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21 juillet 2018 6 21 /07 /juillet /2018 07:08

Nous autres, les mémoires d'un temps plus âgé-es dans le monde des chiffons usités, le véritable besoin d'une pulsion qui engorge le corps qui brûle d'une moindre passion, ce port d'Amsterdam forme un point de fixation d'errements, ruse de l'inconscient, qui nous transbahute dans une autolobotomie à l'échelle d'un voyage d'oubli de soi... On n'est jamais ni trop aimé ni trop haï... Combien pèse ta solitude, toi ?
- La jument maigre donne le jour à un beau poulain (proverbe géorgien).

Quand on blâme autrui, c'est soi-même qu'on attaque par des discours blessants, ne supportant pas nos propres erreurs que celles des autres nous renvoient, par effet miroir... On ne tient pas à voir nos "propres erreurs" dans celles d'autrui, alors on les blâme... On les dénigre. Puis trop de français sont mal élevés, malpolis, indifférents, égoïstes, méchamment individualistes..

Abstème : point d'alcool, ni de vin, aucune drogue illicite, non fumeur, goût pour le poisson plus que pour la viande, une masseuse attitrée de Sabaï Thaï (deux fois par mois), jeûner à un jour par semaine, beaucoup d'eau (jamais gazeuse), ne rien faire que de marcher (plus de voiture, prendre les transports en commun pour les petits parcours), randonneur quotidien, beauté de l'âme (ne point se gauchir l'esprit d'apports de travers négatifs tentés par les dérives de la chair dans ce monde moderne).. Cherchez en soi la politesse, le plus souvent... "on ne se crée point de vieux camarades, soulignait St Ex."...

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19 juillet 2018 4 19 /07 /juillet /2018 11:57

Si le plaisir correspond à l’hédonisme, le bonheur correspond à l’eudémonisme. En Grec ancien, eudaimonia évoque la notion d’accomplissement, de plénitude, d’épanouissement dans la durée. Dans le bouddhisme, soukha, correspond à une manière d’être particulièrement accomplie, ancrée dans la sagesse et la bienveillance.

Eudaimonia et soukha ne sont pas liées à l’action, elles reflètent une manière d’être résultant d’un profond équilibre émotionnel lui-même issu d’une compréhension du fonctionnement de l’esprit. Tandis que les plaisirs ordinaires se produisent au contact d’objets agréables et prennent fin dès que cesse le contact, eudaimonia est ressentie aussi longtemps que nous demeurons en harmonie avec notre nature profonde. Elle a pour composantes la liberté intérieure, la sérénité, la force d’âme, et l’amour altruiste, un altruisme qui rayonne vers l’extérieur au lieu d’être centré sur soi.

Cette distinction entre plaisir et bonheur n’implique pas qu’il faille s’abstenir de rechercher des sensations agréables. Il n’y a aucune raison de se priver de la vue d’un magnifique paysage, d’un goût délicieux, du parfum d’une rose, de la douceur d’une caresse ou d’un son mélodieux, pourvu qu’ils ne nous aliènent pas. Selon les paroles du sage bouddhiste indien Tilopa au IXème siècle : « Ce ne sont pas les choses qui te lient, mais ton attachement aux choses. » Les plaisirs ne deviennent des obstacles que lorsqu’ils rompent l’équilibre de l’esprit et entraînent une obsession de jouissance ou une aversion pour ce qui les contrarie. Alors ils s’opposent directement à l’expérience d’eudaimonia.

Le plaisir, différent du bonheur par nature, n’en est donc pas pour autant l’ennemi. Tout dépend de la manière dont il est vécu. S’il entrave la liberté intérieure, il fait obstacle au bonheur ; vécu avec une parfaite liberté intérieure, il l’orne sans l’obscurcir. Une expérience sensorielle agréable, qu’elle soit visuelle, auditive, tactile, olfactive ou gustative n’ira à l’encontre du bonheur que si elle est teintée d’attachement et engendre la soif et la dépendance. Le plaisir devient suspect dès qu’il engendre le besoin insatiable de sa répétition.

En revanche, vécu parfaitement dans l’instant présent, comme un oiseau passe dans le ciel sans y laisser de trace, il ne déclenche aucun des mécanismes d’obsession, de sujétion, de fatigue et de désillusion qui accompagnent d’habitude la fixation sur les plaisirs des sens. Le non-attachement n’est pas un rejet, mais une liberté qui prévaut lorsqu’on cesse de s’accrocher aux causes mêmes de la souffrance. Dans un état de paix intérieure, de connaissance lucide de la façon dont fonctionne notre esprit, un plaisir qui n’obscurcit pas soukha n’est donc ni indispensable ni redoutable.

Selon Chamfort, « le plaisir peut s’appuyer sur l’illusion, mais le bonheur repose sur la vérité ». Stendhal, quant à lui, écrivait : « Tout malheur ne vient que d’erreur et tout bonheur nous est procuré par la vérité. » La connaissance de la vérité est donc une composante fondamentale de soukha.

Rester en adéquation avec la vérité n’est-elle pas l’une des qualités premières de la sagesse ?

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19 juillet 2018 4 19 /07 /juillet /2018 08:33
ROULIS DE FACIÈS D'ÉCUME

Entrez dans la forêt du rêve...
si la nuit fait jour non aliéné -

Les roulis des rouleaux arraisonnent l'espace clair
ainsi qu'avancée de visages en translucide mystère ! 

 

Sorrow

quelque peu Now ... !

ROULIS DE FACIÈS D'ÉCUMEROULIS DE FACIÈS D'ÉCUME
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18 juillet 2018 3 18 /07 /juillet /2018 06:40
BOSCHISONS LE JOUR EN JARDIN DE DÉLICES

Réveillé. Sans douleur. Levé. Open all. Okay. Comment va le monde ?..Si Alger est la ville des matins, Quimper en rime l'idoine. Aucun ennui fiévreux Jadis la France était le fille aînée de l'Eglise, désormais elle l'est de la Laïcité. Okay. Bon. AH ,;,? Une Coupe sert donc à ça : le carré final était Européen quand les filets des buts avaient, eux, la forme d'un losange hexagonal français,ahouais ? Sans fin l'impossibilité d'être étonné d'être heureux : hier, l'étape du Tour gagnée par un Français.. Prolongement de la liesse, mot qui fait lien, plus que la simple Joie, Laetitia !...
- Ben pourquoi tu dis pas Godria ?
- Laetitia, c'est plus commun, moins spiirtuel.
- Ah d'à-corps, okay... Ca baigne ?
- La frite !
- Eh non dis pas ça, tu énerverais un belge sur ta page, et risque d'être évincé, maintenant on dégomme pour un rien.
- Oui. Ça me rendrait chagrin le bonheur d'être levé de bonne humeur. Seul, silencieux, peau-être dans l'âme...
Soulever le volet pour plus de jour, pour faire entrer plus de lumière, bon Jour la vie, l'amour des oiseaux-insectes, open ?
Devine-t-on une Bonne journée comme un écran noir, sans aucune image dedans, ni référent ni mimétisme, rien que ça, tout qui ne manque de rien ?...
Un réel Jardin des Délices, tryptique de Bosch !
- Boschisons la Vie alors ?
- Ben oui...Utopie paradisiaque, le mariage d'Adam et Ève, l'Enfer du présent...
- Critique de topique typique.. 
T'y pique ?...
- Tropique !...J'en pince !..Même la faute, on n'arrive à la déceler, incroyable...
- Quelle faute ?
- Ben, vous savez bien, vous avez été enfant du diable ou de choeur ?
- Les deux, mon cher ami, les deux...Ombre et lumière se côtoient partout, en tout un chacun, et vlan !

***

Je me le vois poser dans un lieu qui n'était pas sa place, cet objet précieux qui contint tout ce dont j'avais besoin, et, de me mettre à le re-chercher, partout, par le seul fait d'un travail de mémoire, afin de savoir et de percer-voir, percevoir donc si j'étais réellement bien présent, dans le réel, d'une vie présente, bien là, à me toucher tous les membres : qui suis-je vous savez bien, quel être est-on, soudain, l'objet précieux perdu ? Vertige, angoisse, impudeur du style langagier, tous les volatils verbeux qui fusent hors la cage de l'appris-par-cœur auprès des impolis, ah oui, ouf, c'était là...

Il est là. Retrouvé, tel un temps proustien.
C'est heureux n'est-il pas ?
Tout rentre dans l'ordre des choses, alors oui, le monde peut nous paraître merveilleux, enchanteur, sitôt a-t-on tout ce dont il (nous) faut...pour être heureux, soit : la retrouvaille d'une toute petite chose de rien du tout à quoi l'on tenait comme à la prunelle de nos yeux, et sans qui, il manquerait sans fin le plus d'âme à la chose du vivre.
- Oh, joie, grand'joie, mon porte-monnaie avec la pièce de Botticelli (médaille Cosme l'ancien), je l'avais bêtement jeté sur La Femme et le Pantin, mon exemplaire de Pierre Loüys !..Ah mon Louis d'or retrouvé, ouf !
Vrai donc : une place pour chaque chose, chaque chose à sa place, pour éviter les déboires & désagréments, troubles et tourments inutiles !
BOSCHISONS LE JOUR EN JARDIN DE DÉLICES
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17 juillet 2018 2 17 /07 /juillet /2018 17:55
CHÂTEAU DE L'INCONSCIENT

Ici aussi L'inconscient universel
est d'une importance capitale
creusant dans la conscience humaine
une telle blessure d'âme
que c'en devient L'Amour mystique
pour Le Bernin
qui en sculpta les larmes du Jouir divin
de L'Extase de Sainte Thérèse
(Eks-tasis d'existenz) ; 
sculpture en marbre de Gian Lorenzo Bernini
que l'on dit même de "chair" marbrée !...

Priant dans les monastères & abbayes de Landévennec
ou d'ici,
j'ai touché l'Un-conscient de toute vie.... car ce qui EST
gagne source plus profonde que là où tout se voit...

L'invisible dans le visible... roucoule avec les Silences... 
Chair de l'espace hors temps, comme d'exister,
c'est sortir de soi, savoir se dépasser avec mesure,
tant la mesure de l'amour est d'aimer sans mesure...
Existez-vous, ou ne faîtes-vous que de vivre/survivre 
parmi tous ceux qui n'ont guère "conscience" d'être guidés
par leur in-conscient ?
Lacan d'ajouter : - et c'était comment avant la découverte freudienne
de l'inconscient ?....Eh ben, c'était pareil... ! Inconsciemment pareil...

SOLITUDE / SILENCE 
Richesses de l'âme...
PATIENCE
CURIOSITÉ

AUDACE DU CŒUR

ICI / CHÂTEAU DE LA FAMILLE DE Saint François de Sales
Patron des Écrivains et des Journalistes
(il écrivit ses sermons sur des feuilles volantes)

CHÂTEAU DE L'INCONSCIENTCHÂTEAU DE L'INCONSCIENT
CHÂTEAU DE L'INCONSCIENT
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17 juillet 2018 2 17 /07 /juillet /2018 08:00
DE QUELLE NATURE LE CONFLIT ÉTERNEL ENTRE ÉROS & THANATOS ?

Plus d'accalmie Quimpéroise
au ciel couleur de pâle Iroise -

 

Tourne la page de la nuit, le jour nouveau comme nouvelle année. Vers ancien sur du neuf, la rime est osée, il en résulte par la suite toute une litanie sur l'invraisemblable eau-forte goyesque : nuit se mêlant au jour, Hadès à l'amour. En moins rassurant, que le bonheur. 
Il signera d'un nom peu banal : J-C Adam, la Foi d’Ève.
Son nouveau premier Livre.
Un recueil. Moins fortiche que Bible.
Mais. Avec plus d'histoires vraies, à l'intérieur.
Éole est absent de la Tempête de Shakespaere.
Expire-t-il ailleurs ?
Le damné se joue de Danaé/Jupiter.
Tout autour de la terre, sème hurlements savants, cris et agacements, soulèvement de fanes, déforestations naturelles, arrachements de tuiles, d'ardoises, de toits entiers, et nul être à se questionner d'où vient cette colère céleste.
Nul ne regarde le ciel.
Nul ne s'étonne du silence total, après le passage des noms de femme et de déesse que les spécialistes donnent aux cyclones dévastateurs.
Oui. Il est une mère qui n'aime pas les honneurs !
J'en connais une, et c'est la mienne, dit Jupiter.
L'auteur des vents furieux a semé quelques idées sur les pets des guerres verbales, et sans voix, les paix immémoriales impatientaient sa vie empuantée de lourdeurs : - Quoi donc, je n'ai plus rien à faire ?...
Badaboum crac-boum, à moi donc les éclairs !
Et, les épées de vents, je pense à vous souvent, mais en quelle langue le dire, personne n'écoute mes cris et hurlements, massacre de mon sacre !
Je suis Éole, lève-toi beauté ; Jupiter, je suis né, de même, allons-nous en ....
 d'YS-ci !

(mais où aller, chéri, bâille-t-elle, à la baille de mer ?..)

On dit la pluie annoncée
Tableau naturel de dieu qui sait !

Le ciel nous tombe sur la tête après victoire des bleus-rois ?

Ce temps de fête
n'empêche ensuite la réflexion
car une plongée dans la foule en liesse
c'est pour mieux apprécier le silence et la solitude
ainsi que revenant dans l'ombre de sa caverne
celui du goûtant le savoir de la Lumière
Platonique épreuve de la Xième Connaissance du monde
et de soi
tandis que les prisonniers d'eux-mêmes
qui ne connaissent ni le bonheur d'une foule
ni la paix de Solesmes
ils ne vivront qu'en souffrance inutile
et bien futile...
Seul parmi les 900 supporters
hier
sous le barnum de la Fan Zone du jardin de l'évêché
de QUIMPER
ça ne m'empêchera jamais d'oublier
le mythe réel susdit 
de la Caverne du corps et volière de l'Esprit !
C'est dit
(pour qui me fait montre d'un doute
- ah, toi soudain, t'aime le foot ?...)

Quelle est la nature du conflit éternel entre Éros et Thanatos sinon l'écho mauvais d'un Narcisse incompris, rejeté, et banni ? L'un gagne, l'autre pas ?  ..C'est tout, c'est ça..., ce n'est que ça ?.. Et, si on invertissait les parts ?

DE QUELLE NATURE LE CONFLIT ÉTERNEL ENTRE ÉROS & THANATOS ?
DE QUELLE NATURE LE CONFLIT ÉTERNEL ENTRE ÉROS & THANATOS ?
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15 juillet 2018 7 15 /07 /juillet /2018 09:36

Dans les dimanches de mon enfance, une foule de notes compacte(s) d'une légèreté inouïe me plaçait déjà très haut dans mes profonds silences, les oiseaux de la courette parentale m'accompagnant à la joie d'être, là, tout simplement, et sans rien faire, énervant ma mère :
- et, tu n'as que ça à faire, regarder les oiseaux par la fenêtre ouverte ?
- Bah...
- Bah, bah, bah, la première fois que je t'ai vu,... je croyais que t'étais un ..bah !
- Ah oui, m'an, c'est bien aussi Bach, mais là, j'écoute Mozart...
- N'im-por-te quoi, il est fou celui-ci, qu'est-ce que j'ai fait au bon dieu pour mériter un fils pareil !?...
- Ben, l'amour...
- Hein ,..?...T'as dit quoi, là ?..
- Bah (dans ma mémoire fraîche, in vino veritas) : bah, cosi fan tutte !
- On parle pas comme ça à sa mère !
- Si !...
(paf, la gifle, et les oiseaux ont fui, avec Mozart, leurs trilles au semblant de clarinettes, avec : puni, va dans ta chambre, tu me la copieras cent fois, celle-là !)

 

Bien plus tardivement, un journaliste :
- Et, comment vous est venue l'idée d'être écrivain, d'écrire de derrière les choses ?
- Par une...petite claque maternelle, suivie d'une punition en chambre close...(double sens)... volets fermés, dans la pénombre..., un jour d'été...

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15 juillet 2018 7 15 /07 /juillet /2018 06:03

Hécate des distingués en l'éclipse solaire, ce feu de la force disparue, à l'ego supprimé par le souffle de l'astre de mort, Lilith-Hécate représente la nouvelle lune ou lune noire, elle est icône des ombres, muse qui symbolise la mort quand Séléné, la pleine lune, symbolise la maturité dans le cycle de vie ; Artémis le croissant de lune, qui symbolise la naissance...
La mort fait érecter les rivaux des ça-voir éructés.
Pour qui bandez-vous ?
Rivale des beautés et de l'amour. 
On se presse à ses dits ses haines :
Hécate présente deux aspects opposés : déesse protectrice liée aux cultes de la fertilité, accordant richesse matérielle et spirituelle, honneurs et sagesse, conductrice des âmes emportées par la tempête[référent intérieur nécessaire des humeurs malmenées de nos trop d'ordre, trop de netteté, trop d'excès] ; mais aussi déesse de l'ombre et des morts.
A mauvaise mère, mauvaise femme, pareille, qui laisse les siens dans le feu attisé des noirceurs, pochoirs de mouchoirs d'horreur, maîtresse des mensonges et des choses cachées...
A meilleure matrice, bonne complice de voyages et d'amour alimentant légendes et féeries magiques.
Le reste, à l'homme éperdu qui se jette dans les bras d'Hécate, la fausseté des semblants d'amour, quand ses aveuglements le conduisent à ses propres profondeurs lascives glauques dans les eaux saumâtres des ancêtres avec qui il danse follement, se laissant - stupidement ou bêtement excité - emporté vers l'Hadès de son existence-dyptique : haine-amour.

Tantôt vous aspirerez à la stabilité sentimentale, tantôt vous ne songerez qu'à multiplier les aventures
Dédaignons le talent à l'argent, la quantité ne sera jamais la qualité.

Mais, en présence malsaine d'Hécate, suivons l'astre d'orient italien : - Mieux vaut glisser du pied que de la langue 
Destin tenu en main ? Vraie chance : la résultante (non démesurée) est une actuelle suite d'actions et d'attitudes positives.
Ce qui prévaut est le fond de l'être plus que la surface des reflets d'une âme abusée, non intacte, abîmée, quoi qu'on ne découvre l'or de soi que dans la gangue de sa boue d'une moitié humaine. Surtout sur sa bonne mine.

CONVERSER HIER SOIR AVEC HÉCATE DES DISTINGUES
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14 juillet 2018 6 14 /07 /juillet /2018 07:01
Suite aux POÈMES DU PRÉSENT, page 2

Entrons dans l'eau des rêves
là où aucun monde ne s'achève
mais floute sans filouterie
la surface confondue des ondes de la nuit
sur le miroir de nos pâles faces...

Deviner
Comprendre
Le reste
à nos "illuminations"
pratiquées !

On y peut faire dessin de sa vie,
aussi, à dessein, si nous nous y sentions
sinon perdu, du moins égaré (oublié ?)...
Mandolinisons l'espace du grand Je-u Littéraire,
amis du proche et du lointain, écoutons la source
de la Nature !

La peinture ouvre les portes
des poésies et de la Littérature

Maintenant, et ici...

Ventouse dans un miroir
le ça y est-il approfondi
sans histoires 
- et, hors tout séminaire possible.... ?
(Le Conseil des Archanges est ouvert,
on débat...au sujet du "ça"..se reflétant,
s'interpénétrant...)

Riche du silence infibulé
à gagner le rivage du paysage de vacances
sans mot dire 
ni maudire
les janissaires 
ces grands jaloux

On s'est tu
on a tu 
tous les autres sujets
cheveux au vent
qui n'était plus
qu' Eole déchu
aux mains bridées
ainsi que yeux qui ne se voient
au moment de chavirer

dans le grand espace blanc de la mer
(cette conscience de l'amour
qui ne se dit pas)

Conscience du phénomène premier

Conscience Compréhension

- Alors Cendrillon's way, les vacances ?
- Les hommes aiment aussi les cadeaux, qui vend du rêve aux portes du cauchemar ?
- Coche : m'art ! C'est dans la profondeur féminine de l'homme que se trouve le ruban rebozo, lequel nous aide à mieux appréhender le renouveau relationnel de soi avec son inconnu de l'être, ainsi que le maquillage, la coiffure inédite, la métamorphose assumée, voire, au jeu d'une danse, ou d'une danse d'un je, la meilleure compréhension...du monde...
L'autisme ?.. Je vous le définis : c'est l'écoute seule de votre univers unique, dès que vous êtes plongés dans la foule de laquelle vous ne percevez aucune netteté de divers langages, cause d'un bruit incessant de marteau-piqueur, voire de deux à la fois, l'autisme, c'est ce bruit-là, de l'oeuvrier au marteau-piqueur... Vous saisissez mieux ?
- Pardon, vous dîtes ?
- Oui, vous saisissez !
- Oui, énergie cosmique, plan écran...mystique !

 

Conscience Compréhension
des Poèmes du Présent
(pages 1 & 2) -
Recueil du Printemps
début d'été 2018 - B.
Suite aux POÈMES DU PRÉSENT, page 2
Suite aux POÈMES DU PRÉSENT, page 2
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14 juillet 2018 6 14 /07 /juillet /2018 06:37

Ce vieux temps passe
et on l'aime

Constamment tenter d'aller par-delà les azurs pieux
où l'on choit dans les bains d'abîmes inaudibles de Dieu
définitives de ce qui n'a point tant de rives aux cieux

 La nuit conduit en file d'arbres fins
aux portes de ce qui n'a pas de fin
qu'on y entre en dormant 
par les portes mal closes
du Néant -

La nuit est en corps

faite d'eau-de-là
d'au-delà sans corps
et meut...ondule...frise
dans l'ombre incise
de l' Homme
qui ne la voit pas...
comme ainsi elle devrait
être
sans lui apparaître...
Et l'Homme sans poésie 
dort
dans ce monde qu'il croit
être
sien
s'échinant pour quelques sous
en dessous de rien
- qu'es-tu maintenant Travailleur de la mer
sans l'océan des rêves sur les rives démunies
de grands songes ?
Rien.
Que vénalités... Quotidie morior !

La nuit est frémissante d'étoiles
soudain
on dirait 
qu'elle flotte dans notre monde incertain

L'indicible
entre les lignes
de la vie
en qui
l'inconscient
fait brûlerie 
du réel de toute Poésie -

Respirer 
avec le cœur
de la forêt

Et La Forme apparut
sur la noirceur du mur
Telle lumière vivante
De ça j'en étais sûr !
Ce n'était ni la lune
ni le soleil ni l'étoile
Un reflet
non 
C'était ce dont vous devinez
qu'il fut !

CHRIST JAUNE A LA FENÊTRE DE MAX JACOB

 

 

POÈMES DU PRÉSENT
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