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9 août 2018 4 09 /08 /août /2018 08:07
Zoom sur la lectrice à la fenêtre du pré-soir en soi
Zoom sur la lectrice à la fenêtre du pré-soir en soi
A-t-on foi en l'Humanité dès le naître ?

Et, naît-on poète au tréfonds du plus profond de l'être ?  Ferme les yeux, vois-tu le monde ainsi que je le perçois ?
Ecoute la nuit, la perçois-tu ainsi que je la vois ?
Où va ta nuit mon jour la suit
et de mon quotidien qu'en sait le tien ? La pluie d'été rend joyeuse
quiconque f'âme sut en un instant
aimer et se donner à l'heureuse
fée du plus doux des moments - Une rue la nuit. Déserte.
Aie pitié. Ne cherche pas le passant,
même depuis une fenêtre....
Il semblerait aussi que Dieu n'y passe pas. Nager nu dans l'eau des rêves, est-ce plaisir dionysiaque (goût sensuel d’Éros) à moins que contrôle apollinien des pulsions ? Camaraderie des paysages, cela nous suffit-il comme bonne éternelle compagnie ?

Si la souffrance infinie ne vient que de la vie,
loisible calme du lac à songer solitude sans peur du vide
ni de l'absence angoissante, à l'écoute de tout léger bruit....
pour y prolonger d'approfondir le silence languide...
détiendrait alors la Clé du par-à-dits ! Bon. L'heure de quoi, maintenant ?
De l'espace loisible, il est encore temps... Face au miroir quel je-u s'y reflète de notre être,
et, quelle autre vie trans-générationnelle de soi s'y répète ? Puisque toute réalité, insatisfaisante,
dedans quel imaginaire puise-t-on la force errante ?
Tourne-t-on en rond sur même place publique,
quel chemin nouveau nous en dit la route... hors fantasmes impudiques ? La spéléologie des ténèbres lointains en notre puits du for intérieur remontant à si loin que la nuit elle-même n'en pourrait con-tenir tous les déficits inconscients d'un réel impossible et nos rêves improbables...
endéans le nid d'essaim d'une psyché bruyante en acouphénie ?
Rayer nos lapsus, effacer nos non-dits et gommer les écrits d'à-voeux (aveux) inédits... , sera-ce nous cacher derrière les murs si hauts d'une prison intérieure qu'on préférerait en être prisonnier à vie plus que de goûter éternellement à une liberté consentie sans sur-moi ni ego démesuré ?
Il semblerait aussi que Dieu n'y passe pas. Quel souvenir déclencheur de la boîte à musique opéra l'horribilis in te ? Horreur du sexe qui vient....

 

L'âge n'y fait rien à l'affaire,
vous n'y êtes pour rien,
vous niez pour rien,
pour rien
r i e n
n i e r....
Page loupée
à la loupe
des naissances...
A l'étude, jadis, j'y vivais bien davantage, tant les livres nous font exister en multiples lieux avec force "personnages" d'auteurs démultipliés eux-mêmes, la solitude studieuse élargissait ainsi mon champ estudiantin..., sans épreuves ni rien, que la tranquillité du Lieu d'être (s)....

"Le monde ne te fera pas de cadeau, crois-moi ; si tu veux avoir une vie, vole-la ! " (Lou Andréas Salomé @ Nicole Heesters la jouant)

Zoom sur la lectrice à la fenêtre du pré-soir en soi
Zoom sur la lectrice à la fenêtre du pré-soir en soi
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5 août 2018 7 05 /08 /août /2018 05:27
Le Tsundoku de Tony Par-cœur

Le terme tsundoku (積ん読?) désigne l'accumulation sous forme de piles de livres qui ne sont jamais lus

Le terme vient de l'argot japonais de l'ère Meiji (1868-1912). Il est issu de 積んでおく (tsunde-oku?, pour désigner les tas de choses laissés pour une utilisation ultérieure) et 読書 (dokusho?, lecture). Il est également utilisé pour désigner les livres prêts à être lus alors qu'ils sont sur une étagère. Tel qu'il est actuellement rédigé, le mot combine les kanjis pour désigner le fait d'accumuler (積) et de lire (読).

Le Tsundoku de Tony Par-cœur
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3 août 2018 5 03 /08 /août /2018 05:23
RETOUR AUX SOURCES
RETOUR AUX SOURCES

L'eau qu'à Samastha
sous qui nous 
va partout
L'au-delà
s'âme va
ce tas
d'ondes
sous qui nous l'avouons
pas à pas
va 
Ce Tout
- retour aux Sources 

Extase d'Hildegarde de Bingen
qui gardait l'espoir
d'être "une petite plume portée
par le souffle divin"...

A tout le moins si l'ennui vous tique
Lookez le décor au naturel
plus que chemise ou tricot
Il vous apaisera plus vite
que bisou attendu sur le plus vif
pour plumitif... primitif !

Lancer tout au hasard. Nous sommes les fils de Dieu comme de l'ART ... Don de Lumière, lit-on bien Le Poëme ?
Zen : - Si mon esprit est pur, mon jardin intérieur sera purifié...

Dessiné dans l'ombre, en petit tricot rouge, le soir tombait, et la lune claire était haute, hier... Connaissance primitive ?

RETOUR AUX SOURCES
RETOUR AUX SOURCES
RETOUR AUX SOURCES
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1 août 2018 3 01 /08 /août /2018 08:55
ROAD FOR NOWHERE (AOÛT, nouvelles couleurs)
ROAD FOR NOWHERE (AOÛT, nouvelles couleurs)

Allons par la nuit maintenant que le chemin est bien déblayé depuis les jours anciens... Rêvons à ce qui n'a jamais été rêvé, ô bananier ! Bouddha n'est pas un dieu
mais il est un éléphant blanc
un ver de terre une étoile interdépendants
un lotus tout autant que sage vieillard et enfant
- et, le vent ?
C'est Bouddha...
- et, l'enseignement de Bouddha ?
C'est Bouddha...
- et, la plume sur l'eau flottant, là ?
Bouddha !
Quel est ton souci de vérité ?
- Dedans la bouche, la mort silencieuse

Plus que la Vérité, la Légende : j'ai rêvé que j'avais rêve ! Les nouvelles couleurs ne sont nouvelles colères. Rien ne colle à l'air davantage qu'hier et bien moins que demain.. 

Objectif politique : du tous contre tous
Objectif universel : ce n'est pas l'opinion qui prévaut, mais l'expérience qui fera changer le monde, car la première est changeante en fonction du vent porteur, la seconde, sans fin "une vie" à laquelle par examen qui "vaut la peine d'être vécue", en levant la tête des écrans pourvoyeurs d'erreurs sur le tout un chacun.

ROAD FOR NOWHERE (AOÛT, nouvelles couleurs)
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31 juillet 2018 2 31 /07 /juillet /2018 07:03

Une pincée d'aigre-doux dans l'esprit des condescendants
n'empêche nullement la montée des convertis
moins cons descendant que ceux qui vous marquent mépris,
indifférence et irrespect, 
soit quiconque vous crée un vide en votre parlêtre
celui-là seul au paradoxe de l'étrange 
sera capable de vous le remplir, 
alors montez ou descendez l'escalier de la foi de chacune de vos Journées
selon vos propres désirs
sans trop chercher à comprendre pourquoi on vous a tant blessé, jusqu'à continuer à le faire par méchanceté gratuite !

Clin d’œil arabo-soufi :
Si respecter ton ami est un devoir, te respecter toi-même est un devoir plus grand encore, per l'esatezza *
* pour être plus précis

Curiosité. Je suis de mon époque. Les Gafam nous bouffent toute attention sans vigilance permanente.
Google nous rend gogol.
Amazon nous piège en multiples dépendances d'objets.
Facebook nous préoccupe à l'écrire le plus vain et à la maussaderie du temps.
Apple nous endort.
Microsoft nous promet l'or du temps, nous n'en avons pas l'argent !
Pauvreté d'âme humaine qui au ciel cherchera vainement Dieu lui-même, au jour dit.

Les fanfreluches de l'horizon, d'une rive l'autre, la plage là-bas, qui recule avec la mer qui avance, le déluge des silences, pourquoi vouloir bouleverser ce que la source infinie nous a légué jusqu'ici ? Voyez par vous-même... Les arbres, les fleurs, ...Nous serions tous prisonniers d'une seule Force ?
Sorte d'Amor Fati universel ?.. Coin d'une lampe céleste éteinte auprès de meubles vidés de tout contenu avant que de partir...ailleurs !

DEVOIR DE VACANCES - dès 8H47
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29 juillet 2018 7 29 /07 /juillet /2018 08:22
ZEN PAYSAGES  II.

II. 

Lancé 
de Loin
- Rien
(tout au-dessus de Dieu)

A vallées en fleur
dans le village de montagne
écrin de riz cuit

ZEN Paysages
Même Lourdes
se donne au Haïku
- Nuage,
sur la feuille de Narcisse
jusqu'à l'oublier ! C'est juste au-dessus du vide
malgré les heures qui ont passé
avant vigiles complies après
La source visuelle du...Replay !

La clé n'est pas à Cléderec, Morbihan,
ni plus qu'à Lobbes les lobes belges d'étudiant n'écoutent la cascade de vie du vent tout droit venu des chutes d'eau béarnaises...
Alors, pour bien connaître son/sa propre haine-mie, ennemie chérir L ’apologie de la self-knowledge, cette écoute si profonde qui découle d'une auto-psychothérapie... de l'en-soi. "brebis par trop apprivoisée de chaque agneau est tétée" (Baïf)

D'évidence, c'était nuageux dessus Lourdes, hier,
autant que le religieux devient spirituel...

Un chat est venu,
un ange l'a emporté,
avec son bouquet
de Black diamonds
Rosier anglais
New pandiculé
Façon dès l'éveil
Joseph Ducreux - Self-Portrait !
Ni plus d'action que de paresse
sous tension
ni moins d'humour que de tendresse
suite aux multiples retournements de situation 
sous la lourde pluie d'après minuit
et le grand vent de ce matin qui soulève tous les étals de marché !
Même les fleurs en prennent pour leurs jolis grades !

- Keats
Rilke
Yeats
Rimbaud
Poe
Baudelaire
Valery
Kafka
Elle est où la trace du bonheur
que vous nous aviez laissée
en partage d' Horizon ? 

Lecture-en-crobar,
ensuite... quelque part.. 

Barbaros ? Voyou de voyelle
Vivre n'a de sens
que là où l'on sonne
la rime aux consonnes
ici aux Plomarc'h
ou là où manque l'art
en somme
Un vers
ne s'explique
que pour le vert
du Poëme
Lui-même - 
(en lecture, aux Plomarc'h 
face à la Baie de Douarnenez,
d'un peu dans le temps moins d'années
que maintenant)
Comment s'habiller
d'un Rodolfo Praglialunga
en plein été
S'enfoncer dans le silence
- fait trop chaud aussi pour ça...
(si fa per dire : - do ré mi fa sol,
beau sans faux col !) 
Lune de sang  !

ZEN PAYSAGES  II.
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29 juillet 2018 7 29 /07 /juillet /2018 08:06
CLOÎTRE DE LA NATURE, le petit château des Angles (ZEN PAYSAGES I & II )

i.  Quel esprit souffle donc dans Le Livre qui "engage" l'Humanité à ne vivre que paisiblement, sans haine aucune ? - Où sont les gens ?
- Il n'y en a plus...
- Ben qu'est-ce qu'il y a à leur place ?
- Uniquement les écrans. fond d’œil éclipsé du soleil, immobilité de l'espace-temps smartphonisé ! Monde d'éclopés, on ne regarde même plus la Nature, uniquement les écrans !
- Terrrrrrrrrible monde !
- Hélas, c'est le nôtre, nous sommes dedans !
- Dedans un écran ?...
- Faut croire !
Et, ça - là ?... Qu'est-ce ?
- Cordes du luth, ne pas trop tendre ni être trop laxiste, c'est écouter de soi bonne musique du couple intérieur..
- Ah, donc, ne pas être trop grosse caisse...
- Y'a de ça aussi, de toute manière, avec la pluie, le défilé des costumes bretons Breizh Glaz risque fort d'être annulé !
- Ah, la pluie n'est pas zen !
- Pas pour les décors brodés sur tissu, non... Aujourd'hui,
c'est la pluie
(pathologie
du soleil-hikikomori ?)
Paresse du vent, aussi !
Pour moi, en tout cas,
l'heure passe sans moi.
Dormir dans les étoiles
(oubliant un temps la pénible humanité) Pour la nuit, vaut mieux "ça"... Ombre floutée de qui ne part jamais .. Darkness, la vie s'éteint, plus aucun son ni bruit, rien, silence total et noir... Qui viendrait nous effleurer d'un souffle soudain ?

Qui ne sait voyager physiquement le peut psychiquement...
L'énergie de la pensée va plus vite que le trajet, et, là où va ta pensée va ton énergie ! Les Lumières de la ville ne sont jamais celles de l'esprit... L’Éros mauvais (l'hubris) des hommes dérègle la Nature...Seuls, les rêves ont poids de Vérité...

Okay, tout est open :  Niche de frondaison
(qui s'en fiche ?)   La vue floue
n'empêche pas d'y déceler
sa force !   ô Cloître
Promenoir de la pensée silencieuse
sous les arcs surbaissés...
Contreforts massifs de la vie pieuse...
mes pas y ai laissés...
Œil vif !

Un vitrail de Comminges
éveille ceux de Conques 
de nos méninges -...
Doncques ?
(écriture moyenâgeuse de l'interjection)
... Donc, une vraie conversation
(avec Dieu)
   Le trésor que j'ai vu,
médité, passé, perçu ! Le petit château des angles
ferait-il bonheur locatif 
en rénovation
du donjon parmi les ifs... ? Manque plus que le Maté pour la Cérémonie (du Thé) !

 

.

SAINT-BERTRAND DE COMMINGES, le cloître  (ETAPE DU TOUR DE FRANCE, 2018 - france 2)

SAINT-BERTRAND DE COMMINGES, le cloître (ETAPE DU TOUR DE FRANCE, 2018 - france 2)

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25 juillet 2018 3 25 /07 /juillet /2018 17:26
ECCE HO-MONTAGNE

C'est l'extrême solitude Nietzschéenne, d'une sensibilité d'innocent éloquente, tel en exil, on savoure meilleure misère quand il neige sur le peu que l'on sait, si fécond, et bien davantage que l'esprit lourd de connaissances pierreuses !
- Quel éternel dernier homme ?

ECCE HO-MONTAGNE
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25 juillet 2018 3 25 /07 /juillet /2018 12:43
R.I.P ET BIEN DAVANTAGE

Tiens, ça sonne comme une étrange chose : La cofondatrice des Femen, Oksana Chatchko, retrouvée morte dans son appartement à Paris (il faudrait plus qu'un simple R.I.P, d'autant que Malraux clama : "la mort transforme une vie en destin"...)

- So !..unthinkable, confusing, unfair !!! Why is it always the most criminal who has the last word, to stay alive when they should not?... My best thoughts are towards her /impensable, déroutant, injuste !!! Pourquoi est-ce toujours le plus criminel qui a le dernier mot, de rester en vie alors qu’il ne le devrait pas? Mes meilleures pensées vont vers elle...

L'activiste "a laissé une lettre de suicide", selon des proches.
via @'AFP, Inna Chevtchenko, leader de l'organisation. "Oksana a été retrouvée hier à Paris dans son appartement. Elle s'est suicidée", a-t-elle déclaré à l'agence de presse. Elle avait 31 ans.

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23 juillet 2018 1 23 /07 /juillet /2018 13:50
DE CE RAYON VERT AU FRONTON DES LUMIÈRES

Et, de ce rayon vert au fronton des lumières
- Rejouez ! - Lait sur miel brûlent un milliard
de feux
Percevez la beauté sur le fleuve du Jour
La nuit de Judée nôtre a l'éclat du bel Art !

En ragoûter n'épuise pas le regard

Au pied du viaduc, ou sous les nuages blancs,
dessous-dessus le vide, ou partout dans le vent,
cette sublime vue qui sans fin recommence
non point la mer du grand Poëme,
mais le reconnais-tu, ce Temple à l'air si pur ?
Il s'y imprime des dons de bâtisseurs d'antan
dedans les mains présentes de ceux qui l'élevèrent
depuis ...une vallée ; ils renaîtront nos dieux !
Au pied du viaduc, ou sous les nuages blancs,
s'éperdent à l'infini nos plus humbles yeux...

L'adulte se sent au pied du Cosmos quand ses pulsions le laissent en paix...

Vautours, autour poésie planant(e) aux Grands Causses, vautour fauve, vautour moine, loin des Macareux Breizh, ô gypaète barbu des falaises du Causse-Méjean d'où revint de lui-même le Vautour percnoptère (Neophron percnopterus), aussi appelé Percnoptère d'Égypte !... Ça plane, ça plane,... Méfiance, sieur Macron-Jupiter car : "Le nom du genre Neophron vient de la mythologie grecque : c'était le nom d'un sacripan qui fut puni par Jupiter pour un méfait et métamorphosé en vautour" ! Ça plane, dessus le plus haut des plateaux caussenards !...

D'un jour l'autre, c'est aussi un pont, un viaduc, deux rives séparées par un vide contemporain de l'Espace-Temps, hier, Solis dies, ce Lunes Dies... : un viaduc d'heures non fictives.

Hé dieu, te souviens-tu du temps où nous brûlions d'une foi insoupçonnée ?
Sommes-nous placés désormais en quelque Miserere ?
L'Homme, à planter prière, a-t-il pour autant beau verger,
semaison de prières sans foi ne donne récoltes, je crois ?

Si le number one joue toujours solo a solo, il n'en perd pas une miette d'enfance, sachant questionner le sens et la profondeur de toute existence, la quête à la Petit Prince d'une vérité de ce monde non intoxiqué par le vitriol des médias, il crie crie l'écrit miaule et re-crie : prends ta haine et va loin de moi, assez décès des : gêne sans génie, imprudence moquant les prudences des suicidés, hors sagesse, sans science, ni plus de science-fiction que ça, puériles pulvérisées, take your hate - go away from me !..

Car vl'à l'amour qui nous arrive, gageons sur-réapprendre à bien mourir en une juvénilité neuve, "invisible pour les yeux", tout vient du cœur, l'amour et l'art, non du portefeuille gonflé de quant-à-soi pourri jusqu'à en regorger sans partage, take your hate...and go anywhere you are alone without love (soit donc, à mon humble avis : prends ta haine ... et va n'importe où tu es seul sans amour.... 
Là, je recompulse la pulsion bouddhiste de MINLING TERCHEN GYURME DORJE (1646-1714), :
L'alternance des pensées 
De bonheur et de souffrance, de désir et d'aversion,
N'est rien d'autre que le jeu 
De la lumineuse vacuité de l'esprit . 
Sans altérer ce qui se manifeste,
Contemples-en la nature, 
Et tu le percevras comme grande félicité. ) ... !

Pas de course cycliste, ce jour, pas d'étape du Tour, leur faire écouter ACDC, afin de leur dire let's run our life !
Ca va secouer, bouger, déménager dans leurs oreillettes, demain, pyréennes, et non leurs pires-aînées-haines !..Chahutez pas trop Calmejane, calme Jeanne !... Relisez de MINLING TERCHEN GYURME DORJE (1646-1714), ce passage du Col Buddha, Traduit à Yan-nga, dans les collines de l'ouest de la Chine le 8 Août 1988. :Minling Terchen Terdag Lingpa, Gyurme Dorje (smin gling gter chen gter bdag gling pa 'gyur med rdo rje, 1646-1714). In smin gling gter chen rig 'dzin 'gyur med rdo rje'i gsung 'bum, Dehra Dun, D. G. Khochhen Tulku,1998, Vol. 6 (CHA), p. 90-91.

Et voilà !

Listen BELLS !!!...VIADUC PAINTING NAT !

DE CE RAYON VERT AU FRONTON DES LUMIÈRES
DE CE RAYON VERT AU FRONTON DES LUMIÈRES
DE CE RAYON VERT AU FRONTON DES LUMIÈRES
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