, là ?

- Oui, là, c'est parfait...

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23 février 2022 3 23 /02 /février /2022 17:46
BOBILOOK BODY

Avez-vous trouvé votre rêve secret ?

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23 février 2022 3 23 /02 /février /2022 17:06
AU TEMPS RENVERSANT (sur Douarnenez-Rosmeur)
Autre rappel sans heure qui sonne.
Que faire en tout d'un coup ou en plusieurs.
Le vent lance son convoi de souffles qui brise les branches.
Des morceaux sur les marches.
Pourrait-on dire comme dans le Chabrol : "Jolie ville, Quimper"....
Alors, toutes les images volettent dans l'espace.
De souvenir en souvenir du promeneur derrière des flots derrière d'autres vagues, au champ de vision devant l’œil du promeneur...
Et, l'expérience du rappel au souvenir.
Que peut-on fixer, le pas allant ?... Même, d'un petit pas ?
Comprendre que la vue de l'esprit n'est pas observable à l’œil nu.
Écarter loin des formes humaines qui se laissent secouer ainsi que personnages verlainiens, fictifs, sur qui un pâle soleil urine;
Il y a des échanges sur les Présidentielles.
Et l'esprit, l'oeil de l'esprit du promeneur va au ciel, et commence son voyage naguère, à ce jour de la première fois où il vit le Jean Yanne de "Que la bête meure"...
Chaque image, l'ensemble formant un album filmique et sans le son ni la couleur, et le je du martyr sur la flaque de fin d'hiver ;
Ensuite il nous faut des chants
Une donnée de suppliques en surface
et roucoulement de gorges
Après c'est dans le ventre (souffle de méditant)
Et de me déchirer les idées sous les fortes
revenantes.
Heures empêchées qui désirent qu'on les écoute.
Qu'est-ce qu'un invisible temps
fœtus du dedans ?
Mains sur les tympans.
Pour ne point entendre les cris des écrits
transgressés.
Un bloc de tout ce qu'on sait
dans une mal-à-dits
et d'une mort quasi omniprésente
et qui en rit.
Résister.
A quoi ?
Genoux repliés dans le cou.
Celui-là ne sort.
Ce bébé. Et, pour l'autre, on a dit :
- Il n'y a rien à faire avec ce corps de l'instant.
Quel est ce suivant à l'autre sexe qui semble plus absurde ?
Qui ne voit jamais rien d'un être divague, et dit : - vague,
ressac, et laisses qui démontent à peine tout l'océan matri-ciel
pastel (passe-t-elle ?)...
Sois nu (e) !.. Enlève-tout !.. Qu'on voit tout ça...
Il nous faut voir... La cicatrice tremblée n'est pas à sa place.
Mentalement, peut-être, mais nullement corporellement.
File !...
(enregistrement du corps "médical"...Carnet estampillé :
- sans qualification, poète peut-être, et en-corps, on ne sait pas ! )
C'est relancé.
Épuisant : - deux minutes de perdu.
Sur le temps menacé.
Autour, poésie.
Nul n'a lu. Nul ne sait.
Ca a été écrit
dans la nuit où plus rien ne fut dit.
La voix aussi avait disparue.
Il fallut tout relancer.
C'est de nouveau relancé.
Les ébauches du hasard.
Ça troue le ciel des images de l'esprit.
Corps nu. Sexe. Crachat. Poils. Tout.
Vacillement des souffles qui reprennent le temps des soleils oubliés.
Au-delà, c'est la profondeur sans nom des nuits en une.
Infatigable coq chantant
L'aurore dans le bleu-gris
C'est dans l'ombre qu'il est dit
de mieux croire en les lumières
L'immobile silence en lueur de récit
minuscule doigt sur les commissures
Les mots n'ont aucune destination
quand bien même il y en aurait une
avant que de les dire à qui hésite de (se) les dire
et de les convoquer pour d'autres oreilles qui écoutent
(et, celles des morts, cette question des disparus
qui reviennent à peau translucide dans les images cornées
du mental)...
Une voix prononce : - Nul souvenir ne s'inscrit
dans un lieu innommable... d'avant celui de la terre
où les corps ont passé le laps d'une vie
silencieuse à proximité des "peut-être", à peine là.
A se tenir au lieu commun à distance de nos vérités.
Marcher depuis naissance jusqu'à aucune destination.
A-t-on un Nom qu'on écoute, ici-bas ?
Il n'y a aucune chronologie individuelle, si personne
ne s'intéresse à la béance de notre oubli.
Quoi ?
Une ligne perpétuellement décalée dans la marge :
- C'est mal écrit, votre vie, ici, là, corrigez-moi tout ça !
A-t-on une histoire sûre qu'on se raconte pour un autre ?
Ce sera "oui", ou non, ce n'est rien d'obligé.
 
 
Afin que tu puisses faire un signe au divin s'il te frôle
à retrouver les yeux du dedans
remercie triomphal le silence de clarté
d'esprit
à cet ange fiévreux qui bruine le ciel
en dentelle de néant
Saisis à plein vent secouant
ses ailes
- Sache que le mental a besoin de nourritures spirituelles,
pour en calmer le corps enclin aux matérielles,
Merci !
Ö chère hébétude, d'habitude si cruelle,
te voici bien sage devant cet ange de pluie
que tu questionnes par la fenêtre d'ici...
(Kemper-city Quartier Cosquer-Pontigou)
Cette jolie pluie n'est point méchante du tout
(car elle est l'ange d'habileté qui sème un peu partout
le don d'ubiquité, afin que le monde puisse faire au divin
son signe de remerciement, quand il passe, soudain...)
Une pluie nettoie toujours quelque chose en nous....
Où poser le regard
en ces lieux de regards
Question du Voir
dans les réponses du concevoir
à peine échappé le visible
en recherchant l' Indicible
La nuit du matin continue de s'élever
Il fait grande pluie Cela tombe et s'élève
Mais celle du soir hier a fini sa croissance
Sommet de spiritualité où tout peut se retourner
quand dans l'instant passé-futur se contemplent
en semaines de mystère : aventure d'une rose
forclose en dedans nos cœurs
Voici en préfiguration de la rime cette trémière
aux pétales d'une sagesse d'éveil :
- Je ne donne jamais ce dont je n'ai
Ni plus dans un chant d'or qu'en un de genêts....
 
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23 février 2022 3 23 /02 /février /2022 16:58
SPLASH EN UN INSTANT....
En un instant. C'est l'aurore.
Suffisantes heures pour pénétrer le jour, et le rêve.
Piano stellaire. L'univers se mêle au chant des volières.
Et, des goélands sur la mer et l'océan.
Au céans, c'est déchiffré dès l'écume, depuis les embruns.
Toutes les âmes sont désirées, vivantes, jamais déviées.
Des mains ailées jouent, et, une flûte...
Vent fantôme, voix monocorde d'un Ave Maria.
Et. D'une rafale de sons suivis. Le rouge d'Almodovar d'une robe solaire qui s'enlève, et se lève à l'horizon, avant que la pluie n'éclate sur l'orage et le sol.
Roulements intacts du tonnerre de chair... Au temps renversant sur l'instant sans emploi.
Inertie.
Dans le trou noir du ventre orageux.
Oh, ce vacillement d'une lacune d'ombreux.
Oh, cette couture syncopée à l'image des synapses.
D'abord, l'aurore, débordant dans la pluie atroce qui semble uriner.
Ensuite. Le pubis des cimes de la forêt non loin des premières rives à soixante degrés du temps du vent.
Jusque là tout était net et vide, après la disparition du bébé : un rat d'étal de boyaux glauques.
Rauque à la voix, on a entendu : pfntt !..
L'orage à la fièvre des nuages aussi fous que folles les frondaisons balayées ainsi que des palmes noires...
Les éclats des fracas sur les rochers aiguisés, il y a aussi ça à quelques pas de promeneurs lançant des échos de chansons où l'on cherche un chemin à suivre, et balisé, l'un précédant l'autre... Tout ça pour rien ?
Et tous gueulent autant que l'orage qui s'écrase sur la baie.
C'est d'un sombre, ce ciel soudain, on dirait qu'on pleure un mort ! L'ankou revire ?
Un bébé, dit une voix qui pleure au-dedans.
Il y a surtout qu'on l'avait pas entendue. On riait trop, non de plaisir, mais pour chasser sa propre peur, et les tas de torpeurs que nul n'ose avouer. Articulations d'un aveu, qui s'effondrent en soi. Pour tous, qui se fouettent l'effroi, dès un autre coup de tonnerre, approchant;
Laisse venir la mer !... Elle monte, la marée...
On épie la cime des pins philosophes sur la crique, frappée de vent.
Un pépiement au loin dans la poussière d'embruns.
Un fou de bassan, misa un des randonneurs, au pillage des avis.
Don, chacun abat un : oui, doux d'un corps d'oiseau frayant un corps de fée en supplice, en croix sur les bois déjà morts.
Comment font les forêts sous les orages sans pleurer de peur au bord d'une mer amère ?
De hautes vagues volent la peinture de Goya décrite au précédent.
Repérage des fouilles de grotte marine, comme des ventres ouverts enfantant des bébés morts. Chapardés à la violacée.
C'est vie, assez, mâchouilla celui d'Ys-ci qu'on n'avait entendu. Moi, je rentre...
T'as peur de l'orage ?...
Non, mentit-il, je m'occupe de luxe, non du grand sabotage, fût-il du divin qui n'en a pas besoin, de Sa Création haute couture à des touches d'y voir. Quel en serait notre fort ?
Désormais. Où sont passés les échos ?
Une semaine. Fin du vide du dedans.
Qui des yeux du vide les observe ?
Une chair séparée d'une autre grotte qui l'a vidée : Pfnttt !
Tout de suite, les pleurs vont d'une larme à larme.
Et, raclement craché : - le corps est là, là-bas, dans un rejet qui fait place à un vol d'un autre, tout splasché, enfin : éparpillé dans l'espace de côté.
Provisoirement étoile. Une parmi les astres dénommés, déjà.
Quelque voix poétise un texte du ciel sans éclipse de lune ou de soleil.
Un empêchement. Il se révise un vent dans le chant d'un oiseau rare.
Ça poignarde de beauté telle une nuit de Vincent.
Comme Van Gogh au café.
Et aussi des clairs-obscurs... Enfin, des ombres de goya fusillées dans la lumière du jour.
On rêve ?
Non : - on croit en Dieu codé.
Ah, quel message ?
Le grand tout n'est prisonnier d'aucune chanson...
Sans musique aucune ?
Eh hop, tout en grand silence, oui...Enceinte de myriades autres, les hyménées... calquant les rondeurs de ventres de vraies parturientes sur la page de fond du ciel.
Les flambeaux de l'hymen chers à Ronsard, vous savez ?..
Pas lu.
Et, de celui-ci : doux hyménée, Qu'un rejeton d'amour (...) Consolât de...
L'ennui ! Pas lu non plus, ni de jour, comme de nuit. La voix du poète s'en est allée avec le reste des pages étoilées...
Petite fenêtre : - le ciel grand bleu est vide.
Au ciel, fait-on l'appel des bébés morts ?...
Allez ça-voir !... Nous, on entend les appels dessus les grands toits.
C'est le miaulement des chats, c'est tout.
Moi, je ne crois pas.... Au chapeau pointu des deux aiguilles de la Saint-Corentin, la cathédrale soudain se pose sur les âmes consolantes des nombrils étoilés...
Oh, sous la terre grouillante, c'est beau, la toile d'araignée du firmament, et, de la voir ainsi que sur l'écran d'un cinéma, ce serait bien drôle de revoir son film de vécu, plus le bonus, un plus à ce qui est bien rempli dedans... Immobilité qui appelle les yeux à recommencer l' Espace des enfants comprimés, stellaires. Chaque brillance est une vie déchirée d'un ange, non ?...
Certain ! Les menstrues des femmes portent ainsi tant d'enfants qui avaient soif et faim de vie sans fin...
Ignorant !..
Maux sans poi(d)s !
Pfnttt !...
L'élan de la glotte...
Un mot, saisi... Pas de coup.
Greffe d'un dedans qui s'ouvre par dehors.
Ventre percé d'un hurlement sourd.
Consistance d'une épaisseur qui se contracte.
Sang à l'écoulis de cent et un flots.
Honteux ruisseau en circonvolution violette et d'un sombre rouge.
Qui entre majeur et index on permet un frottis.
Les cuisses de l'univers sont béantes et il sort...
Un suintement de mort.
Est-ce fini ?...
(Un temps : - ....)
Pfnttt !... Pfntt !... Accroc d'un avant-souffle.
Avec force anges avortés.
Surgit dès lors le néant pour une portée de rien.
Depuis l'espace, une boule rouge....
Que sont ces formes auburn au paradis des épuisements ?
TERRE EN FEU !
 
 
 
 
Claudia Camarena de Obeso, Ana Nancy Garay Vizcaino et 3 autres personnes
 
SPLASH EN UN INSTANT....
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23 février 2022 3 23 /02 /février /2022 16:19
ALAWAKING Solen [Le Soleil], 1910-1913 Philou rien à faire !

Le rayonnement du soleil étant le parangon des rayonnements de l’âme, la couronne de lumière que déploie Soleil de 1910-1913, innervant le bleu de la pierre d’une dominante jaune, constitue le symbole de l’esprit vivant qui anime la matière inerte. La sphère céleste, ciselée dans le ciel, pointe l’endroit où fuit la perspective. Le paysage rocheux du premier plan s’arrondit sous l’effet d’une déformation optique qui amplifie celle de la pupille. La peinture produit un jeu de miroirs : le soleil de la toile et l’œil qui l’observe ne font qu’un, l’un éclaire l’autre -

tableau ci-dessus :

Solen [Le Soleil], 1910-1913
Huile sur toile, 162 x 205 cm
Munch-museet, Oslo, Norvège
G.J de votre quinzième doute, n'oubliez pas que tout projet utopique nous fait perdre du temps ; actant : L'imbécile, triple buse, tire sur les plantes en croyant les aider à pousser !
Posez-vous plutôt cette question cruciale, majeure en La Capitale Une :
- Quelle est la vérité capable de soulever d'amour l'existence universelle ?
ALAWAKING Solen [Le Soleil], 1910-1913 Philou rien à faire !
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23 février 2022 3 23 /02 /février /2022 07:30

Il est su que... "la littérature tisse et tisse depuis des siècles une tapisserie incommensurable réalisée avec les histoires qui condensent les fils de l’existence humaine" ; Yes, et ainsi chaque "fil" à son importance, retirez-en, que l'immense tapisserie aurait des trous dans son histoire universelle......

....à ressentir une énorme ouverture du cœur, ainsi qu'une reliance exceptionnelle avec vous et avec tout ce qui est.

Rites en ballade par là, bala...prana ! Un son ...de dimension, de perception,  Ritambhara Pragna : forme, et motif de perception du son.

Tout est distinct.

Tout est impactant sur l'écoute et le système nerveux.

Sons naturels de la...NATURE & du VIVANT...

ECOUTE...EN SILENCE.... Oreille attentive... "tout ce qui vient est à écouter, c'est très important," nous dirait un maître ZEN...not Guru !

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